Le dessinateur Sylvain Vallée vient de mettre la dernière touche aux crayonnés des 114 planches de Tananarive, un récit d’aventures, apparemment tourné vers la comédie, sur scénario de Mark Eacersall.
Au soir d’une vie rangée et précautionneuse, un notaire en retraite va partir à l’aventure pour la première fois de son existence. Petite aventure, mais véritable odyssée pour lui. Lancé aussi vite que ses vieux os le lui permettent sur les traces d’un hypothétique héritier, au volant d’un coupé qui n’avait jamais quitté le garage et accompagné d’un curieux passager, il va découvrir qu’il n’est jamais trop tard pour en apprendre sur les autres…
… et sur soi-même.
Non, c’est que c’est sympa cet histoire de mec qui raconte des gros mythos à son pote qui s’en rend compte à sa mort, mais c’est pas non plus le truc de fou. C’est pas spécialement drôle, c’est pas un feel-good, ca raconte pas grand chose même si sur deux trois passage tu vois bien que ça pourrait en dire bien plus.
C’est bien fait, ça se lit bien, mais ça se retient pas. C’est du milieu de panier ça.