RIVAGES LOINTAINS (Anaïs Flogny)

Rivages lointains

1938, Chicago. Jules, un jeune immigré italien de 17 ans, vit de petits boulots jusqu’au jour où Adam Czar, un ponte de la mafia locale, séduit par son culot, lui propose de travailler pour le milieu en récupérant le pizzo payé par les commerçants en échange de leur protection. Attiré par l’argent facile et les beaux costumes, Jules accepte et s’intègre vite grâce à son bagout. Parallèlement, les deux hommes entretiennent dans le plus grand secret une relation amoureuse, situation particulièrement mal vue dans le milieu. Jules prend alors de plus en plus d’assurance, jusqu’au moment où une guerre entre familles les pousse à rejoindre New York. Grâce à ses origines italiennes, il intègre une des familles qui détient le pouvoir à la Grosse Pomme, pendant qu’Adam, d’origine polonaise, doit se contenter d’être un simple associé… Jules prête serment et devient alors un homme influent à son tour, attisant les tensions entre les deux hommes. Il croise sur sa route Eufrasio, un mafieux impulsif qui l’entraîne dans un jeu devenu incontrôlable et dangereux, surtout lorsque les Fédéraux commencent à s’intéresser de près à leurs affaires…

  • Éditeur ‏ : ‎ DARGAUD; Illustrated édition (19 janvier 2024)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 240 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2205204572
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2205204575
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 1,04 Kilograms
  • Dimensions ‏ : ‎ 20.4 x 2.7 x 26.8 cm

Lancement d’une nouvelle collection chez Dargaud. Il y aura de tout, de la jeunesse, du manga, du tradi. La volonté caché c’est de concurrencer 619 qui bénéficie d’une jolie presse auprès des lecteurs et libraires et presse pour ce qu’il tente à chaque fois mélangeant les genres.

Rivage lointain peut se résumer en polar yaoï dans les années 30 et c’est pas terribles, pas terribles du tout. J’ai pas accroché, je dois pas être la cible, mais la romance est pour moi ridicule, le côté mafieux, c’est plutôt rififi chez les branques. Bref naze.

Il y a un titre jeunesse du même label bien plus sympa qui sort en même temps.

Ah tiens, on ne le sent pas trop au vu des premières pages (je posterai quelques extraits). J’ai trouvé ça bien raconté, mais décompressé.

Je vais me renseigner.

Jim

Quelques pages :

Jim