THE ORVILLE (Saisons 1-3)

300 ans dans le futur, les aventures de l’équipage de bras cassés du vaisseau d’exploration Orville…

Premier visuel officiel :

La bande-annonce :

https://www.youtube.com/watch?v=Yy9sKeCE8V0

https://www.youtube.com/watch?v=ljatrQmoZmU

https://www.youtube.com/watch?v=19aBKC0pEA4

Série renouvelée pour une seconde saison.

Une série très classique dans le genre mais pas désagréable.
Je m’attendais à une série beaucoup plus parodique, mais pas du tout. On dirait vraiment des épisodes de Star Trek Next Generation.
Il y a de l’humour (qui tombe souvent à plat chez moi) et quelques bonnes idées (et des bons sentiments) dans cette première saison.
C’est beaucoup plus fauché que Star Trek Discovery mais ça passe beaucoup mieux selon moi.

Pour l’instant j’adhère à cette série.

Série renouvelée pour une 3ème saison.

La bande-annonce de la saison 3 :

J’ai commencé à regarder la nouvelle série Star Trek : Strange New World sous l’impulsion du Doc. Je vais être franc, je me suis rapidement fait chier. C’est propre, ça se laisse regarder mais j’avoue que j’ai de plus en plus de mal avec cette écriture « gros sabot » à l’américaine où tous les dialogues se font à coup d’allégories moralisatrices. On se croirait chez la CW.

Surtout, je me suis rendu compte que j’avais déjà eu ma dose de space-op’ avec une série qui a gagné ses galons en partant d’un postulat gentiment ironique pour, à sa propre surprise je pense, proposer des intrigues de plus en plus pointues. La bande de bras cassés présentée dans le synopsis n’est en faite pas du tout une bande de bras cassés. Elle navigue au sein d’un cosmos qui se construit, s’enrichit même, très rapidement sous le couvert d’un pastiche de Star Trek pour servir de terreau à des explorations très (très très) profondes.
Tout y passe : religion, identité sexuelle, colonisation, spécisme, devoir, morale et j’en passe dans un essorage vitriolé de notre petite planète.
La saison 2 est assez formidable dans le sens qu’à la vision de chaque épisode, on se demande comment les scénaristes vont parvenir à ramener le « status quo » au centre du vaisseau tellement les enjeux de la série sont démesurés.
La réponse étant - bien entendu - que retour au status quo, il n’y aura pas.

Et c’est probablement en ça que la série « gagne » sur son modèle puisqu’elle n’a pas besoin de se conformer à un « tout-publicisme » , ce qui lui permet de surprendre assez généreusement son audience.

Je ne suis même pas étonné… :wink:

Alors que j’ai bien aimé la première saison de Discovery pour son coté rythmé des intrigues, sans « temps mort ». Comme quoi.