L’édition que j’attendais
Ils ont ressorti d’autres titres de Taniguchi dans cette collection.
Désolé, je rattrape mon retard d’annonces de sorties mangas (normalement, c’est bon pour ceux qui sont déjà sortis… Je vais attaquer ceux de cette semaine)…
Tori.
Oui j’ai cru voir. Faut que je comble ma lacune sur cet auteur mais j’avoue que le sens de lecture occidental est rédhibitoire pour moi
C’est marrant qu’il ait signé en lettres latines, mais ait écrit le nom du destinataire en katakana… Sachant que le nom de la personne en question est Paolo (ou Paulo).
Tori.
Comme le sujet du Club BD du jour était Tanuguchi, il a bien fallu que je m’y colle (lecture annuelle d’un manga : check). Et donc, j’ai ressorti la première édition intégrale, celle que j’ai eue sûrement par mon beau-frère. J’ai souvenir de l’avoir lue, mais en la finissant ce matin, je me suis demandé si j’étais allé au bout la 1ère fois. Bref
La manière dont démarre cette histoire fait, qu’en fonction de l’age ou du vécu qu’on peu avoir, ça change la donne au niveau du capital sympathie d’entrée de jeu. Je suis persuadé qu’en 2007, je n’ai vraiment pas ressenti la même chose que cette semaine.
Au niveau rythme et du sujet, dans la thoérie, ce genre de Taniguchi, c’est pas ma came. Mais pour avoir comparé avec d’autres œuvres ce matin, et surtout, de m’être arrêté uniquement à cet ouvrage (contrairement à un autre camarade qui a frôlé l’indigestion… il aurait dû me demander, je l’aurais prévenu), c’est passé tout seul ? Et aussi, parce que j’ai pu me projeter plus facilement sur l’histoire, vu l’age du personnage principal.
Et globalement, il y a plusieurs sentiments qui en ressortent, avec un côté émotion au début, rigolo quand il se met dans la peau du Lui ado, et à mi-album, un autre sentiment quand la nature du « voyage » prend son vrai sens. Visiblement, cet album a des points communs avec le reste de l’oeuvre de Taniguchi (en tant qu’auteur), notamment de ce qui est de l’honneur très japonais (et pour le coup, ce sont vraiment les femmes/mères qui sont indirectement mises en avant, je trouve, face à leurs maris qui font des choix plus persos), mais aussi sur les familles dysfonctionnelles.
Et puis cette toute petite touche de fantastique prend un sens très sympathique en conclusion, qui laisseà réfléchir le lecteur sur l’impact du « voyage ».
Donc, j’ai bien aimé, mais je reste prudent sur l’auteur. Je crois que je vais aller l’explorer uniquement qu’en tant que dessinateur.
Même là je me souviens de lecture assez difficile
Son titre de samouraï m’intéresse quand même. J’ai feuilleté, ça a l’air d’envoyer.
Kaze no shō - Le livre du vent ?
Tori.
Oui.