1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

En 1975, l’éditeur Whitman fait paraître, sous copyright National Periodical Publications, un livre de coloriage intitulé Wonder Woman Faces the Menace of the Mole Men.

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Le fascicule fait 52 pages (sans doute 48 pages intérieures et quatre pages de couverture), d’après la Grand Comic Database. Il propose une longue histoire de 48 pages (qui donne son titre à l’album), et reprend en quatrième de couverture, en pied, la silhouette de l’héroïne.

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Les auteurs ne sont pas crédités. Peut-être des habitués de la réaction de Western Publishing ? Ou bien des illustrateurs issus de l’écurie DC ? J’ai un temps pensé à Ric Estrada, mais bon…

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Le récit s’inspire d’une aventure écrite par William Moulton Marston pour Wonder Woman #4, daté d’avril 1943. Mais les Holliday Girls et le Général Darnell sont remplacés par d’autres personnages.

Un commentaire plus détaillé est trouvable ici :

Notons enfin que l’album existe en deux versions, dont les couvertures divergent (ce qui fait beaucoup).

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D’après un commentaire, les deux versions auraient des tailles différentes. Et en consultant les images, j’ai l’impression que le contenu change aussi, peut-être à la faveur d’un remontage, qu’on peut deviner en comparant ces deux images :

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Jim

Wonder Woman par Brian Bolland

Wonder Woman #67
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Wonder Woman #70
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Dessin préliminaire pour le Wonder Woman #74
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Couverture non retenue pour le Wonder Woman #76
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Dessin préliminaire pour le Wonder Woman #83
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Une couverture non publiée pour le Wonder Woman #93
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« A good blurb ».
Héhé.

Jim

En 2018, sur le marché brésilien, l’éditeur Panini a procédé à une expérience inattendue : la rencontre entre les héros DC et les personnages de Mauricio de Sousa, héros de la série Turma da Mônica. Ces derniers sont des enfants de six-sept ans, vivant dans le quartier de Linoeiro, à Sao Paulo.

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Au moins deux aventures ont été réalisées.
Dans l’une d’elles, intitulée « Esperança », Superman et Wonder Woman décident de prendre un peu de repos mérité alors que le monde semble enfin profiter d’une paix certes toute relative.

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Les deux justiciers décident d’aller se reposer au Brésil, où ils font la rencontre de Chico Bento (l’un des personnages de Mauricio de Sousa), le fils d’un humble fermier, dont la gentillesse et l’humilité les touchent.

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Le jeune Chico présente ses deux nouveaux amis à ses parents fermiers, à qui Clark explique que l’enfant lui rappelle celui qu’il était en grandissant dans sa ferme au Kansas.

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Clark et Diana, dans cette histoire supervisée par Mauricio de Sousa, se comportent comme un couple, même si rien n’est précisé.

Alors que les deux héros racontent des histoires autour d’un feu de camp avec le jeune Brésilien, un incendie survient dans une écurie.

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L’incendie n’était pas un accident. Rapidement, les héros arrêtent le coupable, un voisin dont le triste sort qui l’a conduit à de pareilles extrémités émeut tout le monde. Clark songe un moment à le conduire devant les autorités, mais face à la contrition de l’incendiaire, Chico parvient à le convaincre de lui laisser une seconde chance.

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À la fin de l’histoire, Clark et Diana révèlent leur véritable identité, et la famille de fermiers promet de garder le secret. Quand Rosinha, la petite copine de Chico, arrive sur les lieux, le gamin enfile les lunettes de Clark… si bien qu’elle ne le reconnaît pas !

Jim

Dans le Wonder Woman #268 (que l’on retrouve en VF dans le Hercule avec Wonder Woman #2), écrit par Gerry Conway, dessiné par Jose Delbo et encré par Vince Colletta, on y voit une scène qui, me semble-t-il, est assez unique dans la série.

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Dans ce numéro, Diana fait équipe avec Animal Man, qu’elle a rencontré dans le numéro précédent, afin de retrouver The Prime Planner, chef de l’organisation appelée The Cartel (organisation déjà évoquée dans les numéros précédents).

On retrouve donc Buddy et Diana en France, et plus précisément sur une plage Marseillaise, en train de surveiller Krispin, le « boss » local, pour savoir s’il pourra les aider à trouver le chef du Cartel.

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Et c’est là qu’arrive la scène dont je parlais au début. Diana se change en Wonder Woman au beau milieu de la plage et des civils qui y sont présents. Ca n’a pas l’air de la préoccuper d’exposer son identité secrète à la vue de tous. Est-ce parce qu’elle est en France ? Le syndrome que l’on rencontre parfois du « je m’en fou on ne me connait pas ici je peux faire ce que je veux » ?
On remarque d’ailleurs la même chose pour Animal Man qui utilise ses pouvoirs à la vue de tous sans même revêtir son costume.

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L’histoire se poursuit avec Wonder Woman et Animal Man sauvant Krispin et sa fille d’une tentative d’enlèvement.

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Le fameux chef du Cartel, mécontent de l’échec de l’opération, prépare une nouvelle attaque.

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Plus tard on retrouve Wonder Woman et Animal Man chez Krispin, essayant d’obtenir de ce dernier des informations pour les aider. Krispin dit ne rien savoir, mais Wonder Woman use de son lasso et apprend que le chef du Cartel veut faire main basse sur les affaires de Krispin.

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Après un combat avec les hommes du Cartel, Wonder Woman et la fille de Krispin sont faites prisonnières et amenées devant le chef du Cartel.

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L’identité de ce dernier est enfin révélée mais ça se termine mal pour lui et il se fait arrêté après que Wonder Woman se soit enfuie avec la fille de Krispin.
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Bon, déjà, Krispin qui se baigne avec sa fille en ayant un cigare à la bouche, c’est bizarre… Mais ce qui surprend, c’est aussi une plage de Marseille au début des années 80… Et aucune femme ne fait de topless !
Pour avoir passé pas mal des étés de mon enfance sur ces mêmes plages, les seins nus étaient plutôt la norme que l’exception !

Bon, j’aime bien quand même le passage léger avec Animal Man qui met de la crème solaire à WW (et comment celle-ci, en maillot, utilise son lasso comme ceinture (qu’on pourrait penser faire partie de la culotte dudit maillot)…

Bon, on passera sur le français approximatif : on en a l’habitude, désormais…
Mais à la place du « Mon Dieu ! », j’aurais bien placé un « Bonne Mère ! »… ~___^

Tori.

Et quand tu as vu une grande brune courir avec un lasso, tu as trouvé ça tout à fait normal ?

Jim

Mettre des seins nus dans une BD américaine, tu veux que les américains pudibonds fassent une crise cardiaque !

Moi j’ai apprécié le « c’est affreaux » ! :joy:

Attends, ils ont déjà du mal avec le français alors le marseillais !

Ben oui, pourquoi ?

On peut les suggérer sans les montrer (il suffit que les femmes soient de dos)… Mais c’était surtout pour dire que la scène ne ressemblait pas à une plage de Marseille.

Oui, ainsi que le « Les canons ! »

Tori.

Pour vérifier que tu es bien Français.

Jim

Gobelet canadien « Wonder Woman », Pepsi, 1975 :

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Et la collection complète :

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Tableau noir Justice League of America, 1975 :

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Jeu de société Wonder Woman, Hasbro, 1967 :

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Features: Aquaman, Batman, Flash, Superman, Green Lantern, and Jonn Jonzz Super Hero cards along with Wonderwoman in a simple roll and move game from Hasbro.

Jim

Comic Connection, jeu, Construct-a-comic, 1980 :

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Jim

Des comics en kit ? O___o
Ils fournissaient la paire d’agrafes ?

Tori.

En regardant les images pour l’équivalent consacré à Superman ou à Batman, j’ai l’impression qu’il y avait plusieurs degrés de difficulté, plusieurs jeux dans le jeu, en somme. Mais je ne suis sûr de rien, sans explication concrète.

Jim

Cary Nord :

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Recherche de Howard Porter pour la Wonder Woman du futur, apparaissant dans la série Justice League 3000 :

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Jim

Doctor Fate et Wonder Woman par Keith Giffen :

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