Comment réagiriez-vous si vous découvriez que vos parents n’étaient pas ceux que vous pensiez ? La vie de Teddy, jeune lycéen grandissant dans une banlieue résidentielle en Alaska, bascule le jour où il poste innocemment une photo de son père sur les réseaux sociaux et découvre qu’il fait partie d’un programme de protection des témoins ! Un homme assoiffé de vengeance débarque alors en ville, en même temps qu’une cohorte d’agents du FBI… Et si les raisons qui ont poussé son père à entrer dans ce programme étaient moins innocentes qu’il ne le prétend ?
Ollie Masters et Tyler Jenkins signent un thriller mordant comme le froid polaire. Un récit noir sur fond blanc, sauvage comme le Grand Nord.
On assiste donc à un phénomène qui se développe, je trouve, à savoir que les collections (ici, « Grindhouse », qui a pour l’heure accueilli des créations) ne sont plus toujours identifiées par leur contenu, mais peuvent accueillir des œuvres de différentes provenances (créations ou traductions, par exemple). Ce qui, en soit, est plutôt pas mal comme approche : cela revient à identifier la collection par sa tonalité, non par sa source d’approvisionnement.
Tu as peut être bien fait … mais j’ai d^u mal à résister à une bière que je ne connais pas … et ici, les micro-brasseries, c’est quelque chose ! Heureusement que je sais être raisonnable !
Moi, c’est l’âge. Je n’ai jamais eu de goût pour le vin, mais j’ai toujours bien aimé la bière. Sauf que j’ai noté que je me remettais de plus en plus mal de soirées arrosées (à 18 ans, on met une nuit de sommeil à récupérer, à 28 ans une bonne journée, à 38 ans une demi-semaine…). Donc comme le rapport plaisir / tracas était de plus en plus déficitaire, j’ai arrêté.
Bah disons que je n’ai pas le palais assez éduqué, que je n’ai aucune ambition à ce niveau, donc que, au fil du temps, je n’y voyais plus d’intérêt. Quitte à arrêter les soirées arrosées, pourquoi ne pas pousser plus loin ? Donc tout ça accumulé fait que je bois de l’eau, et c’est très bien comme ça.