1941-2021 : BON ANNIVERSAIRE WONDER WOMAN !

Tout simplement.
On peut comprendre que dans ces décennies-là, ils n’hésitent pas à adopter cette périodicité : plus longtemps en rayon, ça signifie une petite poussée des ventes qui permettent de rendre le titre rentable.

Jim

Pas mal !

Jim

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Visiblement, c’est un récit d’un seul tenant. Ce qui m’a permis de découvrir que Paul Levitz a donc fait l’intérim entre Jack C. Harris et Gerry Conway, et que l’histoire courant des #159 à 161 (où Diana « goes berserk ») constituait la rampe de lancement du travail de ce dernier. Alors que je pensais qu’on était en milieu de prestation.

Jim

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Supposition : pour paraître plus cool/edgy ?

Si Deodato avait su lire correctement l’anglais à l’époque (et donc les scénarios) je suis sûr que ça aurait donné un truc vraiment intéressant. Hélas, ça sent le bâclage et le rattrapage aux branches éditoriales.
Mais c’était encore bien joli, quand même.

Jim

Au moins il fait preuve d’auto-dérision (c’est déjà ça).

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Well, the Thor design is my fault only — I take the blame [laughs] . In my defense: it was the 90s, people — it was the 90s! Everybody looked ridiculous back then! if you weren’t ten years old back then, if you were older, you were ridiculous. You were wearing those big shoulders, that hair that looked like an animal in front of your head and those colors like lemon yellow and everything was too much. Everything was ridiculous, so why not Thor? Why? [laughs] Because he’s a god? That’s my defense.

But you know if there is a list of worst uniforms in the history, my Thor design is there. The other characters, like the Wasp — I think it was Joe Madureira who created them. People think it was me but I would have made them even worse [laughs] .

https://comicartistevolution.tumblr.com/tagged/mike_deodato_jr./chrono

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Le truc qui est dommage avec ses deux collaborations avec Bill Messner-Loeb, c’est qu’à chaque fois le scénariste (qui manque de pot, sur ces coups-là, faut dire) lance de super idées, notamment autour du thème qu’il affectionne, celui de la rédemption, et qu’à chaque fois, il se retrouve avec un dessinateur en roue libre et un environnement éditorial qui ne lui est pas favorable (pour Wonder Woman, l’arrivée de Byrne, pour Thor, la relance des séries Vengeurs). Dans les deux cas, on sent qu’il est plus ou moins obligé de tasser ses idées et de boucler ses subplots plus vite que de raison.

Jim

Pauvre Enchanteresse (la façon dont elle est dégagé du casting vers le #500, c’est assez abrupte).

Un peu pressé, sur ce coup-là, Carmine !

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Jim

Complètement. Il a pris le temps de l’installer, de rendre crédible cette relation, et paf, évacuée. Certes reprise par DeFalco dans la version « Journey Into Mystery », mais quand même.
C’est un peu la même chanson pour le White Magician dans Wonder Woman. On sent qu’on pourrait aller quelque part, ou que la conclusion pourrait être épique. Mais en fait c’est rapidement évacué. Et ça donne un résultat assez bof.

Jim

Wonder Woman par George Tuska :

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Originaux de George Tuska pour le strip de presse The World’s Greatest Superheroes :

Diverses planches dominicales :

Illustration promotionnelle, encrée par Vince Colletta :

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Wonder Woman et Wonder Girl par Herb Trimpe :

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Wonder Woman par Neil Vokes :

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