C’est vrai qu’Orlando reste capable du top (Midnighter saison 1) comme du pire (JLA), du barré (Unexpected, yeah!) comme du flan (Midnighter saison 2).
ACO, j’avais même hésité à prendre la mini sur Nick Fury tellement j’adore sa mise en page.
Wonder Woman #53
At the behest of Aztek, Diana and Artemis join her for a trip to Mexico, but there’s no sightseeing on the agenda. Instead, they must rescue a long-lost Amazon who’s being held captive by rogue deity Tezcatlipoca, who’s trying to break into our world. Can our three heroes save the missing Amazon, stop a raging god and not kill one another in the process?
Written by: Steve Orlando
Art by: Aco, David Lorenzo, Hugo Petrus, Romulo Fajardo jr
Cover by: David Yardin
Variant cover by: Jenny FrisonU.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Aug 22 2018
Source : www.theavclub.com
Wonder Woman #54
Diana’s model U.N. project goes up in flames when she tries to intervene and stop the exiled Bana-Mighdall Amazons from invading the nation of Qurac under false pretenses. She clashes with Artemis, who wants her exiled sisters to go to war, despite the fact that the expat Amazons are being manipulated…by none other than the deadly Rustam, Quraci seditionist and rebel leader! Now it’s up to Wonder Woman to lasso this runaway war train before it can get up to speed—and it’s about to pull out of the station.
Written by: Steve Orlando
Art by: Raul Allen, Patricia Martin, Borja Pindado Arribas
Cover by: David Yardin
Variant cover by: Jenny FrisonU.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Sep 12 2018
Source : www.syfywire.com
Wonder Woman #55
(W) Steve Orlando (A) Raul Allen, Patricia Martin (CA) David Yardin
Then, two armies stand ready to annihilate each other, with Wonder Woman and Artemis caught in the middle, fighting for the souls of the exiled Amazons living in Bana-Mighdall! Does Diana possess the might and diplomatic prowess to convince her sisters to stop their march toward war? Who will fall beneath the flaming swords of Rustam? And more importantly, how does she make sure this doesn’t happen again? Will Diana have to Occupy the Amazons?!
In Shops: Sep 26, 2018
SRP: $3.99
Source : www.13thdimension.com
Wonder Woman #56
“The Witching Hour” part two! The Justice League Dark barely escaped their first encounter with Hecate, but they know she’ll be coming back for the power inside Wonder Woman. But what if Diana could tap into that power herself to take on Hecate directly?
Written by: James T Tynion IV
Art by: Emanuela Lupacchino, Ray McCarthy, Romulo Fajardo Jr
Cover by: Yasmine Putri
Variant cover by: Jenny FrisonU.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Oct 10 2018
Source : www.comicsbeat.com
Pas mal du tout, cet épisode, même s’il marque le pas.
Trois personnages nouveaux débarquent dans le jeu, une ennemie, un allié, et une ancienne héroïne qui semble mal tourner. Les deux premiers rencontrent le groupe à l’occasion d’un épisode où ça discute beaucoup. Il n’y a pas de grande révélation, seulement des positionnements sur l’échiquier un peu différents de ce à quoi l’on aurait pu s’attendre. C’est d’ailleurs assez intéressant, même si ça reste maigre.
Tynion utilise toujours avec finesse la continuité, renvoyant à différentes périodes et sagas. C’est très ancré dans le monde DC, et ça fait bien plaisir. Après, certains personnages sont sérieusement en retrait là où le premier chapitre du cross-over avait permis à chacun de briller un instant, et la scène consacrée à Constantine semble un peu tomber à côté. Tynion donne presque l’impression que l’épisode a été écrit par quelqu’un d’autre, ce qui fait très cross-over, au final.
Lupacchino, quant à elle, livre des pages qui évoquent clairement le travail de Yanick Paquette. C’est assez joli, très narratif, très élégant, même si on sent sur la fin de l’épisode un peu de fatigue (cadrages moins équilibrés, plus de gros plans…). Le cliffhanger est pas mal du tout.
L’ensemble est plutôt sympathique, mais donne l’impression que la période d’exposition traîne un peu. Il est temps que ça démarre vraiment, que le groupe reprenne l’initiative.
jim
Un numéro de pause pour cette deuxième partie de crossover, en effet. Qui me paraît placé trop tôt, oui.
Alors que James Tynion IV a lancé les choses en grand, et très bien, dans le one-shot qui ouvrait la saga Witching Hour, celle-ci ne décolle pas plus ici… et c’est un peu dommage, quand même. L’auteur demeure très fin et très bon, avec de bonnes idées (très bonne réinterprétation de Circe), une bonne gestion de la mythologie Hecate (qui est bien décrite comme une menace d’importance), et une bonne approche de nouveaux personnages (qui, je pense, vont être amenés à intégrer le groupe).
Mais c’est peu, quand même.
Malgré un cliffhanger sympa, de bons rappels à la continuité passée (au sens large), de bons dialogues (notamment Zatanna & Diana, les deux pôles du groupe ; et Constantine a encore de bonnes fulgurances), et une Emanuela Lupacchino en bonne forme (mais très inspirée de Yanick Paquette, oui), cette pause n’a rien de honteuse - mais elle me semble mal placée, et fait un peu retombe la sauce. Dommage.
Wonder Woman #57
“The Witching Hour” part four! As Hecate’s new world is born, Wonder Woman is under the goddess’ total control! This is magic’s darkest hour—one of the most powerful magicians of all time may not survive!
Written by: James T Tynion IV, Emanuela Lupacchino
Art by: Emanuela Lupacchino, Ray McCarthy, Romulo Fajardo Jr
Cover by: Yasmine Putri
Variant cover by: Jenny FrisonU.S. Price:
3.99
On Sale Date:
Oct 24 2018
Source : www.cbr.com
J’ai été assez dur sur les deux précédents chapitres de Witching Hour, que je trouvais en-deçà d’un one-shot d’ouverture très fort et bon ; j’ai sûrement été trop dur, car j’y repense avec plaisir et intérêt.
Notamment parce que celui-ci, ce quatrième chapitre de la saga, est finalement similaire aux deux précédents, mais je dois avouer que James Tynion IV gère très bien son histoire, sa barque et surtout ses personnages. Dans cet épisode précis, il prépare la contre-attaque contre Hecate, et le fait très bien : sa Wonder Woman est juste comme je l’aime, forte et déterminée, mais capable d’admettre ses torts, ses failles, ses échecs ; et l’utilisation de nombreux personnages magiques (que je ne connais pas tous) me paraît très fine, et surtout à propos.
Mais, évidemment, c’est parce que Tynion réhabilite et réintroduit de nombreux éléments de la série Hellblazer dans le Constantine intégré à l’univers DC qu’il emporte définitivement mon appréciation. Ca, et la grande brillance des dialogues et des situations. Le tout magnifié par une Emmanuella Lupacchino en très bonne forme, notamment dans les passages lunaires, superbe.
Une réussite.