Panini comics annonce la sortie de Wanted, un manga de Hino Matsuri
Et des nouvelles de la suite de Daydream, Sidooh, Shigurui ou d’une réédition d’Alive (promis par le staff de Panini lors de la JE 2008) ?
Non, pas de news pour le planning de mai et juin…
Je pense qu’il aurait fallu regarder dans celui de mai et juin 2011…
Je ne vois pas comment ils peuvent vouloir fidéliser une clientèle en ne respectant pas leurs lecteurs de cette manière, sans parler de leurs prix qui en rebutent déjà plus d’un. Bref, quand Panini fait du Panini…
il n’y a pas que wanted qui est prévu pour la rentrée chez panini mais également deux manga de mayu sakai: « nagatachou strawberry » et « peter pan syndrome » et d’ailleurs j’ attend ces 3 mangas avec impatience car ce sont trois bon shôjo (et même s’il est vrai que panini n’est pas une super maison d’édition, je trouve qu’ils se sont améliorer depuis quelques temps^^)
Wanted est une série de Matsuri Hino (meru puri, vampir night), qui reste jusqua présent introuvable a mes sources…
Si quelqu’un sait ou le trouver ou peut me renseigner sur sa paruption, je lui en serait très reconaissant.
Merci d’avance
Et par curiosité ça parle de quoi?
Tu peux le trouver sur amazon Jap
Sinon, tente Junku sur paris junku.fr
http://ec2.images-amazon.com/images/I/51F5KV5YBPL.AA240.jpg
C’est juste un one shot, donc tu trouvera pas plus d’un volume ^^
Et en version française ? 
parce je ne lis pas encore le japonnais ! 
L’histoire ( pris sur unmondemagique.free.fr/wanted.htm )
Fin du 17ème siècle, quelque part dans les Caraïbes. Armelia est une petite orpheline qui chante dans un groupe de musiciens pour gagner sa vie. Elle est secrètement amoureuse de Luce, le neveu du gouverneur-général, seule personne à lui témoigner un peu de tendresse parmi tous les aristocrates sans cœur et sans pitié qu’elle côtoie quotidiennement. Mais un jour, Luce se fait brutalement kidnapper par une bande de pirates emmenée par le célèbre et terrible Skulls qui cherche ainsi à mettre la main sur le trésor du gouverneur. Armelia, désespérée, se jure alors à elle-même qu’elle ira le délivrer.
Huit ans ont passé. Après plusieurs mois d’errance et de recherches, Armelia a enfin retrouvé le bateau de Skulls dans un port. Sans hésiter, elle coupe ses beaux cheveux noirs, revêt un habit de garçon et, sous le nouveau nom d’Alto, se fait engager à son bord comme moussaillon. Là, elle ne tarde pas à faire la connaissance du fameux capitaine, un beau jeune homme blond qui, étrangement, ressemble beaucoup à Luce. Mais la ressemblance s’arrête là visiblement car le capitaine, en découvrant la nouvelle recrue, entre dans une colère noire et décrète qu’il ne veut pas de quelqu’un d’aussi maigrichon sur son bateau. Pour Alto, cependant, pas question de renoncer si près du but ! Le regard déterminé, elle réplique que ça ne l’empêchera pas de travailler dur et Skulls, vaincu, finit quand même par la laisser embarquer. Le soir venu, épuisée par toutes ces nouvelles corvées auxquelles elle n’est pas habituée, Alto, qui s’est assise sur le bastingage, essaye de se redonner un peu de courage en entonnant une chanson. Mais le répit n’est que de courte durée. Un marin qui passe par là, croyant avoir affaire à une sirène (il est complètement saoûl ^^;;), panique et lui tire dessus sans réfléchir. Touchée à l’épaule, la pauvre Alto tombe à l’eau, mais heureusement, tadaaa, elle est bientôt secourue par le beau capitaine en personne qui n’hésite pas à plonger lui-même à la mer pour aller la récupérer et la ramener saine et sauve sur le bateau. Des marins, accourus sur le pont pour voir ce qui se passe, la trouvent sans connaissance et toute couverte de sang et bien sûr, leur premier réflexe est de regarder sa blessure. Ils écartent les pans de sa chemise et ô surprise, découvrent à leur grande stupéfaction qu’Alto est une fille ! N’ayant plus grand-chose à perdre, Alto explique alors que si elle s’est fait engager sur ce navire, c’est uniquement pour essayer de retrouver un garçon du nom de Luce, autrefois enlevé par les pirates. A quoi Skulls répond froidement que Luce s’est donné la mort et qu’il n’est plus de ce monde ! Bouleversée, Alto refuse pourtant de croire à cette nouvelle et continue de s’accrocher envers et contre tout à cet espoir insensé que Luce est toujours en vie. Et c’est ainsi que commence une bien étrange cohabitation…
tu sais que tous les mangas ne sont pas encore sortis en version française, loin de là ?
En francais, t’as qu’a regarder dans base de données, si il n’y est pas et que tu vois pas de drapeaux Français, c’est que c’est pas sortie en France…
ce n’est pas sorti en France, mais vu que cette auteure a du succès en ce moment, peut-être que panini daignera sortir ce one shot.
Ok, merci pour les infos. Pourtant il me semblait qu’il avait été traduit vu que sa fait un moment qu’il a été écrit !
je vais attendre encore un peu … 
si quelqu’un a des infos sur sa (prochaine) sortie , merci de les poster ici !
Ah mais tu sais, ce n’est pas parce qu’un manga à été publié il y a longtemps au japon, que forcement il est publié en france. ça ne se passe pas comme ça.
Peut-être qu’n jour Panini le sortira (ou quelqu’un d’autre) mais ce n’est pas sur .
ok, sa marche !!
MErci pour vos précieuses info !
perso j’aimerais bien qu’il le sorte j’ai déjà bien aimé meru puri et maintenant vampire knight alors pourquoi pas celui là
hum a surveiller de près
Je trouve la couverture du livre pas très belle. M’enfin, c’est pas le dessin mais l’arrangement de Panini.
Ce manga se destine avant tout aux fans de Matsuri Hino, son graphisme très shôjo et ses personnages clichés étant assez reconnaissables. Bien qu’il s’agisse d’un one-shot, les trois chapitres composant l’histoire sont en fait assez indépendants et ils se centrent tous sur quelque chose de différent ; du coup, et surtout pour le premier, ils sont assez superficiels et rapides. Les événements tout comme les protagonistes manquent de profondeur, semblent à peine effleurés. La lecture n’en demeure pas moins agréable et sympa, mais ce manga n’est sûrement pas indispensable aux non-fans de l’auteur, sa seule vraie distinction étant l’univers de la piraterie (et encore, car c’est traité d’une façon très très féminine…)