Ma préférence va à celle de Michael Golden (avec une Diamondback en pâmoison) :
Pub !
Il y a trente ans, Fred Hembeck avait pondu ce petit hommage pour les cinquante ans de Cap :
Tori.
Ça me rappelle ceci :
De Saines lectures
https://mcfarlandbooks.com/product/captain-america-and-the-struggle-of-the-superhero/
https://press.syr.edu/supressbooks/166/captain-america-masculinity-and-violence/
J’ai quand même commencé à suivre mensuellement les comics avec le magazine Fantastic Four. Pendant mes deux-trois premiers mois de lecture, Cap’, c’était ça. 
Et il y a eu ensuite la reprise par James Robinson dans Heroes Reborn, et le fameux épisode avec Travis Charest, qui m’a beaucoup marqué.
Comme quoi, la résilience, ça fait des merveilles.
Jim
Hormis la piètre qualité des productions Liefeld, Heroes Reborn est quand même un point d’entrée efficace sur les Fantastic Four et Avengers.
Je dévorais les FF de Jim Lee et l’Iron Man de Portacio. Après, on enchaîne facilement sur la reprise de Kurt Busiek, et vogue la galère !
Moi, j’étais déjà un « vieux » lecteur à cette époque, et pour te dire, je n’ai même pas tous les numéros VF. Et je n’ai pas pris les TPB VO. Quand on connaît ma collection, on a une idée du peu d’estime dans laquelle je tiens ces séries.
Jim
J’étais pas vieux, mais j’étais plutôt aguerri au Marvelverse … cela dit, j’ai beaucoup aimé le design de l’armure d’Iron Man.
Ca reste ma préférée, ouais !
Impossible, pour moi. Y en a qui passe avant !
Lesquelles ?
Le fameux livre avec Mystique dedans mais dans lequel l’illustrateur a dessiné…Mysterio…
Critiquables, tout de même (du fait de biais communs dans la philosophie univeristaire américaine) :
For White, who teaches philosophy at City University of New York and who has published widely on ethics as well as written about other comic-book heroes, the Captain is loyal to “timeless principles of freedom, equality and justice”. […] His principles are universal: as White puts it, he believes “American ideals apply to everyone – not just all Americans, but all people around the world”.
You might be wondering whether White is serious in making these large claims, but he means what he says – and says it with some style. Enjoyable and consistently stimulating, presenting complex arguments in ways that will be accessible to just about any reader, The Virtues of Captain America is popular philosophy of a high order. The trouble is that, because he takes Captain America so seriously, White doesn’t see any problem in treating the superhero’s American ideals as universal human values. Like the Captain himself, he thinks they are one and the same.
Captain America’s values, according to White, aren’t a product of America’s history as a modern country. They go all the way back to the Greeks. […] Sadly, the suggestion that Captain America embodies Aristotelian virtues verges on the absurd. […] Part of the explanation may be the professional deformation of academic philosophy. […] Lacking any sense of the ways in which moral ideas change – because contemporary Anglo-Saxon philosophy is also thoroughly unhistorical – they do not realise that the ancient exponents of virtue ethics lived in a world in many ways almost unimaginably remote from our own. […] The trouble with talk of timeless virtues is that not many virtues are timeless.
Je vais pas répondre pour le copain soyouz mais pour ma part :
et par Colan
et puis mon autre préféré, la variation « moderne » après la période or et argent :
L’impact et la force par l’épure et la simplicité
Si je reconnais sa classe, sa puissance, sa simplicité et son succès, je n’ai pas d’attachement fondamental à cette fameuse armure mythique.
Je reconnais sa qualité, mais ce n’est vraiment pas une de mes préférées.
Je préfère celle-là, d’ailleurs. Je l’ai connue quand j’achetais des comics en brocante, et j’aimais bien !
CAPTAIN AMERICA & BUCKY #620 à 624 :