Page d’introduction de Detective Comics #481, où Jim Starlin est encré par P. Craig Russell :
Jim
Page d’introduction de Detective Comics #481, où Jim Starlin est encré par P. Craig Russell :
Jim
Couverture de Sienkiewicz, suivie de la réponse d’Adams à cette scène.
Davis/Neary :
La pose du Batman de Sean Gordon Murphy pour une série de statuettes consacrées aux diverses interprétations graphiques du personnage (la ribambelle de « Batman black & white »).
Quitely :
Frank Quitely’s Batman and Robin sketches.
Les triplets siamois qui font des arts martiaux.
J’adore.
David Mazzucchelli :
Du même :
Jim
Lee Bermejo :
Fichtre, ça rappelle la série télé Tintin.
Oh, du Bermejo en pleine forme!
Ah ça c’est sur, c’est une jolie poubelle.
Un joli contresens, aussi, serais-je tenté d’ajouter (ou en tout cas une proposition complètement à contre-courant du sens de la stylisation qui caractérise l’image d’origine, et qui fait qu’elle fonctionne).
Farpaitement.
Techniquement, l’illu de Bermejo est très bien, c’est un hommage vibrant et sincère, mais qui démontre aussi une certaine incompréhension du truc. L’épure du dessin de Mazzucchelli, le choix de mettre la lumière d’un spot sur un mur nu seulement zébré d’éclats de projectiles, la décision de placer la moitié du corps du personnage dans le noir total, tout ceci est contredit par le souci du détail qui ne laisse hélas aucune place au doute, et donc à l’imagination. Savoir précisément la position de la jambe dans l’ombre n’apporte rien.
Typiquement l’exemple de l’inutilité du « réalisme » dans le genre super-héros.
Jim