Je peux etre d accord. Mais comme la scène de l ours et la fin sont traitées ainsi, cela rend juste la narration incohérente.
Peut-être, oui. Mais un effort d’authenticité de ce type, même sommaire, toutes les séries B d’action ne se l’autorisent pas.
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Ah c’est intéressant, ça. Je pense que le film y gagnerait.
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Voilà.
Après une scène peut sauver un film et d autre fois non, parfois c est une interprétation, et cela depend de qui critique.
Et puis il y a une logique de lecture qu on arrive à trouver ou non. Pour thor, c est quelques images qui pour etre appréciées necessitent quelque peu de se foutre du reste et comme le reste est nul, et bien cela tombe bien.
Pour le joker, la prestation de phoenix est physique. Un corps, tiraillé par une rigidité, et qu importe le sens que cela a et cela tombe bien, le film n a aucun sens.
Là, ce que je peux apprecier dans prey rend chiant ou incohérent tout le reste, qui l est déjà beaucoup. Le compte n y est pas.
Je trouve la réflexion un peu hypocrite.
Ton argument aurait fonctionné si le film n’avait pas été promotionné comme lié à Predator comme prévu à l’origine et que la découverte du Yautja soit un vrai rebondissement.
A partir du moment où tu vas voir un film Predator, tu ne peux pas faire abstraction de décennies de présence dans le paysage cinématographique, tu sais qu’il sera là, tu sais ce qu’il va faire, donc aucun problème à le montrer, c’est au contraire ne pas prendre le spectateur pour un con, il ne fait pas partie de l’histoire, il la regarde juste se dérouler.
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Et le comportement des autres chasseurs fait partie du développement du Naru. Ils ne l’écoutent pas car pour eux sa place n’est pas sur le terrain mais plutôt à suivre la routine que chaque femme accomplit dès le réveil. Seul le frère de Naru sait de quoi elle est capable et cela ne se limite pas à ses talents de guérisseuse, même s’ils sont très utiles comme elle le montre dans le dernier acte.
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Tout à fait, et c’est un élément de scénario très intéressant ; Naru ne s’en sort pas en reniant sa « condition » (pré-déterminée par son groupe et ses usages) de guérisseuse, fonction pour laquelle elle a des prédispositions évidentes (on le voit dès le début du film) au profit de sa seule condition de chasseuse, mais bien en combinant ces deux fonctions. Elle dépasse donc non seulement le destin qui lui était promis mais aussi celui qu’elle ambitionnait pour elle-même, et transcende le tout.
Pas mal comme trajectoire, même si encore une fois le script n’est pas vraiment sophistiqué dans son genre. Mais il fait le job compte-tenu des ambitions du film.
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Voilà, tant qu on descend en ambition, tout passe.
C’est c’là, oui… 
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Perso, je préfère un film modeste qui accomplit son ambition qu’un film démesurément ambitieux qui chie dans la colle, mais bon…
D’où mon amour des séries B à l’ancienne, que ce film réactive à sa modeste mesure. M’étonne pas que le Doc ait kiffé… 
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Sinon, comme pour plusieurs sujets en ce moment, y en a qui ont aimé d’autres non. Chacun donne son avis et puis basta. Pas de besoin que ça tourne au concours de celui qui a la plus grande ou de condescendance à 2 balles
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Entièrement d’accord.
D’un autre côté, l’intérêt d’un espace comme celui-ci, c’est qu’il permet des débats intéressants.
Perso, je ne m’en lasse pas.
Après, nemo, il est comme moi. Il ne sait pas lâcher l’affaire. Même quand il se trompe ou qu’il s’aveugle, parce qu’il a décidé de ne voir qu’une face d’une même pièce (sans parler de la tranche).
Enfin, comme moi… Je n’ai jamais tort, bien évidemment.
Tu as raison, je suis seul à ne pas aimer et tout le monde me tombe dessus !
Pff
Sourire.
Série B très sympathique. Je savais que je n’aurais pas « Apocalypto rencontre Predator », j’espérais un divertissement honnête, qui proposerait son lot de scènes cools, et ce fut le cas.
Il est possible de voir le film de 2 façons :
Avec de la frustration parce qu’il y avait le potentiel à fournir un vrai survival qui laisse place à l’image, à la nature et à l’accomplissement de soi, ou la satisfaction de voir un film humble, avec des défauts certes, mais qui réussit à intégrer les élements cités juste avant.
Alors, il y a quelques images où répliques qui agacent, parce qu’elles paraissent incongrues :
- le plan du vaisseau et du Predator qui se lève, au début du film, franchement, cette séquence ne sert à rien !)
- la réplique piquée au 1er… Bon… Là aussi… C’est le genre de clin d’œil qui m’agacent vraiment. Tout comme le pistolet, qui finalement, ne sert à rien.
- Il y a un coté carte postale par moment, quelques passages un peu compliqués en terme de lisibilité,
- ce désir constant de surligner des informations que l’on avait compris,
Mais c’est contrebalancé par des chouettes moments, et surtout, un film qui ne cherche qu’à être respectueux de l’esprit du McTiernan.
Encore une fois, on peut penser qu’il y a un aveu d’échec à ne pas sortir du cadre du 1er film, qui, en suivant la même voie, sera forcément moins bien, mais le film reste à hauteur d’homme, et réussi à proposer un parcours classique à son personnage principal et un Predator un peu différent.
Une chouette série B que je reverrai dans quelques années sans déplaisir je pense.
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Outre la réplique, il y a aussi quelques plans qui citent directement le premier « Predator » ; je pense à un panoramique qui part des persos, « scanne » les arbres et revient vers les persos au pied des arbres en question.
Et le plan où les guerriers Comanche font face, derrière un tronc d’arbre, au rideau d’arbres devant eux, me semblent aussi une citation directe (dans le premier « Predator », c’est juste avant (ou après ?) qu’ils ne canardent la jungle comme des dingos, en vain).
Je le reverrai bien plus tôt que ça.
Et si le film sort en VC (pour comanche), je le visionnerai encore avec davantage de curiosité.
Sinon, pour soigner ta frustration, j’ai une solution toute simple : tape-toi Délivrance. 
Héhé. C’est une bonne idée de séance avec mon fils, qui, je rassure tout le monde, est en âge de voir un homme imiter un cochon
On en mange bien…
C’est bien. Tu as conscience de ta condition.
Ça te coûtera moins cher en analyse.
« Ce n est pas parce qu ils sont nombreux à avoir tort, qu ils ont raison. »