THE DOOR (Johannes Roberts)

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DATE DE SORTIE FRANCAISE

1er juin 2016

REALISATEUR

Johannes Roberts

SCENARISTES

Johannes Roberts et Ernest Riera

DISTRIBUTION

Sarah Wayne Callies, Jeremy Sisto, Javier Botet, Jax Malcolm…

INFOS

Long métrage britannique/indien
Genre : horreur
Titre original : The Other side of the door
Année de production : 2015

SYNOPSIS

Marie est confrontée à la mort tragique de son plus jeune fils. Lorsqu’elle apprend l’existence d’un ancien temple sacré, capable ramener son fils à la vie, elle n’hésite pas à braver tous les dangers pour le retrouver et ouvrir la mystérieuse porte qui déclenchera de funestes événements…

La bande-annonce :

youtube.com/watch?v=ClIgZpBVB3M

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C’est un peu un film d’horreur à l’ancienne, celui-là. Déjà, il prend son temps : sur 1h30, les choses sérieuses commencent au bout de cinquante ou cinquante-cinq minutes. La première heure est en gros consacrée à la construction des personnages, à la présentation des enjeux et à la montée de la tension.
Ensuite, en termes de thématique et d’articulation de péripétie, c’est à la fois simple, limpide et prenant. Les effets spéciaux, certes modernes, restent discret, le sang et les morts (ou blessures) sont souvent traités hors-champ voire à l’occasion d’ellipses, confirmant ce statut de narration à l’ancienne, qui repose davantage sur ce que l’on ne voit pas que sur ce qui est montré.
Ça n’en fait pas un grand film, d’une part parce que les acteurs ne sont pas les meilleurs du monde (mais là, ils jouent assez bien le désarroi de parents blessés), d’autre part parce que l’ensemble est assez convenu, mais il y a un certain savoir faire qui fait que rien n’est réellement surprenant mais que tout est efficace.

Jim

Bien résumé. C’est certes ultra classique, on ne s’écarte pas vraiment des chemins balisés du genre (la fin se voit venir à des kilomètres, par exemple…et pourtant elle reste efficace), mais l’ensemble est correctement emballé. J’ai bien aimé l’atmosphère, les décors, les effets bien dosés et le fait que l’histoire prenne son temps pour développer les personnages et leur trauma et pour faire monter la tension.