Chez Murphy, ce qui me tue complètement, ce sont ses décors.
Mais je n’aime pas ses personnages.
Chez Panosian, j’aime tout. Il est très impressionnant, mais moins fort que Murphy. Sa vraie force, c’est d’être régulier, égal, sur tous les aspects de son travail.
J’avoue que ça me ferait plus rire si j’ignorais les positionnements politiques du monsieur. Désormais, la moindre blague à teneur éditoriale est entachée d’un soupçon de conservatisme.
Il y a un « scandale » dans le petit milieu de la BD américaine, genre il y a deux ans, et le couple Breitweiser s’était distingué dans le camp conservateur.
Tiens, le Doc avait résumé le truc il y a deux ans.
(Et petite fierté : ce lien arrive en premier quand je tape « breitweiser comicsgate ». Bravo le Doc !)
Je n’arrive pas à retrouver (et je crains qu’en fait ce soit des informations données par un pote, et là, pour retrouver…), mais même si les Breitweiser ont pris leurs distances par rapport au mouvement (ça correspond au lancement de leur propre structure éditoriale), ils ne se sont pas comportés de la manière la plus polie qui soit.
Mais j’ai pas envie de remuer le caca à ce propos. Life’s too short.