WAMPUS t.1-2 (Franco Frescura, Jean-Marc Lofficier / Luciano Bernasconi)

Hop, reçu mon exemplaire de Strangers Universe #11. Youpi.

Comme tous les Strangers Universe (j’en ai quelques-uns, mais pas tous), il a un dos carré collé et une reliure solide.
Mon histoire intervient en deuxième partie, après un récit déjà publié dans La Mosaïque Hexagon, et ici réédité en couleur. Il s’agit plus précisément d’une aventure de Futura, coincée dans sa forme d’origine (semblable à celle de Wampus).
Quant à mon récit, c’est peut-être une bonne clé d’entrée pour l’univers de Wampus, puisqu’on y voit le lascar dans ses noires œuvres, à savoir semer le chaos afin d’en faire jaillir les races supérieures du futur. Indiqué pour les néophytes et les curieux.

Dans le paquet se trouvait également le numéro suivant. Super cool, je suis ravi.

Le sommaire est un peu différent : le premier récit est la « suite » de la mésaventure de Futura (initialement, elle a pourtant été publiée en noir & blanc avant cela), et elle est ici éditée pour la première fois en couleurs. Ensuite, un récit inédit qui raconte les origines de l’androïde Hunter, origines dues aux magouilles de Wampus, encore une fois. Et enfin, réédition d’une histoire courte narrant la rencontre entre Wampus et Nexus, le héros de Mike Baron et Steve Rude (ici sous les crayons de Jay Stephens), une aventure qui avait déjà été éditée du temps de Semic (je dirais dans un numéro de Strangers, mais pas sûr).

Je vais lire les chapitres que je ne connais pas, et reparcourir l’ensemble avec gourmandise.

Deux petits bémols : les épisodes ne sont pas séparés par une rupture (genre page rédactionnelle ou d’illustration) et ne sont pas proprement identifiés par une titraille voyante comme c’était le cas dans des magazines genre Strange : c’est dommage, ça aurait pu être joli et plus facile pour repérer les récits. Et je ne suis pas super fan des couleurs un peu éteintes d’Eduardo Garcia. Je trouve qu’Anthony Dugenest s’en sort nettement mieux sur les origines de Hunter, avec une palette plus lumineuse.

Mais dans l’ensemble, je suis ravi de voir ces deux numéros, et de savoir que ce grand méchant de la bande dessinée populaire, créé en 1969, continue à vivre de multiples aventures et à alimenter tout un univers.

Jim