READY PLAYER ONE (Steven Spielberg)

C’est petit mais on aurait la couverture du livre " The Art of READY PLAYER ONE" : https://www.broadwayworld.com/bwwtv/article/Explore-the-Oasis-Like-Never-Before-in-The-Art-of-READY-PLAYER-ONE-20180306

Et la B.O semble s’annoncer sur un double CD : Ready Player One (OST By Alan Silvestri) (2CD) | Bilbo

Ce qu’il y a de certain, c’est que Spielberg s’est bien amusé avec ses références. Le film est beaucoup plus réussi qu’un Pixels (encore que c’est pas trop difficile de faire mieux qu’un étron), et on peut retrouver l’enthousiasme de ses précédentes productions, où l’aventure est de mise. A l’instar des Mondes de Ralph, Spielberg multiplie les clins d’oeil aux geeks, une arme par ci, un personnage par là, une réplique culte de l’autre côté, et un monstre hommage à Kubrick. Et tout ça en passant par la musique pop des années 80 (ça devient un tic). A force, ça peut paraître lourd, tout est une question de point de vue, de mon côté, ça a été mais tant pis si on ne comprend pas la référence, ce n’est pas bien grave.

Au niveau des péripéties, on a notre compte, le film est très bien rythmé. En terme de divertissement, le contrat est plus que rempli. Là où j’ai eu plus de problèmes, c’est au niveau des enjeux, et au niveau des personnages, car ceux-ci ne m’ont fait ressentir aucune émotion. C’est assez creux (certains ne seront pas d’accord avec moi certainement).

Je n’en dis pas plus pour le moment, je reviendrai certainement dans le débat plus tard.

Il sera aussi le méchant dans Captain Marvel, donc oui.

Parce qu’il y a moultes références, et qu’on ne les connait pas forcément toutes (ou qu’on ne s’en rappelle pas, comme le flingue de Judge Dredd par exemple), voila une petite liste:

Pour rester dans l’ambiance du précédent commentaire le nouveau film de Spielberg, et le Moyen Âge [Pour en savoir +].

Magistral film testament de Spielberg. Probablement l’œuvre la plus incroyable quand à l’inutilité de savoir s’il y a une différence entre réalité et fiction (de la même façon qu’A.I concluait sur la futilité de définir la vie en terme de biologie ou synthétique) puisque la chacune se nourrit de l’autre et participe à la structure de l’individu et de la société.

Le film est tout ce que j’espérais et bien plus encore