SUPERMAN (Richard Donner)

Je connais pas mais effectivement dans l’apparence et l’attitude on est dedans

Lou Grant interprété par Ed Asner. Personnage secondaire dans la sitcom The Mary Tyler Moore show une des plus importantes des années 70. Il est le rédacteur en chef du journal télé de Mineapolis dans lequel travail Mary Tyler.

A l’arrêt de la sitcom, le personnage aura sa propre série en 1977, Lou Grant, qui sera un drama (chose rare donc qu’un spin-off n’évolue pas dans le même genre que sa série mère). Dans celle-ci Lou Grant devient le rédacteur en chef du Los Angeles Tribune. La série durera cinq ans.

Et j’adore son générique :

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Toujours au rayon « séries us des années 70 », deux des futurs interprètes de Perry White (Jackie Cooper & Lane Smith) apparaissent dans un même épisode de The Rockford Files.

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Superman TAS, My Adventures with Superman actuellement (mais il faut accepter un trait plus asiatique et des adaptations) en animés.
En séries Live, la meilleure série Superman est Superman and Lois à mon sens, formidable et bien interprétée et bien réalisée et bien écrite (avec là aussi une adaptation) mais surtout c’est l’une des seules avec une vraie fin.
Je dirais aussi que Smallville se révèle à posteriori plus forte que je ne le pensais.

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Merci bien, c’est noté.

Eh eh eh … pour de vrai ?:grin:

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On allait y croire et pouf, ben jump the shark.

Franchement, ouais. Les dernières saisons adaptent plus les comics et le font bien, la proto Justice League est correcte, le Green Arrow prépare Arrow (et j’aime Arrow) avec des troubles moraux pour Oliver qui fonctionnent bien pour montrer en parallèle la grandeur de Clark.
Oui, il y a trop d’épisodes, les premières saisons sont trop orientées sur le carcan monstre de la semaine / amourettes, mais c’est une préparation lente mais cohérente de Superman. La gestion des parents humains et kryptoniens est bonne et Tom Welling joue bien le boy-scout.

Et krytonite de la semaine
(Au shaker ou à la cuillère)

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Faut dire que les pouvoirs par irradiation à la Kryptonite, c’était facile mais fort pratique.
Je n’ai par contre pas aimé le délire mystique amérindien.

Tu oublie son principal atout : sa double dose de Luthor (Lex & Lionel), là où Lois & Clark se tire une balle dans le pied en se débarrassant de son Lex dès le final de la première saison.

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Oui, mais leur Lex revient à chaque saison, mais en statut illégal alors que le sel de l’opposition est sa puissance économique contre les super-pouvoirs. Bon, Lois & Clark a montré aussi des fils de Luthor mais surtout quasi rien en adaptation de super-vilains, ce qui est très dommage.
Le Lex de Smallville est une belle réussite dans son arche narrative longue.

Vous avez bu, Didier.

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Uko Smith

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AKA le plan à la John Ford.

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Mais tellement.

(Bon, moi, le plan, très fordien aussi, de la mort de Pa Kent surcadré par la terrasse de la maison, c’est peut-être lui qui fait le plus battre mon cœur dans le film…)

Jim

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L’enchaînement de plan qui commence par le lever de soleil dans la cuisine des Kent, Martha qui regarde Clark par la fenêtre et la conversation c’est le chef d’oeuvre de Donner

Avec bien sûr, Superman qui dit au revoir a Loïs sur le balcon et Clark qui rentre dans l’appartement 5 secondes après. Mon plan séquence préféré du cinéma.

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Mais chef d’oeuvre parce que c’est pas une image d’Epinal, un espèce de cliché qui fait bander un réalisateur visionnaires et awesome.

Cette scène (et celle que cite Jim, oserais-je aussi rappeler qu’avec cette scène Glenn Ford pose le John Kent de référence) est d’autant plus forte qu’elle sert de clé de voute à un ensemble. Elle fait le lien entre Krypton la biblique et Metropolis la cité de demain. Entre les origines et la modernité. C’est l’expression naturelle (et non la récupération commerciale) de la nostalgie. Savoir d’où on vient sans que cela soit un boulet (parce que, justement, Clark sait qu’il doit partir).

C’est le cœur de tout le travail de Donner et Mankiewicz quand il tente de répondre à la question : « comment faire croire à l’existence de Superman ? ».

Bon sinon en terme d’image cinématographique de super-héros à l’état pur. Je répondrais par :

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C’est quelque chose qui m’a souvent marqué sur le fonctionnement du film. C’est que j’ai souvent vu des gens qui n’avaient pas vu le film se moquer gentiment du costume de Reeves en le trouvant un peu kitch mais jamais pendant qu’il regardait le film.
Et je pense effectivement que la partie a Smallville y fait beaucoup car on assimile inconsciemment que le jaune et le bleu que Clark met dans son costume viennent du ciel et des champs de blé de Smallville et qui nous ont en mis plein la vue juste avant.

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La B.O de Williams est ré-éditée en quantité limitée par La La Land Records : c’est l’édition ultime, rien que ça.

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