Je souris tout de même.
Elle cherche à se distancer de son film dont elle est la realisatrice et non l acteur. Ou variety insiste dessus. Elle ne pratique pas la langue de bois de la promo, précisément.
En attribuant la paternité du film à Feige, elle desavoue bien la sienne.
A chaque fois, un tire de barrage.
Mais c’est constant de lier les films du MCU à Kevin Feige, nemo. Ce n’est pas une nouveauté.
Je t en prie, poste un itw d un realisateur du mcu en promo qui dit tient de tel propos.
Elle n a pas l air très heureuse de l experience ni du resultat et hormis si elle s est faite piégée, elle tient à le faire savoir.
Un peu compliqué d’interpréter ça sur des propos à l’écrit non ?
Bon bon, ok.
Elle a l’air au bout du bout, c’est clair.
Nemo, tu n’as que le « o » en commun avec le mot « troll ».
Par pitié, favorise les autres lettres. 
Mets en gras la partie finale, le JUST.
Oui, c est clair. Si ça lui a tant plus pourquoi souligne t elle par un « just » qu elle ne voudra pas recommencer ?
Je m en fous en fait.
Vous en faites la lecture que vous voulez.
C est une promo tout à fait normal. Ok
Mais ça te choque ?
Clairement, il y a quand même peu de réalisateurs qui rêvent de travailler constamment dans une grosse structure comme le MCU. Il n’y a guère que les Frères Russo ou James Gunn ou Taika Waititi qui veulent réellement y revenir, car ils y obtiennent un poids réel pour mieux déterminer leurs futurs films (et on a vu que c’était une « super » idée que Waititi soit seul décideur de Thor: Love and Thunder).
Nia DaCosta ou Chloe Zao viennent ici pour se faire plus connaître que dans leurs films indépendants, choper ainsi plus de budgets pour leurs futures productions, et se frotter à une telle grosse machine, par défi.
L’idée ne me semble pas d’y venir pour y rester.
Non, je ne suis pas choqué.
Je note juste qu elle ne joue pas la promo et qu elle se distancie de son film.
Mais même ça, ce n est visiblement pas consensuel pour certain.
Ok. Pas de problème
Je ne retrouve pas de lien, j’en suis navré, mais j’ai souvenir de remontées proches de Chloe Zaho, gênée par le tournage des scènes d’action de Eternals.
Si tu ne me lis que les rares fois où je poste un truc sur le mcu, j aurais beau faire, tu trouveras toujours que je troll.
Mais ta defense du mcu des que tu le penses attaqué est touchante. Fidèle au poste. A chaque fois.
Quand tu me manques, je sais qu il suffit que je poste sur le mcu pour te voir surgir. C est pratique.
Clin d’œil
Mega sourire
Tu postes aussi un article qui ne parle que de morceaux choisis d’un autre, celui de Vanity Fair.
DaCosta was a nerd too, having watched X-Men cartoons and Sailor Moon manga on TV when she was young. In The Marvels, she focused on the tricky dynamic among the three main characters, Carol Danvers/Captain Marvel (Larson), Monica Rambeau (Teyonah Parris), and Kamala Khan (Iman Vellani), whose light-based powers are enmeshed in surprising, challenging ways. DaCosta is pleased with the multiplicity of places she could put her stamp: not just strengthening the bond between the lead characters, but redesigning costumes, choosing locations, naming fictional planets, and so on. She loved production, she says, but admits there were days when she texted Destin Daniel Cretton, who directed Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings, things like “I’m overwhelmed” and “I’m so stressed.” As she puts it now, “Sometimes you’d be in a scene and you’d be like, ‘What the hell does any of this shit mean?’ Or an actor’s looking at some crazy thing happening in space, and they’re [actually] looking at a blue X. There were obviously hard days, and days where you’re like, ‘This just isn’t working.’ ”
Postproduction proved to be most challenging. The Marvels shares a bloodline with Captain Marvel and the Ms. Marvel TV show as well as future films. Feige says he prioritizes individual movies over the grander sweep of the studio’s storytelling: “The overarching narrative is secondary to the narrative of the individual film.” But DaCosta was fully cognizant that she’d been hired by a powerful entity to do a job. “It is a Kevin Feige production, it’s his movie,” she says. “So I think you live in that reality, but I tried to go in with the knowledge that some of you is going to take a back seat.”
Comme cet autre extrait le montre, faire un travail de commande n’empêche pas d’imposer ses choix sur différents éléments de production. Et ça n’empêche pas de se dire aussi « mais qu’est-ce que ça veut dire cette merde ? Comment je vais réussir à faire fonctionner tout ça ? ». C’est une façon de parler, ça ne veut pas dire qu’elle traite son film comme une merde, juste qu’il y a des choses à gérer sur une grosse prod, que certaines passent tout seul et d’autres beaucoup moins facilement. Elle est honnête et je trouve ça bien…après si tu ne veux y voir que le négatif…
Ok
Fais attention : si tu postes constamment des propos anti-Marvel par des gens anti-Marvel, on va finir par t’assimiler aux anti-Marvel. Et faudra pas trouver ça insultant.
Jim
Mais je suis tres critique du mcu, ce n est pas la question. Le debat ici semble etre que la parole de la realisatrice ne le serait pas et qu elle ne constituerait pas une prise de distance avec le film.
Je ne vais pas chercher à le demontrer.
Donc ok
Perso’, je pense que Nia DaCosta ne restera pas dans le MCU, parce qu’elle aura été échaudée par l’expérience.
Ca se sent, quand même. Le MCU a du mal à renouveler ses réalisateurs après la grosse et bonne période Russo/Gunn/Waititi. Destin Daniel Cretton peut peut-être prendre le relais avec Avengers: The Kang Dynasty après Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings, mais c’est à confirmer (comme les Russo ont dû confirmer après Captain America: The Winter Soldier via Captain America: Civil War, un vrai Avengers 2,5).
Ce n’est pas anodin qu’aucun réalisateur n’est annoncé pour Avengers: Secret Wars. Le MCU se cherche ; dans les thèmes, dans l’approche, dans le ton, dans les personnages… et dans les créateurs.
Par contre, je ne suis pas choqué des propos de Nia DaCosta, qui fait comprendre qu’elle en a chié mais qu’elle n’en ressort pas « mal » ou frustrée.
C’est différent d’Alan Taylor, qui garde un discours mesuré mais où on sent la crispation : ‘Thor: The Dark World’ Director on Marvel Movie Backlash – The Hollywood Reporter
Je ne vois pas de prise de distance avec le film. Dans ses interviews, elle reconnaît qu’il y a une « fatigue » des films de super-héros mais que le sien est différent par le ton qu’elle lui a donné. Elle fait part de ses difficultés pendant le tournage mais de nombreux réalisateurs sont aussi passé par là. Quant on lit l’article de Vanity Fair, on est loin du compte-rendu de l’expérience d’un David Fincher (par exemple) sur son premier film de studio, et lui a totalement désavoué son film.
Quant au « monde de Kevin Feige », c’est comme ça depuis le début. Il ne faut pas aussi oublier que dans le système étasunien, celui qui reçoit l’oscar du meilleur film, c’est le producteur. Je ne dis pas que c’est parfait, mais c’est comme ça que ça fonctionne à Hollywood…
Je vais pas avoir assez de popcorn vu comment ils le nourrissent.