ZORRO (Saison 1)

Miguel Bernardeau (Elite, 1899…) est Zorro dans une nouvelle série (co-production entre l’Espagne et les U.S.A.) qui sera disponible sur Amazon Prime en 2024.

Premier aperçu :

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Pourquoi pas.

Et allez encore une fois l’assistant prend la place du super-héros

3 « J'aime »

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Le quota de femmes fortes est rempli !

La série est disponible en streaming sur M6+.

Et sur W9 maintenant.
(Et c’est un très bon début)

Pas les maigres échos que j’ai eus, tiens.

Ah oui ?

Et ouais !

C’est pas parfait mais c’est entraînant, neuf et bien fichu.

Ah merde, j’ai oublié.

Jim

Et puis tu peux pas compter sur Bernardo dans ce genre de cas…

1 « J'aime »

Vraiment, très sympa.
C’est un peu comme Nautilus : ça démarre un brin mollasson, un brin planplan, et ça monte en puissance au fil des épisodes, à tous niveaux : caractérisation, jeu d’acteurs, subplots, enjeux…
Vraiment, c’est très cool. Grand public, certes, quasi familial aussi (même si ça déboise régulièrement et ça morfle pas mal… et ça enterre aussi beaucoup), mais bien. J’ai l’impression que les gars ont bien compris comment mélanger de la saga familiale et du super-héros.
Là, dans la dernière fournée, y a même un retournement d’écriture : souvent dans ce genre de séries (et celle-ci n’a pas fait mentir puisque la formule a été reprise au début), le scénario joue sur les non-dits, les scènes d’aveux avortés, les mensonges, les confusions. Mais là, c’est l’inverse, les secrets sont dévoilés très vite, les aveux sont donnés dans la foulée, et bizarrement (ou pas, au final), en changeant le sens de la vapeur, ça fait tourner le moteur de la même manière.
Et la succession de coups de théâtre : certains prévisibles, d’autres moins, qui de toute façon, même si on les a éventés avant, ont une telle incidence sur les personnages que ça fonctionne.
La grosse intrigue sur le Clan des Ours est résolue, mais celle sur la filiation (qu’on voyait arriver de loin, mais c’est l’occasion de créer des méchants de première bourre) reste à développer. Potentiellement, c’est le gros de la saison 2, s’ils la font. Mais je pense que c’est en route : le dernier épisode prend son temps pour montrer une pleine charrette de subplots, je crois y voir la confirmation du succès de la première saison.
En tout cas, je l’espère bien, et quand elle arrivera, j’en serai.

Jim

2 « J'aime »

J’ai pris le 2eme (ou 3eme) de la soirée et je ne suis pas rentré dedans.

Y a un truc marrant, c’est que c’est le festival des beaux gosses. Les nanas, j’en parle même pas (très content de revoir la petite infirmière…). Mais les mecs, c’est le concours du charisme. Et au final, face au Gouverneur ou à Monasterio, Diego fait un peu pâle figure, gravure de mode un peu inexpressive.
Mais dans l’ensemble, c’est vraiment une série sympa. J’ai trouvé les épisodes plus denses et rapides qu’avant. Il faut dire que le subplot sur la famille occupe du temps d’antenne (ça me fait dire qu’ils avaient peut-être prévu de le résoudre plus tôt, et que là, ils l’étalent un peu plus…). Ça remplit bien les épisodes.

Jim

C’est pas faux
(Et je regardais d’un œil distrait)

Ah oui, et puis aussi, vu que ça cogne quand même pas mal et que tout le monde est bien tendu, je repensais au bouquin de Martin Winckler sur Le Rire de Zorro, et je me disais que ce Zorro-là, contrairement à la version de Guy Williams (qui est sans doute celle par laquelle j’ai rencontré le personnage) et d’autres encore, n’est pas très souriant.
Et en fait, je crois que justement, cette saison (que j’espère première avec des suites) marque la construction du personnage. J’y ai pensé à plusieurs moments (quand Monasterio monte en grade, par exemple, mais aussi quand il s’avère que Diego / Zorro est un monteur de plans tordus, un tricheur, un rusé… bref, un renard : ça, c’est quelque chose qui n’était pas présent dans le début de la série, qui vient progressivement.
Et la dernière image en témoigne : un regard direct au spectateur, et un sourire.
Ce qui me donne encore plus envie de voir une éventuelle seconde saison.

Jim

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