Je l’ai lue, cette mini dessinée par Hoover, je suis presque sûr d’en avoir déjà parlé… mais je ne m’en souviens pas.
Jim
Je l’ai lue, cette mini dessinée par Hoover, je suis presque sûr d’en avoir déjà parlé… mais je ne m’en souviens pas.
Jim
Cap aux funérailles de Kirby…ou presque
La mort héroïque de Dan Turpin (l’alter ego du king) dans Superman TAS, scène déjà poignante en elle-même, gagne en impact symbolique lors des funérailles, avec un des plus beaux hommages rendus à feu Kirby (disparu 4 ans auparavant ce diptyque « Apokolips… Now ! »).
C’était donc l’occasion de placer des visages familiers dans l’assistance, qu’il s’agisse de créatifs ou de personnages fétiches de Kirby chez les Big Two (visibles et plus ou moins reconnaissables sur le storyboard). Cette séquence a été altéré depuis la première diffusion.
« In the episode’s original TV broadcast, Dan Turpin’s funeral contained cameos from multiple Marvel characters and employees, including Captain America, Tony Stark, Nick Fury, and of course, Stan Lee. These cameos were removed for the episode’s DVD release. »
Pêle-Mêle : Steve Rogers, Tony Stark, Mark Evanier, Orion, Scott Free, Big Barda, Stan Lee/Funky Flashman, Don Rickles, Alex Ross et son père, Alan Burnett, Bruce Timm, Nick Fury, Reed Richards, Sue & Johnny Storm (devant eux on dirait qu’il s’agit de T’Challa & Kamandi mais c’est pas sûr), Glen Murakami, Dan Riba, Paul Dini, Maggie Sawyer et sa compagne
Magnifique séquence, merci pour le partage. On peut savoir d’où vient le choix à la c** d’avoir caviardé ça ?
MARVEL TOP #16
IRON MAN #314
Le billet de Jim sur les INVADERS :
Je le dis et le répète, mais cette trilogie de l’Imposteur, c’est mon premier contact avec une aventure en solo du héros (vu la date, c’est fin 1980 ou début 1981, je pencherai pour la deuxième solution, avec peut-être même la possibilité que la maison de la presse où je l’ai trouvé ait conservé un exemplaire alors que le numéro suivant était déjà sorti).
Avant cela, je connaissais l’existence du héros, sans doute via les histoires illustrées par Gérald Forton dans Télé Junior.
Et ça reste une lecture d’une incroyable modernité (thèmes, narration…) avec une efficacité dans le propos qui rend l’ensemble indémodable. Au point que j’ai repris l’album en VF, que j’avais pourtant offert : l’une de ces histoires que j’aime avoir dans le texte d’origine, mais aussi dans la forme qui m’a permis de le découvrir.
Jim
Scène que l’ami Frank Miller parodie avec une malice non feinte dans cette illustration, extraite je crois de l’anthologie Happy Endings chez Dark Horse :
Jim
Oui, c’est l’un des sommets de la série. J’ai beaucoup aimé relire ces épisodes et j’ai tout de suite enchaîné avec le reste du run d’Englehart…
J’aime aussi beaucoup les épisodes avec Cap empoisonné, avec le flic corrompu…
Que de bonnes choses. La première très grande période du titre.
Jim
Je ne veux pas penser à des bêtises (pour changer) … c’est qui au dessin ?
Steranko encré par Sinnot
Merci.
Tiens je feuilletais des back issues (le mag) numérique et sur le 96 spécial Marvel Fanfare , il y a deux anecdotes:
1-Sur le fameux #18 Home Fires par Stern/Miller/Rubinstein sur une idée de McKenzie (Traduit dans Marvel Fanfare 3 chez Aredit et peut être le Captain America : Rouge, Blanc et Bleu) qui est un de mes all-time favorites avec le Captain avec Daredevil Born Again!
Bref, Stern explique qu’au départ c’est une proposition de Mckenzie pour la première partie d’un arc en deux pour Captain America 238.
Stern se souvient que l’histoire de cette partie voyait surtout Steve Rogers impliqué dans la lutte contre un incendie dans son voisinage. Il n’apparaissait en Captain America que sur quelques cases. Le dessinateur prévu sur le numéro (à l’époque c’est Sal Buscema qui dessine) ne voulait travailler sur les aventures de Steve Rogers. Vu les délais, Stern publia une histoire en deux parties de Gillis et Kida (zzzzzzzzzz).
Frank Miller avait entendu parler de cette histoire et demanda s’il pouvait s’en servir.
Il revint vers Stern avec 17 pages dessinées. A cette époque Stern quittait ses fonctions d’editeur pour se lancer scenariste et avait décroché le titre… Captain America (avec Byrne à partir du 247). Comme ils voulaient travailler ensemble, Stern aurait pu dialoguer l’ensemble sauf que la politique editoriale de Marvel avait passé les histoires de 17 à 20 pages. Il fallu donc qu’ils travaillent ensemble sur le fait d’étendre l’histoire sur 5 pages de plus. Miller fit les planches qui attendirent une ouverture dans le planning de la série puisque Stern l’avait quittée. Si bien qu’il se retrouver à la dialoguer pour Marvel Fanfare (qui en fait publiait du matériel qui avait été crée en vue d’être des fill-ins accumulés pendant des années). La publication pris donc 4 ans, 6 si on compte que la proposition de McKenzie. Stern insiste sur le fait que le script est donc de Miller.
L’histoire aurait été inspiré à McKenzie par l’histoire de pompiers qui allumaient des feux en vue de la renégociation de certains financements pour le service.
La page de Back Issues #96 dont parle Fred :
Le vengeur étoilé et la plume de Stern ont par la suite été réunis en 1985, le temps d’une histoire courte écrite en réalité quelques années auparavant, publiée dans les pages de l’anthologie Marvel Fanfare, et illustrée par ni plus ni moins que Frank Miller (remontant à ses épisodes de Daredevil d’après le style encore fortement influencé par Gil Kane ).
Ce sera une des rares occasions qu’aura Miller de travailler avec Roger Stern, un scénariste apprécié des fans en général, mais parfois pas assez mentionné pour ses apports fondamentaux aux séries qu’il a écrites, peut-être parce que contrairement à ses collègues plus bankable, Stern reste un artisan assez humble et pas spécialement « show-off », la qualité de ses travaux d’alors parlant pour lui.
Frank Miller et Roger Stern, c’est aussi l’histoire d’une reprise de Doctor Strange (finalement, Miller sera occupé par différents projets, notamment Daredevil, série qui passe de bimestrielle à mensuelle avec son numéro 170 daté de mai 1981), qui ne se fera pas. Miller sera remplacé par Marshall Rogers, dont le premier épisode, Doctor Strange #48, est daté d’août 1981, ce qui correspond à Daredevil #174 : on peut légitimement penser que l’illustration réalisée par Miller (et qui servira de publicité) a été réalisée avant le changement de périodicité de Daredevil…).
L’autre projet que les deux compères avaient évoqué, c’est une relance de Nick Fury. Mais d’après Stern lui-même, l’idée n’aurait pas dépassé le stade de la conversation, et s’ils ont sans doute développé quelques détails, ils ne sont pas allés plus loin.
En cherchant des trucs sur la toile, je tombe sur cette page d’introduction, tirée de Captain America #235, daté de juillet 1979 (ce qui correspond à Daredevil #159, où Miller officie déjà).
J’aime beaucoup la mention « Frank Miller - consultant spécial en châteaux d’eau ».
Jim
En 1981, Spider-Man fut le héros de deux séries animées qui ont débuté leur diffusion le même mois : en solo dans Spider-Man (26 épisodes) et en équipe dans Spider-Man and his amazing friends (24 épisodes). Aux origines du projet, le dessin animé devait réunir Spider-Man, Iceberg et la Torche Humaine en tant que colocataires et étudiants à l’Empire State University. Mais comme les droits n’étaient pas disponibles, Johnny Storm a été remplacé par un personnage créé pour l’occasion, Firestar (pour respecter le thème du feu et de la glace). Mary Jane Watson a servi d’inspiration pour cette version d’Angelica Jones qui a ensuite été en grande partie remaniée pour son entrée officielle dans l’univers Marvel en 1985.
Captain America est apparu dans deux épisodes, le premier étant 7 little superheroes. Dans cette aventure, les amis extraordinaires, Cap, Namor, le Dr Strange et Shanna (dans la V.O., « the She-Devil » est renommée « the Jungle Queen »…pas d’allusion au diable dans un dessin animé pour les enfants) sont attirés dans un château par un mystérieux message. Là, ils découvrent que leur vieil ennemi le Caméléon a préparé des pièges rien que pour eux. Le vilain n’a pas vraiment l’air à sa place dans cette histoire qui semble mieux taillée pour un Dr Fatalis par exemple (la façon dont le Caméléon piège ses « invités » rappelle de vieilles intrigues avec les F.F.). Heureusement, les héros peuvent compter sur un allié de poids pour reconnaître le maître du déguisement qui s’est infiltré parmi eux pour semer la zizanie…Ms Lion, le toutou de Tante May au flair incomparable. Oui, le Caméléon est vaincu grâce un mignon Lhassa Apso (bah, dans les comics Fatalis a bien un jour été vaincu par une armée d’écureuils ^^)…
J’ai préféré Pawns of the Kingpin, scénarisé par Don Glut (voir posts 91, 96 et 159 pour en savoir plus). Cap passe presque tout l’épisode hypnotisé par le Dr Faustus (qui n’a pas ici son apparence des comics) sous les ordres du Caïd dans le but de voler une nouvelle super-arme du gouvernement…mais il y a une chouette dynamique entre les jeunes héros et le super-soldat et l’épisode est amusant, plein de rebondissements, surtout quand les deux vilains se tirent dans les pattes. Pas de la grande animation, mais c’est plutôt sympathique…
Les versions alternatives de Captain America (suite) :
Captain Colonies, membre du Corps des Captain Britain, apparu très furtivement dans Excalibur #44 de Alan Davis.