The Regiment - L’Histoire vraie du SAS
Tome 2 Livre 2
L’histoire vraie du SAS, les forces spéciales de l’armée britannique.
Pour faire face à l’écrasante supériorité de l’Afrikakorps de Rommel, des officiers ont l’idée de créer un petit régiment d’hommes surentraînés, voué à combattre exclusivement derrière les lignes ennemies. Après une période d’entraînement et de missions de reconnaissance, le SAS lance ses premiers raids sur les aérodromes allemands.Genres : Action, Aventure, Biographie / documentaire,Historique
Public : 15+
Paru le : 28 septembre 2018
Pagination : 56 pages
Format : 24.1 x 31.8 cm
ISBN : 9782803672349
Prix de vente public : 14.45€ - 23.1CHF
The Regiment - L’Histoire vraie du SAS - Tome 3 - Livre 3
L’histoire vraie du SAS, les forces spéciales de l’armée britannique. Pour faire face à l’écrasante supériorité de l’Afrikakorps de Rommel, des officiers ont l’idée de créer un petit régiment d’hommes surentraînés, voué à combattre exclusivement derrière les lignes ennemies. Après une période d’entraînement et de missions de reconnaissance, le SAS lance ses premiers raids sur les aérodromes allemands.
- Éditeur : LOMBARD; Illustrated édition (4 octobre 2019)
- Langue : Français
- Broché : 64 pages
- ISBN-10 : 2803673061
- ISBN-13 : 978-2803673063
- Poids de l’article : 660 g
- Dimensions : 24 x 1.3 x 32 cm
Ah, le charme des baroudeurs.
Le principe de l’unité d’élite formée par des gens qui ne rentrent pas dans les cases. Utiliser la différence afin de créer une pensée latérale, un cheminement en dehors des voies déjà tracées.
Et ensuite, ça finit par rentrer dans les clous. Je crois que c’est observable un peu partout, dans n’importe quelle entreprise ou institution. Quand le besoin se fait sentir, on pense différemment, on recrute différemment, on organise différemment. Il y a souvent un choix politique derrière, une volonté.
Après, les extraits de la BD m’ont semblé quand même éminemment franco-belgiens. Ça m’a un peu refroidi, pour un sujet pareil.
Jim
c’est du pur FB.
La le choix n’est pas politique hormis le fait de mettre de côté les éléments perturbateur dans ce qui est la plus grande guerre que le monde est connu. et quand on sait la rigidité de l’armée et comment le SAS est lui-même devenue rigide c’est très intéressant.
Voilà : les extraits que l’on voit, et un feuilletage rapide, m’ont donné la conviction que ce n’est pas flamboyant. Ça manque de souffle épique. Et peut-être aussi de séquences muettes, plus introspectives. Ça a l’air super bien fait, propre, tout, mais ça m’emballe pas.
Bah ça reste un choix politique : on écarte les chiens fous, on leur confie une mission en dehors du cadre, si ça merde on ne les connaît pas, si ça gagne on en profite, on conserve la raideur au corps constitué et on rajoute un outil de bricole pour semer le chaos. Complètement politique. On préserve l’armée normale et on se dote d’un outil supplémentaire dont l’existence, dans un premier temps au moins, ne vexe personne, ne fait de l’ombre à personne. Qui plus est, une telle création permet de passer sous les radars espions de l’ennemi.
Je comprends le truc, c’est juste que l’exécution me semble un peu trop lisse.
Jim
De ce que j’ai vu c’est pas tout à fait ça. Les mecs ont été regroupé sur un flanc non majeur et on leur a dit de rester là. Les gars pillaient les autres équipes alliés pour se faire du matos et autres, et puis une mission en entrainant une autre, ça a pris de l’importance.
Héhéhé, les électrons libres.
Décrits comme tu le fais, on dirait les bras cassés de De l’or pour les braves qui seraient passés professionnels.
Jim
C’est bien emballé, mais pas toi.
Tori.
plutôt une agence tout risque qui va rentrer dans l’armée.