En général, je passe le samedi, donc ça ira.
Jim
En général, je passe le samedi, donc ça ira.
Jim
Bon, je vais pas mal tourner en dédicaces, apparemment.
Demain, mardi 9, je suis au Nuage Vert, rue Monge, à 19h30, pour une soirée Lovecraft, mais la libraire a le bouquin et je pourrai en signer.
Vendredi 12 à 18h, je dédicace au Gibert Jeunes de la Place Saint Michel.
Il y aura une date aussi à la Dimension Fantastique, une aux Imaginales, et je risque de passer chez Mollat, à Bordeaux. Je vous tiens au courant.
ça y est, il est mien !
La couleur de la couv’, c’est en lien avec les couleurs de teinture utilisées à l’époque ?
(je ne suis pas un spécialiste des couleurs, encore moins celles du Moyen-Age)
Tout pareil : acheté aujourd’hui. Ravi de retrouver le format dans lequel le premier roman avait été publié.
Faut lire les bouquins de Michel Pastoureau : c’est en général passionnant.
Jim
la couleur, c’est un choix du graphiste, qui aime le vert et le trouve celtique.
Deux critiques du bouquin :
Sur Outre Livres
A là, je ne maîtrise pas non plus.
personne ne peut maîtriser un graphiste, quand il est lancé.
c’est trop dangereux, n’essayez même pas.
On a essayé un week-end mais le sieur Melkior est dur à contenir.
(mais c’est un chouette choix de couleurs je trouve, perso je l’avais dans la tête dès que je visualisé les décors et ca rendait bien. Un peu comme la 1ère bataille de McLeod dans Higlander)
Bref
Je viens de le finir alors ce que je vais dire est très décousu et balancé en vrac :
Merci
Merci à toi !
quant au Dernier Romain, il a réellement existé ! (enfin, il existe dans une mention, dans une chronique obscure) (et pas mal de gens pensent que c’est un des modèles historiques du roi Arthur, même si, tu t’en doutes, ce n’est pas mon avis)
Je l’ai lu aussi, sur une Île un brin plus petite et je n’y suis pas allé en coracle, et je viendrai en parler un poil plus tard …
Je ne sais pas si c’est parce que je lis assez peu de bouquins, mais j’ai adoré le vocabulaire employé dans ce livre.
Sinon, la narration par chapitre alterné entre un jeune Uther et un vieux Uther, c’est plutôt une très bonne idée (ça me rappelle un peu le système d’Aaron sur Thor, mais ce n’est ici pas pareil). C’est très facile d’accès, et cela permet aussi d’avoir des respiration parce que le jeune Uther guerroie beaucoup (d’ailleurs, le sieur Nikolavitch a l’air de s’y connaître en plan de bataille). Les combats sont par ailleurs très bien rendus, peut être plus clairs presque que dans Eschaton, mais c’est peut être aussi parce qu’on imagine plus facilement les modalités de combat.
J’ai également eu l’impression que Nikolavitch a eu la volonté de se rapprocher au mieux des écrits historiques (même si romancés), excepté évidemment pour certains points de la vie d’Uther ou de ses facultés. La géographie des lieux, les noms de perso ou de villes utilisés (d’ailleurs, je serais curieux de savoir où il localise Camulodunum, je n’ai pas bien réussi à bien le localiser, ou alors, je suis peut être trop resté sur ce que je sais, un peu, de l’endroit probable) font vachement véridique, pour le coup, il réussit bien à me mettre dedans. Et je me demande aussi si, dans les vieux livres, Uther est tel que décrit ici, notamment sur sa relation avec le pouvoir.
Bref, j’ai beaucoup aimé, et pendant ma lecture, ça m’a amené à faire quelques recherches en parallèle sur le net, pour agrémenter des infos que j’ai pu prendre (j’ai appris pas mal de choses, si elles sont vraies )
Camulodunum, c’est l’ancien nom de Colchester
sur les vieilles chroniques, on a deux trois mentions d’un Uther qui guerroie (la scène de l’épée dans la bouche vient d’une de ces chroniques, d’ailleurs, elle est typique des punchlines dont les auteurs saxons et nordiques aiment à larder leurs histoires épiques) et une triade galloise indiquant qu’il est le créateur de son sort d’illusion. après, j’ai reconstruit le personnage en le plongeant dans ce contexte précis.
un outil que j’ai beaucoup employé pour être précis géographiquement, c’est celui-ci : GoogleMapDeLEmpireRomain vachement pratique ! (où l’on s’aperçois que 80% de l’histoire se déroule dans un triangle Londres/Canterbury/Colchester, de guère plus d’une centaine de kilomètres de côté.
Merci pour tes précisions. En fait, pour avoir visiter un site qui se considère comme étant potentiellement le lieu de Camelot, et qui est vraiment ailleurs (Cadbury Castle Google Maps), je ne voyais pas ton Camulodunum là-bas.
Et les Îles citées dans le bouquin, y a Wight dedans ?
Ah, et j’oubliais de dire qu’il y a un excellent casting de seconds rôles !
Par tradition, on place la geste arthurienne au Pays de Galle, mais le choc saxon, il est à l’est.
Et Camulodunum, ça signifie « Forteresse de Camulos », alors du coup…
Vectis, c’est Wight
la petite île où ils interrompent le banquet elle n’existe plus. c’est la pointe du Kent, ce secteur appelé « Thanet », que j’ai rapproché, du coup, du mot « thane » désignant un petit chef de guerre.
Tu m’étonnes que Vectis ait été stratégique, du coup …
Tiens, comme j’ai refait l’interface de mon blog, j’en profite pour vous balancer quelques articles :