Jim Starlin’s Infinity saga continues here! After defeating Thanos, Adam Warlock won the Infinity Gauntlet - and now has absolute power! Can the most powerful being in the universe be convinced to give up the Gauntlet? And who can be trusted with even a portion of its awesome abilities? Meanwhile, the Silver Surfer races to destroy Thanos’ shrine to Death - but first he must contend with onetime Infinity Gem owner the Collector, and face his darkest fears! Plus: discover the fate of Thanos’ daughter Nebula! Don’t miss the stories bridging the Infinity Gauntlet and Infinity War events, guest-starring the original Captain Marvel, Doctor Strange, Thor, the Inhumans, and an army of cosmic forces!
COLLECTING: Silver Surfer (1987) 60-66, Dr. Str ange : Sorcerer Supreme 36, Warlock & the Infinity Watch 1-6, material from Silver Surfer Annual 5
- Broché: 352 pages
- Editeur : Marvel; Édition : 01 (24 septembre 2013)
- Langue : Anglais
- ISBN-10: 0785184864
- ISBN-13: 978-0785184867
- Dimensions du produit: 16,8 x 1,3 x 26 cm
J’ai déniché chez un soldeur ce TPB bien sympathique, sans trucs essentiels, mais qui offre une lecture des plus agréables.
En gros, le contenu se déroule peu après le cross-over Infinity Gauntlet, le premier des gros événements orchestrés par Starlin autour du retour de Warlock. Après cette grosse fiesta, ledit Warlock, qui a écopé de la responsabilité des Gemmes de l’Infini, regroupe une équipe de bras cass… euh, de héros, afin d’en partager le fardeau. Le TPB rassemble donc les six premiers épisodes de Warlock and the Infinity Watch, ainsi qu’un épisode de Doctor Strange et sept chapitres des Silver Surfer de Ron Marz. Ce dernier était encore un jeune scénariste à l’époque (1992) mais il fournit un travail plus starlinien que Starlin.
Le Collector, une contamination, l’apparition fantomatique de Captain Marvel, et même Mistress Love et Sire Hate (le second est une création de Starlin, alors que la première est une invention de DeMatteis dans Defenders), tout cela navigue dans des eaux déjà explorées par Starlin, avec la petite dimension de quête intérieure qui a déjà fonctionné pour Captain Marvel et pour Warlock. Rajoutons que Ron Lim était plutôt en forme (et sa manière de s’inspirer du boulot de Jim Lee est plutôt subtile), et que le lettrage de Ken Bruzenak est d’une fluidité sidérante, en dépit d’un grand nombre d’invention, et vous obtiendrez une lecture des plus agréables.
Une petite plongée dans des récits qui ont vingt-sept ans, et qui demeurent très chouettes, en dépit du fait qu’ils appartiennent à une décennie qui aura encore quelques années avant de nous proposer nettement pire…
Jim