Exactement !
Non, parce qu’en fait, je ne regardais pas ce compteur … mais pour autant, j’étais à jour !
Exactement !
Non, parce qu’en fait, je ne regardais pas ce compteur … mais pour autant, j’étais à jour !
Mais parce que tu vis sur le forum au détriment de ton travail et de ta vie de famille.
Je dors peu surtout.
Veinard.
Jim
The Flash #774
Written by: Jeremy Adams
Art by: Christian DuceIntroducing Dr. Nightmare! Bad dreams come to life and lead to chaos on the streets of Central City on the same night the Fastest Man Alive attends a daddy/daughter dance. Side-by-side with his super-powered daughter, Wally must not slow down, or they risk falling victim to the man named Dr. Nightmare.
Mignon.
Jeremy Adams livre ici un épisode unique, une rareté ô combien appréciable dans l’ensemble des story-arcs calibrés pour faire des TPB.
Ici, on a Wally qui doit emmener sa fille Irey à un bal père/fille, et qui déjà se crispe légèrement en voyant Irey grandir « si vite ». Cependant, alors qu’ils arrivent à l’école, tout le monde est endormi… car le « Dr Nightmare » a envoyé un gaz endormant dans la ville, pour pouvoir attaquer les locaux de Holt Industries. « Dr Nightmare » a en effet été viré car il voulait tester sa machine sur les humains, une machine qui transforme les rêves en réalité. Il utilise ainsi des cauchemars de ceux qu’il croise pour agir, alors que Wally et Irey ne dorment pas grâce à leurs métabolismes ; mais ils ont perdu leurs pouvoirs.
Irey se révèle courageuse et déterminée, elle ose même mettre le casque de la machine pour créer des soutiens à Wally contre Dr Nightmare. Le super-vilain est vaincu, les pouvoirs reviennent, le père et la fille vont danser à Paris et partagent un beau moment, alors que l’élément spatial vu précédemment s’écrase et est un mystérieux glaive.
C’est mignon, oui. Cet épisode peut clairement crisper ceux qui verront en Irey une gamine bien trop « grande » pour son âge (un peu indéterminé, d’ailleurs), trop courageuse, trop impliquée. Et Wally est un peu trop secondaire, passif.
Mais il y a ici une fougue, une fraîcheur, une douceur, une innocence même qui sont très agréables à parcourir. Le duo père/fille est touchant, le Dr Nightmare est rigolo, et l’ensemble est très mignon. J’ai été pris, je reconnais les failles mais le sentiment général l’emporte.
Christian Duce propose des planches efficaces, un peu figées mais qui font le job. Je n’en demande pas plus.
Je reste content de cette série, sûrement pas « formidable » mais qui a à coeur de bien traiter ses personnages, avec un Jeremy Adams qui aime clairement les West. Quel plaisir.
The Flash #775
Written by: Jeremy Adams
Art by: Fernando PasarinHunt for the glaive! When a mysterious glaive crash-lands in the middle of Central City, the Flash must race against time to stop its ill effects, all while keeping an army of super-villains from obtaining this unknown and sinister cosmic prize.
Cette reprise continue à me plaire, beaucoup !
Jeremy Adams propose encore un épisode dense, où il se passe beaucoup de choses. Le fameux et mystérieux glaive cosmique est planté dans Keystone City, et même Superman n’arrive pas à le déloger. Clark et Mr Terrific sont secs avec Wally, mais aussi Linda et ses collègues au boulot sont rudes et s’engueulent. Toute la ville, en fait, s’emporte et montre sa colère, alors que plusieurs super-vilains veulent s’emparer du glaive.
Wally les repousse, mais Starbreaker, le vampire cosmique, arrive mais se fait posséder par le glaive, a priori une prison. Le prisonnier est libéré, responsable de cette colère générale car il appelait une entité pouvant le contenir. Il s’enfuit avec le corps de son hôte involontaire, Wally discute avec une Linda gênée mais est happé par Dr Fate, qui a besoin de lui pour sauver le monde.
C’est assez cool, en fait. Jeremy Adams s’évertue à proposer des récits assez rapides, denses, avec beaucoup d’événements, et c’est agréable. J’aime bien les petits subplots, le passage de plusieurs personnages. Le job de Wally chez Mr Terrific est intéressant, et l’ensemble est fluide et dynamique.
Je suis juste un peu gêné par ce Wally « clown », qui me rappelle beaucoup la version de Justice League TAS puis JLU. C’est sympa’, hein, et rigolo, mais ça n’est pas « mon Wally », car je le trouve trop déconnant et délirant dans son approche. M’enfin, ça reste quand même solide, et mieux vaut ça que Heroes in Crisis.
Fernando Pasarin n’a pas un trait dynamique, mais ses planches sont efficaces, et j’aime beaucoup son style. Je suis content de le retrouver ici.
Quel plaisir de revenir ici régulièrement.
The Flash #776
Written by: Jeremy Adams
Art by: Fernando PasarinDoctor Fate arrives to whisk the Flash away to the IN-BETWEEN, a two-dimensional causeway filled with demonic forces. Now it’s up to YOU, the reader, to help the Scarlet Speedster make his way through the dangerous dimension toward his final destination and the beginning of a brand-new adventure!
Cool !
Jim
Excellente cette page !
Et dans la tradition de certaines couvertures :
Jim
Oh. Bon. Sang.
La pépite.
Littéralement la pépite !
Jeremy Adams livre un épisode formidable, extrêmement jouissif et ludique ! C’est formidable !
Oh, il ne s’y passe pas grand-chose, mais la narration est merveilleusement fun et entraînante. On voit en effet Dr Fate et Flash dans une dimension annexe, où ils doivent passer pour rejoindre Gemworld afin de stopper Eclipso. Mais pour cela, pour avancer dans ce monde où leurs pouvoirs sont quasiment éteints, ils ont besoin… du lecteur !
Oui !
Jeremy Adams ne cesse d’impliquer le lecteur, en lui demandant de croire en eux, de tourner les pages d’un côté ou d’un autre, de toucher des éléments pour lancer un sortilège ! Et c’est trop bien !
Il ne se passe pas grand-chose, oui, c’est une grande course en avant avec des obstacles, mais c’est tellement fun et jouissif ! Ca rappelle les Livres-dont-vous-êtes-le-héros, même si la structure des comics ne permet pas d’y aller autant, et c’est top.
Jeremy Adams s’amuse, m’amuse, s’éclate avec les personnages, dose bien l’humour avec Wally (enfin), utilise bien Khalid Nassour (que j’aime bien). Les menaces sont génériques, mais je m’en fiche : c’est fun, c’est dynamique, j’adore !
Fernando Pasarin livre des planches très jolies, certes un peu figées, mais avec de beaux décors, de beaux détails et, finalement, Wally ne court pas, ici.
C’est joli, j’aime le style et ça sert très bien le récit.
Quelle pépite ! J’aimais déjà beaucoup le run jusque-là, et maintenant je suis épaté ! Quelle belle fin pour ma pile DC de la semaine !
Ca sent la VF, cette affaire.
Très sympathique, ce premier arc signé Jeremy Adams (que je ne connais pas).
Wally est donc perdu dans le temps (l’idée est classique, mais sa mise en œuvre est originale) et Barry, Oliver Queen et Mister Terrific tentent de le secourir. C’est pas mal, ça ne s’éternise pas, et surtout, il y a beaucoup d’humour et de légèreté. Des scènes qui tournent presque à la comédie mais qui ne désamorce pas le suspense (les cliffhangers sont très bien placés).
Il y a une chouette compréhension de la continuité, de la tradition héroïque du titre, de l’histoire des personnages, ce qui confère à la fois du suspense au récit et du charisme aux personnages.
L’Annual, qui conclut ce premier arc, est plutôt chouette, et dispose de mille qualités. Les deux principales sont le retour d’un super-vilain issu d’une période que j’apprécie énormément (et ici, il a une vraie présence, bien mise en avant par Pasarin), et la relecture d’une saga récente, sous une lumière nouvelle qui la rend presque supportable. Surtout, là encore, Jeremy Adams en tire une chouette caractérisation, des personnages complexes et sensibles, qu’on a envie d’aimer.
Vraiment, très très sympa : je vais continuer à lire la série et surtout à m’intéresser aux travaux de ce monsieur.
Jim
C’est un « p’tit nouveau » dans les comics, il a débuté avec Future State. Il vient de la TV, où il a écrit pas mal de dessins animés et travaillé sur Supernatural (c’est lui qui a co-écrit le crossover avec Scooby-Doo). Il a aussi scénarisé des longs métrages d’animation DC.
Ouais, je n’avais jamais vu son nom ailleurs.
Ah, c’est souvent une bonne école.
Pas toujours, mais souvent.
Ah, un des rares épisodes que j’ai vus : et j’ai adoré.
Jim
THE FLASH #777
Written by: Jeremy Adams.
Art by: Will Conrad.
Covers by: Brandon Peterson, Jorge Corona.
Description: Justice League Dark on Gemworld! Having traveled to Gemworld by way of the second dimension, the Flash joins Justice League Dark and the princess of Gemworld, Amethyst, in a race against time to thwart Eclipso’s evil plans.
Pages: 32.
Price: $3.99 (Card stock variant, $4.99).
Available: December 28.
Dc veut nous faire croire que le Green goblin du film (sm3) est arrivé chez Dc ?