VAGABOND (Takehiko Inoue)

T’as les tomes 2 semaines avant leur sortie ? :smiley:

Soit tu parles du 22, ou alors t’as le tome en scan, mais il n’est prévu que début février, ou alors je me trompes dans la date.

avant premiere du stand tonkam a angoulème
c’est aussi simple que ça
j’ai même failli m’acheter jin leur nouvelle série

Là je suis limite jaloux :smiley:

Les meilleurs tomes de Vagabond sont après, tu comprendras quand tu les liras :smiley:

oui je me doute la ça en est surtout à posé le décord. maintenant je vais voir si je continu le manga en même temp que je lirai le roman dont c’est tiré… à voir.

Vagabond tome 25 : Conclusion du combat Denshiro / Musachi, et suite de l’histoire qui présage un très long et dur combat à la fin du tome. Toujours aussi intense, avec une rencontre d’interlude plaisante à lire. Vraiment un excellent manga servi par d’excellents graphismes, chapeau bas T. Inoue!!!

=> Yotsuba, genre tranche de vie heureuse enfantine… (loin de Ki-itchi)

Je te confirme que ce sera long, très très long (pas 3 tomes non plus hein). Ce sera une vraie boucherie par contre… Faut dire, 70 contre 1…

Vagabond tome 26 : Inoue nous montre qu’il est un grand mangaka encore une fois : alors que ce tome raconte une partie du combat de Musachi contre les 70 samouraïs du dojo Yoshioka, la mise en oeuvre de ce combat qui pourrait se voir perdu d’avance (à 1 contre 70!!!, c’est digne d’un Guts dans Berserk!!), est loin de tout ce que j’ai pu lire à présent dans ce genre de cas.

Pratiquement chaque adversaire nous est présenté, comme pour ne pas les laisser anonyme, alors qu’ils seront sans hésitation sabré par Musachi qui se laisse emporté dans sa spirale mortelle. Le combat est plus que réel, tous les persos ressentent ce que n’importe qui pourrait ressentir dans ce cas-là.

Et puis il y a Musachi, pour qui ce 70 contre 1 n’est autre qu’un 1 contre 1 mais cela 70 fois… Plus rien ne semble l’ébranler, il a progressé, et il passe maintenant à l’action pour notre plus grand plaisir.

Un tome qui est vraiment sorti du lot je trouve, j’attends beaucoup du suivant, et Inoue est sans contexte un maître dans son domaine ( je n’ai pas parlé de ses graphismes qui sont rapellons-le magnifiques ).

vagabond 1: de très beaux dessins,des superbes pages couleurs au début du volume,des combats bien rythmés,une belle couverture ^^ bonne qualité d’édition quoi…sauf peut être la dizaine de page blanches à la fin surement du aux nombres de pages imposés pour les imprimeries (enfin au moins c’est pas remplis de bonus inutiles a la kana :mrgreen: )
certaines scènes me font penser a des estampes,ce premier tome ma vraiment laisser une bonne impressions c’est donc avec plaisir que je suivrait les aventures de takezo et matahachi…

Vagabond Vol.7 : au bout de 7 tomes, je ne vois toujours pas de défauts majeurs à cette oeuvre. Takehiko Inoue confirme son statut de génie du manga.
Inoue excelle sur tout les points. Ses planches sont d’une beauté saisissante, le souci du détail du mangaka est impressionant (je plains ses assistants lol). Vagabond devient presque un manga contemplatif.
Au niveau du scénario, pas de problèmes non plus, puisque l’histoire se calque sur celle de la Pierre et le Sabre, un bouquin dont la réputation n’est plus à faire. On suit donc la montée en puissance de Takezo Shinmen, alias Miyamoto Musashi, le meilleur escrimeur que le Japon ait jamais connu (selon la légende). Et ce qui étonne, c’est qu’au fil des tomes, Musashi devient de plus en plus humain.
Un scénario qui prend aux tripes donc, et parfaitement servi par des somptueux graphismes. Vagabond, tout comme Slam Dunk et Real, est un incontournable.
10/10 (d’accord le manga n’est parfait, mais la perfection n’existant pas, à quoi bon reserver la note maximale à quelque chose qui n’existe pas ?)

En ce qui me concerne, c’est le 1er tome de la série à m’avoir ennuyé. Beaucoup plus de texte que d’habitude, mais c’est pas un avantage vu ce qui s’y passe (c’est-à-dire rien). Vraiment déçu.

Perso, je l’ai littéralement dévoré, comme pour chaque tome et je n’irai certainement pas me plaindre que, pour une fois, il y aie un peu plus de texte, le plaisir n’en est que prolongé :smiley:
C’est vrai que l’histoire n’avance pas hormis la situation de Kojiro qui va évoluer. C’est sûr, il n’y a pas d’action, on peut le regretter mais ça reste bien mis en scène, avec les dessins qui suivent forcément et ça donne à réfléchir.

Darkopresto: content que tu aimes Slam Dunk, je vois que tu le compares à Ping Pong Dash et Eyeshield ce qui me fait sourire puisque c’est en général la situation inverse. En tout cas, tu ne regrettera pas ton achat, selon moi, c’est encore un niveau au dessus d’Eyeshield et certainement de Ping Pong Dash bien que je n’aie pas (encore) lu ce dernier.
Après, il est vrai que je ne suis pas des plus objectifs lorsqu’il s’agit de Vagabond mais pour moi, ça reste un très bon tome.

À part ça, j’ai lu le deuxième tome des gouttes de Dieu, je n’ai pour l’instant rien de plus à ajouter par rapport au premier tome. C’est dans la continuité, ce qui n’est pas pour me déplaire à ce stade de la série.

Selon Takehiko Inoue, Vagabond se terminera cette année (annonce sur son site web). La série ne devrait donc pas dépasser les 35 tomes.

Ah j’ai hate de voir le combat entre Musashi et Sasaki. Il risque d’être exceptionnel.

La critique par chris936 est disponible sur le site!

Lire la critique sur Manga Sanctuary

Personnellement, ce que tu sembles reprocher à la série est ce que j’aime avec Vagabond. Ce mélange de combats et surtout de philosophie donne au titre une atmosphère propre qui le place à part dans le paysage actuel du manga. Ce sont ces passages là qui font pour moi de ce titre l’un des tous meilleurs du marché. Sans eux, avec uniquement des combats certes bien orchestrés et dynamiques, le titre n’aurait pas la même force. Les derniers tomes sont pour moi parmi les meilleurs de la série est celui-ci également. Un bon 9/10.

Ben pour l’instant, ce n’est plus un mélange de combats et de philosophie, mais de la philosophie avec quelques scènes de duels au sabre.
Les « délires » de l’auteur, si j’ose dire, prennent de plus en plus de place et je trouve que ça nuit plus à la série qu’autre chose. À petites doses, il est clair que ça renforce le manga et lui permet de ne pas être qu’un simple manga de samouraï, mais là, on en viendrait presque à se demander si Inoue n’a pas fumé quelque chose en dessinant ses planches.
J’exagère, mais pas tant que ça.

Je n’ai pas lu les derniers tomes, mais c’est le personnage qui veut ça. Plus que le combat, la philosophie de vie fait partie intégrante de son histoire.

Bon après, peut-être qu’Inoue en fait trop…

Pour moi, il n’en fait absolument pas trop, surtout que ce tome est loin d’être vide de combats, que ce soit dans le présent ou dans les flashbacks… Musashi va de plus en plus s’orienter dans ce sens et hormis le combat à venir contre Sasaki, il va falloir s’attendre à de plus en plus de passages comme ceux-ci… Mais ce n’est que la suite logique des tomes précédents. ça n’arrive pas d’un seul coup, la transition s’est faite progressivement. Après, ça ne peut évidemment pas plaire à tout le monde mais raconter la vie de Musashi implique forcément des passages comme celui-ci, et je trouve que la représentation de toute cette réflexion que nous offre Inoue est plutôt bien trouvée et moins barbante que ce que l’on peut voir dans d’autres titres « philosophiques ».

La lecture de Vagabond nous transporte dans une autre dimension, mystique et philosophique, avec une réflexion de plus en plus profonde sur les actes du sabreur. A chaque nouveau tome on assiste avec passion à l’évolution mentale et physique d’un Musashi de plus en plus touchant et unique (comprenez par la que c’est l’un des personnages les plus intéressants crées dans une bande dessinée) dont l’ensemble des réflexions passées et présentes vont enfin lui permettre de trouver une partie des réponses aux questions qu’il se pose depuis son enfance. Tome éblouissant et passionnant, la quête spirituelle de Musashi nous berce et nous transporte littéralement dans un autre monde, dont seul Takehiko Inoue a le secret. Ce dernier confirme aujourd’hui, à travers les tomes de Vagabond et Real, qu’il est tout simplement le plus grand mangaka existant. Il nous livre des œuvres passionnées et passionnantes avec un talent graphique et narratif sans limite. Du grand Art ! ! !