Perso l’école j’en rêve plus. Bon la primaire c’était cool, j’ai d’avantage de mauvais souvenir du collège.
Par contre je rêve encore souvent que je me retrouve dans mes anciens tafs et c’est toujours assez zarb
Perso l’école j’en rêve plus. Bon la primaire c’était cool, j’ai d’avantage de mauvais souvenir du collège.
Par contre je rêve encore souvent que je me retrouve dans mes anciens tafs et c’est toujours assez zarb
Il paraît que les rêves, c’est notre disque dur qui traite les informations.
Purée, y a quand même un sacré foutoir stocké là-dedans.
Jim
Et les cauchemars ?
J’englobais tout dedans.
Moi, souvent, quand le rêve tourne mal, c’est qu’il est temps que je me réveille. Genre le cerveau qui me dit « bon, c’est la semaine, pas le temps pour une grasse mat, faut que tu bosses, alors je t’envoie des images où tu flippes, comme ça tu vas bouger ton fion, faignasse ! »
Jim
J’ai connu ça aussi. Mais c’est passé.
Mon plus gros cauchemar, pendant looooongtemps, ce fut le… Bac !!
Parce que j’étais une flemme sur pattes, je ne foutais rien à l’école. Les notes suivaient malgré tout, mais au Bac, ça ne pouvait pas le faire.
Alors, j’ai opté pour un truc profondément débile : j’ai rédigé des dizaines de modules qui, selon les sujets, pouvaient se combiner. Et je les ai tous appris par cœur. J’ai fait ça pour toutes les matières (sauf pour le sport et l’épreuve artistique, bien sûr… Bac A3 des année 80).
Ça en faisait, du texte.
J’ai eu le Bac. Mais je l’ai repassé pendant des années.
Quand on me parle de pollution nocturne, c’est le premier truc qui me vient à l’esprit.
L’année de Terminal, c’est bien l’année que je ne referais pas, à choisir.
Moi, c’est presque le contraire.
Oui, il y a l’épreuve au bout.
Mais autrement, la première et la terminale, c’étaient les deux années que j’ai réellement appréciées : j’avais l’impression que ce qu’on enseignait avec un sens, les trucs se répondaient, l’économie faisait écho à la géographie qui faisait écho à l’histoire qui faisait écho au latin qui faisait écho à la philo… J’étais nul en philo, mais j’avais l’impression qu’on me fournissait des grilles de lecture du monde, pas qu’on me gavait le cerveau de connaissances sans me dire qu’en faire.
Et puis, je sais pas, je me sentais mieux intégré au groupe, à la classe. Moins emmerdé. C’était plus cool.
Les autres années, c’était enquiquinant. Chiant. Pas douloureusement chiant, plutôt douillettement chiant, mais vraiment, pas de souvenirs géniaux. Une espèce d’ennui régulier, lancinant, routinier. Rien ne ressortait vraiment, et ce qui était cool, c’était de finir plus tôt et de passer par la Maison de la Presse pour prendre Strange ou un roman de SF chez J’Ai Lu avant de choper le car scolaire à quelques arrêts plus loin. Ça, c’était les moments cools de la semaine.
Ouais, c’est chiant, l’école.
Jim
Yep le lycee et la fac c est plus cool qu avant…
Hier, nous avons vu Vermines. Pas emballé des masses. Les personnages sont insupportables, ça n’arrête pas de se hurler dessus, le scénar est idiot de bout en bout. Il pioche ici et là ses inspirations, de Gremlins à Aliens, sans jamais parvenir à me surprendre.
Les SFX sont pas mal, mais comme ils ne concernent que les araignées et rien d’autre, ce n’est pas non plus le truc incroyable que j’attendais.
La tension monte parfois mais cette fin en bois sabote l’effet.
Bref, une déception, mais pour un film de genre, je le valide quand même.
Mais trop de wesh tue le wesh.
Pareil, je garde de très bon souvenirs de la primaire. Et ça a été le début du cauchemar social au collège. Mais c’est là que je me suis fait piqué par l’araignée de la vanne et que j’ai dû développer ce super pouvoir pour envoyer chier les batards de relouds. Le lycée a juste confirmé que je n’aimais plus l’école. Juste après l’obtention du bac, j’ai bossé.
Là, de janvier à avril, j’étais en école pour changer de statut. Putain que c’est casse-couille de se retrouver en salle en mode étude. Bon, je n’ai pas trop merdé avec 16,4 de moyenne mais putain que c’est chiant à notre âge…
Vu hier aussi et même ressenti, des personnages insupportables et 45 premières minutes globalement du même acabit. La suite passe mieux et comme on le dit beaucoup en ce moment pour du cinéma français c’est pas si mal…