Sirènes dans le manga

Ayé! je viens de relire la série et en effet il y a bien une sirène au tome 6, dans la première moitié. L’histoire avec elle est relativement courte, voire j’ai un peu l’impression que cet épisode était juste pour placer une sirène (être féérique plus gracieux et agréable à dessiner qu’un bras long, une armure ou une girafe)… Mais au moins je l’ai trouvée! Merci Sherryn de t’en être souvenue, car j’ai beau adorer cette série cet épisode ne m’avait pas marquée…

Si tu cherche encore, le manga « Monster Musume » dispose d’une sirène dès le second tome.
Faut simplement apprécier le genre comédie/harem.

La série Princesse Résurrection en a aussi une mais celle-ci a des jambes (et au point où je suis dans le manga elle n’as pas encore retrouvée son apparence originale).

Ah oui, on dirait bien qu’il y a du boobs, c’est du harem, mais nettement plus chaud que love hina!

Hop, un peu de nécroposting…

Suiginto> Je viens de lire Tsuki no ko en anglais, c’est une excellente série et tout comme toi je trouve dommage qu’elle ne soit pas disponible en France. Même si je ne suis pas aussi enthousiaste que toi car je trouve qu’il y a certaines faiblesses de scénario (d’où sort la sorcière? Quelle utilité a Artem Zaikov?), cette série a plein d’attraits: les relations bizarres entre personnages (Art refuse l’amour de Benjamin et lui préfère l’innocence de Jimmy et lorsqu’il danse avec elle, il a l’impression de faire une scène d’amour avec un gamin ce qui le révulse, Shonach qui obnubilé par son amour pour Benjamin finit par voir toutes les personnes comme des monstres bestiaux, vues subjectives assez cocasses, et Rita qui devient à moitié folle par son amour pour Gil possédé par Teruto), mais avec de l’action qui avance (contrairement à Please save my earth que je trouvais lent comme la mort) la liaison réussie entre vie réelle et fantastique, avec l’histoire de Tchernobyl et ce sentiment d’urgence douloureuse, son design/ambiance so eighties avec le décor d’un New-York des années 80 et la mode et les coiffures (ça m’a fait penser à Banana fish), sa fin floue entre rêve et réalité, ses pleines pages avec les monstres ou les pouvoirs qui se manifestent… En plus 12 volumes, ça n’est pas trop long :wink:
Bref merci de me l’avoir fait découvrir à l’occasion de cette recherche!

De rien! :slight_smile: Ravie que cela t’ait plu, ça fait plaisir de voir autant d’enthousiasme pour un manga de Reiko Shimizu! :smiley:
Tes questions sur la sorcière et Artem Zaïkov me donnent envie de relire la série tiens, j’ai un souvenir un peu flou là-dessus ^^’