Pour son reboot cinématographique, Resident Evil retourne aux origines. Réalisé et co-écrit par Johannes Roberts (The Door, 47 Meters down…), ce nouveau film est annoncé comme plus fidèle aux jeux vidéos que la saga supervisée par Paul W.S. Anderson. L’histoire se déroule en 1998 et explore les secrets du manoir Spencer et de Racoon City.
La distribution réunit notamment Kaya Scodelario (Claire Redfield), Robbie Amell (Chris Redfield) et Hanna John-Kamen (Jill Valentine). Sortie prévue en septembre.
I really wanted to go back to the original first two games and re-create the terrifying visceral experience I had when I first played them whilst at the same time telling a grounded human story about a small dying American town that feels both relatable and relevant to today’s audiences.
Comme je l’ai souvent répété, je n’y connais pas grand chose en jeux vidéos mais d’après ce que j’ai compris, ce dernier Resident Evil en date est plus proche de la saga vidéoludique que les films de Paul W. S. Anderson. Mais ce n’est pas une grande réussite pour autant. Il y a quelques bons passages, des moments de tensions pas trop mal fichus (Johannes Roberts n’était pas manchot dans ce domaine dans certains de ses films précédents), mais l’ensemble ne tient pas, avec sa distribution inégale et son histoire pas très bien maîtrisée qui n’échappe pas à un sérieux côté déjà-vu…
Je pense que Marine Johannes Roberts ne ment pas sur ses intentions. Elle a dû se gratter les cheveu pour essayer de prendre le meilleur des deux films.
Le tout est peu mis en valeur par le casting un peut trop léger.
J’aurais aimé plus de surprises notamment peut-être introduire les personnages du RE Zéro, oubliés dans la saga vidéoludique. Mais dans l’esprit, c’est bien adapté.
Je reviens sur le Casting mais le Léon Kennedy n’est pas le meilleur…
