Sur le compte Facebook des Éditions Rue de Sèvres, le 24 mars 2025 :
Le 23 avril en librairie, nous vous proposons de plonger dans “Vipère au poing” de Frédéric Rébéna d’après le classique d’Hervé Bazin.
Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, vit avec ses frères auprès d’une mère odieuse et acerbe qu’ils surnomment Folcoche. En grande partie autobiographique, le roman d’Hervé Bazin fut plusieurs fois adapté au cinéma.
Frédéric Rébéna s’empare aujourd’hui de cette œuvre transgénérationnelle pour une première interprétation pleine de sensibilité en bande dessinée.
Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, vit avec ses frères auprès d’une mère odieuse et acerbe qu’ils surnomment Folcoche. En grande partie autobiographique, le roman d’Hervé Bazin fut plusieurs fois adapté au cinéma. Frédéric Rébéna s’empare aujourd’hui de cette oeuvre transgénérationnelle pour une première interprétation pleine de sensibilité en bande dessinée.
Auteur : Frédéric Rébéna
Idée originale : Hervé Bazin
Editeur : Rue De Sevres
Date de parution : 23/04/2025
Collection : Bd Ado-Adultes
EAN : 9782810200382
Poids : 0,0010kg
ISBN : 2810200386
Illustrations couleur
Nombre de pages : 120
SKU : 5664715
Et tu sais quoi… mon ancienne école scolaire porte le nom de l’auteur. Elle a été la première école à porter son nom, il est venu pour le jour du « baptême ».
Il y a des écoles qui ne sont pas scolaires ?
Je comprends mieux le niveau de certains jeunes…
Moi, mes établissements scolaires, quand ils avaient un nom, c’était celui de quelqu’un de décédé, qui n’est donc pas venu au baptême.
Mon collège porte d’ailleurs son nom pour rendre hommage au maire de la commune, très investi dans sa construction, et décédé quelques mois avant son ouverture.
Aux termes de la loi n° 86-972 du 19 août 1986 portant dispositions diverses relative aux collectivités locales, la dénomination, ou le changement de dénomination, est de la compétence de la collectivité de rattachement. Les Conseils municipaux décident de la dénomination des écoles maternelles et élémentaires.
La circulaire du 28 janvier 1988 précise néanmoins qu’il est traditionnellement admis que les témoignages officiels de reconnaissance doivent être réservés aux personnalités qui se sont illustrées par des services exceptionnels rendus à la nation ou à l’humanité ou par leur contribution éminente au développement des sciences, des arts ou des lettres. Il est d’usage par ailleurs que les choix arrêtés en matière d’hommages publics ne concernent en principe que des personnalités décédées depuis au moins cinq ans.
Toutefois, les services du ministère chargé de l’Éducation nationale n’exercent aucune compétence en la matière et n’ont aucun moyen de s’opposer à une décision qui a été légalement prise par l’autorité compétente.
Et dans le privé, il y a plein d’écoles qui portent le nom d’un saint, donc nommées après le décès (le cas de canonisations du vivant de la personne n’est pas fréquent).
Ben d’après ce que j’ai posté, l’usage est de rendre hommage à une personne décédée.
Mais c’est l’usage, pas une règle.
Et ça supporte facilement des exceptions.
Ton exemple avec Bazin n’est pas isolé.
Je n’ai plus de nom en tête, mais j’ai déjà entendu parler d’autres célébrités présentes à l’inauguration d’établissements scolaires portant leur nom.