SUPERMAN: LEX LUTHOR SPECIAL #1
Written by JOSHUA WILLIAMSON
Art and cover by EDDY BARROWS & EBER FERREIRA
Variant cover by GLEB MELNIKOV
Foil variant cover by EDDY BARROWS & EBER FERREIRA
$3.99 US | 32 pages | Variant $4.99 US (card stock)
ON SALE 1/29/25
During the battle of the House of Brainiac, Lex Luthor’s memories were wiped clean…but now, after the events of DC All-In Special #1, the world needs Lex to remember his past. There is a key piece of information in Lex’s lost memories that could unlock an epic mystery that plagues Superman and the Justice League! But what if Lex doesn’t want to remember? Would Superman sacrifice Lex’s newfound peace to solve a secret, even if it means the return of Superman’s fiercest rival?
Sympa!
DC Comics has released a 6-Page Preview and Covers of Superman: Lex Luthor Special #1 comic, that will be on sale on January 29, 2025 as a print and digital issue.
ONE-SHOT!
THE RETURN OF LEX LUTHOR?
The Official Synopsis of Superman: Lex Luthor Special #1 comic:
During the battle of the House of Brainiac, Lex Luthor’s memories were wiped clean…but now, after the events of DC All-In Special #1, the world needs Lex to remember his past. There is a key piece of information in Lex’s lost memories that could unlock an epic mystery that plagues Superman and the Justice League! But what if Lex doesn’t want to remember? Would Superman sacrifice Lex’s newfound peace to solve a secret, even if it means the return of Superman’s fiercest rival?
Un peu rapide, un peu dommage de rechanger Lex aussi vite, mais sympathique. Joshua Williamson utilise ce numéro spécial pour ramener « le vrai Lex », après la saga Brainiac de Phillip Kennedy Johnson où Luthor a perdu la mémoire et toute personnalité oppressante. On le retrouve à traîner dans le parc avec Mercy Graves, et donc à flirter, après un essai échoué avec Lena pour retrouver des souvenirs en essayant de jouer du piano. Des flashbacks montrent le jeune Lex formé et révélé être brillant par sa mère, avec la présence oppressante d’un Lionel violent, alcoolique et brutal, qui rejette les réussites de son fils. On le voit ainsi considérer Lex comme un « monstre » car il a créé un projecteur de musique vers l’Espace tout jeune, à Smallville, qu’il déclenche en secret et qui, inconsciemment, apaise les pleurs de Clark bébé. Au présent, Superman est interpellé par Mr Terrific qui a « besoin » du génie de Lex, prompt à plonger dans les idées obscures, afin d’étudier le nouveau monde créé par la mort de Darkseid. Superman vient demander au nouveau Lex de l’aide, apaise une foule qui le rejette dans le parc, mais ce Luthor refuse malgré les engagements de Clark, disant que « le vrai Lex » voulait changer (voir l’alliance depuis le début de la série actuelle) et que le monde pouvait bénéficier de son aide. Finalement, Lex réfléchit seul, replonge dans ses souvenirs et cède… en retrouvant son don au piano (et la musique que Clark & Lois entendent seuls), et transmet des idées à Mr Terrific. Les souvenirs sont revenus… et quoi d’autre ?
C’est bien fait, mais… mais dommage. Dommage, oui, car j’aimais bien ce Lex « tout gentil », tout paumé, tout perdu qui flirtait avec Mercy. J’aimais aussi sa naïveté et sa douceur, et je crains (légitimement vu les previews) un retour du Evil Lex, loin finalement du Lex en rédemption de Williamson. C’est aussi dommage de passer par cet épisode, solide en soi mais pas brillant, qui passe par des moments bien réalisés mais sans brillance, sans grande inspiration. Je retiens le petit dialogue entre Lex et Superman, et le cliffhanger bien fait, mais ça reste peu. Heureusement, graphiquement, Eddy Barrows et Eber Ferreira livrent de très belles planches, très iconiques et agréables à l’oeil.
Un numéro correct, qui achève rapidement un moment trop rapide, mais c’est vraiment bien dessiné.