WONDER WOMAN #1-22 (Tom King / Daniel Sampere)

Bavard, un peu suffisant mais prenant.
Tom King poursuit doucement mais sûrement, avec toujours le long blabla du Roi américain en voix off qui s’adresse dans le futur à Trinity. En parallèle, on voit Diana aller rendre visite à Sarge Steel en tapant plein de gens pour en savoir plus sur Emelie. Le Roi américain utilise le Lasso des Mensonges pour convaincre un soldat qui a affronté Diana que ça l’a brisé pour le pousser au suicide. Sarge apprend à Diana que… Emelie est enceinte, ce qui surprend Trinity.
C’est bavard, quand même. La voix off est lourde et longue, et même le passage de Diana chez Sarge est poussif. C’est sympathique, très graphique, ça se la pète et ça rend bien, mais… c’est long. Et l’on en vient vite à envisager que Trinity ne soit pas la fille naturelle de Diana, mais l’enfant d’Emelie qu’elle aurait recueilli. Et ça peut être dommage.
Graphiquement, Daniel Sampere est bon, ses planches impressionnent, mais sa Diana pose beaucoup et même un peu trop.
Une back up de King et Elena Ortega est fun avec Damian et Jon qui se partagent la garde d’une Trinity de cinq ans, devenue un moment Wonder Robin pour taper Killer Croc. C’est drôle et cool.

Sympathique mais poseur.

J’ai beaucoup aimé la back-up avec Tom King plus enfantin, plus Tomasi dans l’esprit. Elle est très réussie.

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With the world losing trust in the Amazons, Wonder Woman takes a moment to grant the wish of a dying boy and gives him the perfect day. Meanwhile, the Sovereign constricts his grip on the government. Will Wonder Woman be able to hold out hope as the world around her grows darker? Plus, Trinity spends the night at the Fortress of Solitude with her babysitters, the Super Sons!

In Shops: Dec 19, 2023

SRP: $4.99

Toujours lent, toujours un peu poseur, mais intense et intelligent.
Tom King déroule lentement, étape par étape, son plan. Ici, il montre les conséquences du #3, où le Roi des USA a utilisé le Lasso de Mensonge pour pousser un soldat (qui a affronté Diana peu avant) à se suicider et à laisser un mot disant qu’elle est responsable, en l’ayant en gros émasculé en le battant ainsi. Les médias s’emballent, les gens se polarisent, et le Roi corrige un discours du Président qui ordonne la guerre contre les Amazones. En parallèle, Diana passe la journée avec un enfant condamné par la maladie, qui est fan d’elle ; elle accède à sa demande d’aller sur Themyscira, malgré le refus initial des gardes, et elle le conforte quand il s’en « veut » de ne pas aimer les super-héros hommes ou le baseball.
C’est bien, oui. Tom King gère bien les deux récits, même si la voix-off du Roi qui raconte tout ça à Trinity dans le futur est toujours lourde et trop bavarde. L’aspect gouvernemental est bien fichu, car cohérent et crédible, de manière flippante en soi, et très en phase (hélas) avec notre époque. L’aspect Diana et le gamin est bon, touchant et juste.
Graphiquement, Daniel Sampere propose de très belles planches, un peu figées mais belles.
Une back-up continue de montrer l’éducation de Trinity avec Jon et Damian, qui ici ne font pas attention à elle quand elle a treize ans : elle chope une Black Mercy dans la Forteresse, ils veulent la libérer mais elle rêve qu’elle les bat en arène et se réveille car elle « sait » qu’ils n’abandonneraient pas et qu’elle n’est pas (encore) à leur hauteur. Jon et Damian font certes neuneu, mais c’est cool, joyeux, drôle et bien dessiné par Elen Ortega.

C’est bien, en fait. Cool.

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Le syndrome King me rattrape. La lecture en bloc va rendre le récit encore meilleur.
Cela plombe ma lecture. Respectons le lecteur de mensuels.

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Je viens de lire le 2 et 3 et j adore.
La posture poseuse ne me semble pas gratuite… elle montre la difference avec l armee et aussi la realité de ce qu elle risque… peu

Ca me fait penser un oeu a cap dans le combat contre le shield dans civil war

J adore

au fond c est la meme technique que Danger street (a part que wonder woman c est bien) avec une narration conte de fée pour des dialogues et un dessin qui montre une réalité (la notre) bien décevante

Je n’ai pas lu Danger Street, j’avoue.

j ai pas fini… j en ai eu marre

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Pareil. Il est en roue libre et essaie d’être cool (sa Lady Cop est cool, c’est sûr).

Mais là, c’est trop en roue libre. C’est trop long. ZZZZZzzzzZZZZzzzzZzZZZZ!

Ah? pas ressenti … pourtant du trop long des comics de Ram V ou nice lake, Avengers ou JMS…

Là je trouve que ce que ca dit il faut le dire…

Wonder Woman #5

If the U.S. government can’t stop her, then who can?! As Sargent Steel retreats to gather deadlier forces, the Wonder Girls call on Diana, begging her to lay down her lasso. Will she see the truth before it’s too late?

Plus, Trinity invites the sons of Batman and Superman to Themyscira for a contest they’ll never forget!

Creative Team

  • Writer: Tom King
  • Artist: Daniel Sampere
  • Colorist: Tomeu Morey
  • Letterer: Clayton Cowles
  • Cover Artists: Daniel Sampere & Tomeu Morey
  • Variant Cover Artists: Daniel Sampere & Tomeu Morey; Lesley ‘Leirix’ Li; Julian Totino Tedesco; Cris Delara;
  • Group Editor: Paul Kaminski
  • Editor: Brittany Holzherr
  • Assistant Editor: Chris Rosa
  • Cover Price/Page Count: $5.99/40 Pages

The Wonder Girls call on Diana to lay down her lasso in Wonder Woman #5 on shelves & digital platforms, Tuesday, January 16, 2024, from DC Comics

Perso je trouve la voix off vraiment redondante quand même (les 2 premiers chapitres c’était vraiment en boucle « Wonder Woman est vraiment trop forte, plus forte que Superman, on l’a sous-estimée mais elle est franchement plus que forte » et « on est les grands méchants caché dans l’ombre plus dans l’ombre encore que tous les grands méchants caché dans l’ombre des autres comics »).

C’est peut être moi qui ai loupé un truc mais je trouve pas que la voix off a pour fonction d’être démenti par ce qui se passe réellement, la plupart du temps elle est là pour dire que Wonder Woman est trop forte pendant que le dessin nous la montre fracasser des tanks et quand elle (la voix off) fait l’éloge de l’Amérique ou de sa propre puissance on sait déjà - et grâce a elle - que Wonder Woman va mettre un terme à tout ça et donc souligner l’importance de ce à quoi elle va mettre un terme c’est faire valoir davantage son exploit.

Mais de manière générale je pense même pas qu’il a pensé la voix off en réaction avec le reste de la page (fin pas la plupart du temps), genre tu décales la cartouche d’une page a chaque fois ça change certainement rien du tout.
Tom King c’est certainement quelqu’un qui a la faculté de pisser de la ligne à volonté, y en a leur talents personnels c’est de jongler avec des chapeaux ou de faire du piano avec les pieds, lui c’est de produire 350 lignes à la minute, quand il dit je vais faire un run Batman de 100 numéros c’est pas qu’il a les 100 numéros en tête c’est que 100 numéros ça fait bien et il se fait confiance pour meubler, le numéro du mariage ou il y a tant d’artiste qui font une page avec son petit texte à lui il a certainement pas dit j’ai dix pages donnez moi dix artistes, c’est plutôt qui vous arrivez a avoir j’arriverais bien a écrire un truc pour tout le monde et la c’est pareil ça fait bien que le premier arc soit narrer par le méchant et après ben il débite du texte au kilo avec la possibilité de jamais s’arreter si on lui demande.

Un nouveau numéro tout en démonstration, mais bien mené.
Diana défie Yara Flor (à l’arc), Cassie Sandsmark (au bras de fer) et Donna Troy (aux jeux vidéos), selon leurs choix, pour qu’elles jurent de ne pas se mêler de ses soucis. Diana gagne mais elles décident de ne pas respecter leurs serments. Ce qui va aider, car les ennemis forment aussi leur armée : Giganta, Dr Psycho, Angle Man, Circé, Angle Man et Grail.
Un épisode fluide mais poseur, où Diana est la meilleure et la voix off est lourde. Tom King gère, mais gère bien. Daniel Sampere assure aux dessins.
La back-up sur Trinity la montre défier Jon et Damian jeunes adultes pour savoir qui donnera un nom à leur trio. Trinity se met en danger, les autres s’engueulent et elle fait valider le nom Gen-S, pour l’espoir qu’ils incarnent après les troubles de Brainia, la Légion de Lex, Président Psycho ou le Joker Corps. Tom King me plaît sur ces petits récits très funs et Elen Ortega dessine bien tout ça.

Efficace mais toujours en gestion.

A la lecture de cet épisode, j’avais l’impression de relire le premeir arc de Pinguin. Ouf, ça n’a duré qu’un épisode. Il faut vraiment qu’il arrête le mode automatique.

Episode sold-out! … il n’est pas prêt de changer le King!

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Wonder Woman #6

HER GREATEST FOES RETURN!

Wonder Woman against her greatest foes! After thwarting each threat that the Sovereign has thrown at her, he decides to bring in the biggest guns the DCU has to offer. Let the battle royale begin! Plus, the Super Sons’ bedtime story goes wrong!

Creative Team

  • Writer: Tom King
  • Artist: Daniel Sampere
  • Colorist: Tomeu Morey
  • Letterer: Clayton Cowles
  • Cover Artists: Daniel Sampere & Tomeu Morey
  • Variant Cover Artists: Daniel Sampere & Tomeu Morey; Jeff Spokes; Julian Totino Tedesco; Nikolas Draper-Ivey; Kevin Wada;
  • Group Editor: Paul Kaminski
  • Editor: Brittany Holzherr
  • Assistant Editor: Chris Rosa
  • Cover Price/Page Count: $5.99/40 Pages

The Wonder Girls call on Diana to lay down her lasso in Wonder Woman #6 on shelves & digital platforms, Tuesday, January 16, 2024, from DC Comics

Grosse bagarre ; pas plus, pas moins. Tom King oppose Wonder Woman à la brigade formée contre elle, après qu’elle ait été piégée au Monument de Washington via Steve Trevor, agressé psychiquement devant elle par Dr Psycho. Angle Man booste Dr Psycho, Circé permet l’attaque surprise et un écran global, Giganta joue les muscles, Silver Swan veut aider (mais mal). Diana gagne, exténuée, et Grail arrive. Enorme bagarre encore, Diana l’emporte mais s’effondre. Le Roi de l’Amérique se croit gagnant, mais son énième long récitatif annonce qu’il se trompait.
Grosse bagarre, donc. Bien menée, mais avec une voix-off vraiment lourde. Ca reste prenant, mais ça reste un exercice de style, avec une Diana constamment la meilleure, la plus forte, la plus formidable. C’est une bonne bagarre, bien menée par un Daniel Sampere inspiré mais un peu trop propre, et… ça s’arrête là.
La back-up sur Trinity est gentillette mais redondante : Lizzie petite ne veut pas dormir, Damian et Jon tentent de l’endormir et cèdent à ses caprices. C’est mignon, mais déjà-vu, même si le graphisme d’Elen Ortega est cool.

De bons moments, mais ça reste froid, poseur et Diana est « facile » dans ses réussites. Je n’en doute jamais à l’avance, et cette voix-off me lasse.

Oh oui!
TK est en mode relou.

Je pense laisser tomber malgré les dessins magnifiques de Samperé. Le script de TK ne permet pas un dynamisme normal que la bédé nécessite. C’est trop poseur comme esprit. Dommage.

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Oui, parce que le fond est pertinent et contemporain.

Written by: Tom King.

Art by: Guillem March.

Covers by: Daniel Sampere, Jullian Totino Tedesco, Guillem March, Jorge Medina, Sozomaika.

Description: For the Batman who has everything! Amidst their adventures as Superman and Wonder Woman, Clark and Diana take a thrilling journey into space to get a birthday gift for their dear friend Bruce.

Pages: 40.

Price: $4.99 (variants, $5.99).

In stores: March 19.