1961-2021 : BON ANNIVERSAIRE LES 4 FANTASTIQUES !

Yep !

Ça provient de là :

Ah mince, tu avais déjà posté ça. J’ai mis Earl Norem dans la fonction recherche et je n’ai rien trouvé. J’aurais du penser à mettre le titre du bouquin…^^

VIDEO GAME :

Les F.F. font partie des personnages jouables du jeu Lego Marvel Super Heroes sorti en 2013.

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FANTASTIC FOUR #263-264 :

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Après le rythme effréné de l’année précédente (comme souligné dans mes autres billets, les épisodes 251 à 262 ne correspondent qu’à quelques jours de la vie des héros), John Byrne a fait un peu souffler les 4 Fantastiques . Le #263 se déroule en effet un peu plus de quatre mois après le 262. Reed, Sue et Franklin sont bien installés dans leur maison du Connecticut. Et pendant que Sue prépare la chambre du futur bébé, Reed ne peut pas s’empêcher de se rendre à New York pour bosser sur ses expériences au Baxter Building. C’est là qu’il repère une étrange source d’énergie en plein Central Park…oui, les Guerres Secrètes sont proches…

Pendant ce temps, Johnny et Ben sont dans un célèbre parc d’attractions en Californie, où la Torche a été invité pour participer à une course automobile. La routine pour Johnny…mais quelque chose se passe mal et sa voiture explose. La Chose ne peut pas croire à la mort de son ami et son enquête va le mener sur l’île du millionnaire propriétaire du parc, Alden Maas (un anagramme de Neal Adams…aussi connu pour ses théories sur l’expansion terrestre…pour un pastiche de Walt Disney).

Là, Ben découvre que Maas a capturé Johnny car il a besoin de son pouvoir pour son mener à bout son plan de fou : réchauffer le noyau de la Terre par une flamme d’une chaleur de nova pour dilater la Terre, augmentant ainsi sa surface pour résoudre le problème de surpopulation.

Maas croit bien faire, mais son plan était voué à l’échec pour une raison dévoilée dans les dernières pages. Le diptyque F.F. #263/264 ne fait pas partie des meilleures histoires de la prestation de Byrne mais l’ensemble est très sympathique et offre notamment un bon rôle à l’Homme-Taupe (le projet du messie auto-proclamé a causé beaucoup de dégâts au royaume souterrain du premier ennemi des F.F.) qui forme un trio inattendu avec la Chose et la Torche.

Pendant ce temps, Sue sait que quelque chose ne va pas avec sa grossesse…mais elle devra attendre plusieurs jours avant de revoir son mari et son frère (pour Ben, cela prendra un peu plus de temps)…

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FANTASTIC FOUR #265-266 :

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Le lecteur français n’a pas assisté au départ de Reed, Ben et Johnny pour les Guerres Secrètes car John Byrne a choisi de montrer ce moment dans la série The Thing qu’il scénarisait également et qui est resté inédite chez nous à l’exception du #1. Dans The Thing #10 (date de couverture : avril 1984), les 3 Fantastiques pénètrent dans la structure extraterrestre apparue dans Central Park pour leur rencontre avec l’entité appelée le Beyonder…et le même mois, dans F.F. #265 , les héros sont de retour, presque au grand complet. Mais je vais trop vite…

Il y a deux histoires dans le #265. La première est La Maison que Reed a construite . Un vieil ennemi des Fantastiques profite de leur absence pour s’introduire dans le Baxter Building. On devine rapidement qu’il s’agit d’un loser professionnel, le Piégeur. J’aime beaucoup la façon dont ce segment est construit : Byrne se sert des récitatifs comme voix-off , emploie la vue subjective tout en alternant avec des plans de caméras de surveillance. C’est très bien fait et la chute est excellente…

La deuxième partie est consacrée au Retour des Héros …mais sans la Chose qui a décidé de rester sur Battleworld car il avait découvert qu’il pouvait redevenir humain à volonté (dans sa série solo, ce fut le début d’une longue saga en 12 parties intitulée Rocky Grimm Space Ranger ). Ben a demandé personnellement à Miss Hulk de le remplacer…mais Jennifer Walters ne s’attendait pas à une telle première journée en tant que membre des Fantastiques car Sue ressent alors une terrible douleur et est emmenée d’urgence à l’hôpital.

Pendant que les plus grands experts en radiations s’occupent du cas de l’Invisible, Alicia Masters trompe l’attente en racontant une histoire du passé à Miss Hulk. Le #266 est donc essentiellement un flashback qui a permis à Byrne d’utiliser une intrigue pensée à l’origine comme un fill-in et très joliment dessinée par Kerry Gamill. Une façon de patienter en attendant le dramatique #267

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C est qu il va finir par me les faire ressortir de la cave, le bougre !

Parce qu’ils sont à la cave ???
Et tu mets tes bouteilles dans la bibliothèque ? (tu vas me dire, j’ai quelques bouteilles de bière dans la mienne … mais les collectors du festival d’Angoul’ !)

Dans des cartons, dans une cave qui n est pas la mienne.

L expédition

Les bouteilles, je les bois. Elles n ont jamais atteint la cavé.

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FANTASTIC FOUR #267 & 268 :

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Fantastic Four #267 est une course contre la montre pour sauver Sue Richards et son bébé. La première grossesse de l’Invisible a également été à risque et Reed, Johnny et Ben ont du se rendre en Zone Négative pour y trouver un remède potentiel, ce qui ne s’est pas fait sans difficultés (voir l’ annual 6, post #776). Ici, Reed s’entoure des meilleurs experts dans leurs domaines, Michael Morbius, Bruce Banner et Walter Langowski, mais l’état de Sue ne s’améliore pas. C’est alors que Langowski a une idée…il reste un génie auquel ils n’avaient pas pensé, le Docteur Otto Octavius.

À cette période, Octopus était diminué et enfermé dans un hôpital psychiatrique. Même s’il doutait du résultat, Reed a accepté de le voir et a su trouver les bons mots pour atteindre celui qui fut Otto Octavius. Mais c’était sans compter les nombreuses affiches de Spider-Man placardées dans New York par J.J. Jameson qui ont troublé le savant. La personnalité d’Octopus reprend le dessus…

Le suspense est implacable car on sait que chaque seconde perdue augmente la certitude d’une issue dramatique. Cette fois-ci, c’est Mr Fantastic qui lutte seul pour la vie de sa femme et de son enfant à naître et le combat est tendu. Reed arrive une nouvelle fois à convaincre Octopus…mais hélas bien top tard…

La façon dont la nouvelle s’abat sur Reed est très bien retranscrite par John Byrne…une inoubliable dernière page…

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Dans Fantastic Four #268 , la tristesse règne. L’impensable est arrivé, Sue et Reed ont perdu leur bébé. Les efforts de Mr Fantastic ont échoué et la famille est submergée par la douleur. Emotionnellement parlant, les premières pages sont très fortes…et Reed ne laissera pas un sursaut de colère d’Octopus faire dégénérer encore plus les choses à l’hôpital.

Johnny laisse sa soeur se reposer et emmène Miss Hulk, qui ne s’attendait certainement pas à une telle première journée en tant que membre des F.F., faire le tour du Baxter Building. L’occasion d’une discussion (et donc d’un récapitulatif des origines de Jennifer Walters) entre les deux nouveaux co-équipiers avant que retentisse une alarme. L’adversaire est étonnant : la Torche et Miss Hulk sont attaqués par…le masque de Fatalis !

L’objet en apparence inanimé est en effet tout ce qui reste de leur vieil ennemi suite au final explosif de Fantastic Four #260 (post #1332). Mais comme on le sait, le Latvérien a la peau dure et il a toujours un coup d’avance. Par ce combat étrange, John Byrne posait ainsi avec efficacité les bases du retour de Fatalis qui se fera en plusieurs étapes…

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FANTASTIC FOUR #269 et 270 :

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Dans Fantastic Four #269 , John Byrne a introduit un nouvel ennemi d’envergure cosmique, le ravageur de mondes Terminus, créé à l’origine par une race extraterrestre pour se venger des Célestes (un élément qui sera expliqué ultérieurement). Et pourtant, malgré l’importance de la menace, bien illustrée par la taille gigantesque de Terminus et les tourbillons d’énergie qui l’accompagnent, Mr Fantastic s’en débarrasse presque…facilement (Terminus est ensuite réapparu dans les pages de la série Avengers de Roger Stern).

Je trouve que les #269 et 270 sont plus importants au niveau du développement des personnages. Il y a d’abord le retour de Wyatt Wingfoot au sein de la série, l’arrivée de Terminus ayant lieu sur le territoire de son peuple. Le jeune homme doit prendre une décision importante, qui déterminera son destin. Il y a les premiers instants du rapprochement entre Alicia Masters et Johnny Storm, des moments tendres, de calme entre deux tempêtes qui s’abattent sur la famille…et aussi très troublants pour la Torche Humaine.

Et il y a aussi ces scènes importantes dans la caractérisation de l’Invisible par John Byrne. Parce que Reed ne veut pas qu’elle l’accompagne sur le terrain, Sue exprime sa frustration de manière destructrice. Au fond d’elle, elle sait que son mari n’a pas tort mais elle ne veut pas être « mise à l’écart » , ce qui était souvent arrivé au temps de la prestation de Stan Lee et Jack Kirby, après sa première grossesse.

Dans le spectaculaire, les récits de Byrne sont comme souvent très divertissants…mais dans l’intimiste, le scénariste/dessinateur/encreur sait aussi toucher juste et les deux dernières années de son run ne manqueront pas de moments très intéressants comme ceux-ci…

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FANTASTIC FOUR ANNUAL #18 :

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Dans l’ Annual 18 (datant de 1984 et traduit en 1995 dans les pages de Strange Origines) , les 4 Fantastiques se rendent sur la Lune pour assister au mariage de Flèche Noir et de Medusa (il était temps !). L’idée vient de John Byrne mais comme il était un peu trop occupé (par ses trois séries, Fantastic Four , The Thing et Alpha Flight ), l’auteur a juste livré un synopsis à Mark Gruenwald ( Captain America ) qui a été chargé d’écrire ce numéro spécial. Et c’est donc à Gruenwald que l’on doit les noms complets des amoureux inhumains : Blackantor Boltagon et Medusalith Amaquelin. Mais on dirait bien que le prénom de Flèche Noire n’a pas plu puisqu’il a ensuite été changé en « Blackagar ».

Les mariages Marvel n’ont pas tous la réputation de se dérouler tranquillement et celui-ci ne fait pas exception. Les noces sont en effet dérangées par le combat que se livrent depuis plusieurs années un soldat kree et un soldat skrull, deux guerriers piégés sur la Lune depuis un épisode historique des X-Men (rappelé dans le flashback qui sert de prologue) et un peu « oubliés » par leurs gouvernements respectifs (le skrull ne sait même pas que la planète-mère de son empire a été dévorée par Galactus).

Pour mettre un terme à ce long affrontement, les F.F. et les Inhumains vont devoir se montrer particulièrement rusés. L’intrigue met un peu de temps à se mettre en place (quelques lenteurs dans les vingt premières pages) mais la deuxième moitié est un peu plus mouvementée, avec de bonnes scènes d’action et une résolution qui ne manque pas de saveur. Par contre, la partie graphique est faiblarde : Mark Bright a déjà fait mieux (notamment sur Iron Man ) et l’encrage de Mike Gustovich n’embellit pas vraiment l’ensemble.

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FANTASTIC FOUR #218 :

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Avant de poursuivre le run de John Byrne, un petit retour en arrière. Le très complet auteur américain d’origine britannique a toujours été prolifique et il fut un temps où on le voyait pratiquement partout ( Uncanny X-Men, Iron Fist, Marvel Team-Up, Avengers, Captain America …). Deux ans avant de reprendre les commandes de Fantastic Four , John Byrne était déjà sur le titre, tout d’abord en dessinant la dernière partie de la prestation de Marv Wolfman puis le court intérim de Bill Mantlo (il en a aussi profité pour écrire ses deux premiers épisodes publiés entre les deux premiers numéros de Doug Moench et Bill Sienkiewicz, voir post #1261 pour plus de détails).

Archie Goodwin était prévu pour remplacer Marv Wolfman mais cela ne s’est finalement pas fait et Bill Mantlo a été appelé en renfort en attendant l’arrivée de la nouvelle équipe. Et comme les délais ont du être assez serrés, Mantlo a utilisé Fantastic Four #218 comme dernier chapitre d’un crossover avec sa série Spectacular Spider-Man .

Les Terrifics ont un nouveau membre, Electro, et les vilains ont imaginé un énième plan pour se débarrasser de leurs ennemis de toujours, les Fantastiques et Spider-Man. Spectacular Spider-Man #42 se terminait sur la défaite de l’Homme-Araignée. Confiants, les vilains se dirigent vers le Baxter Building, où les choses ne se passeront pas aussi bien pour eux…

L’épisode est franchement anecdotique mais dans l’ensemble, c’est du comic-book fun, souriant (de l’action, de l’humour et des méchants qui ne perdent pas une occasion pour se ridiculiser) et joliment dessiné (le duo Byrne + Sinnott, c’est très agréable pour les mirettes).

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Une utilisation similaire du cadre noir chez Slott & les Allred :

SPIDER-MAN & FANTASTIC FOUR :

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Au programme du premier numéro de Marvel Collector, l’une des nombreuses revues éphémères de Panini, il y a eu la mini-série Spider-Man & Fantastic Four (2010) du duo Christos Gage/Mario Alberti, déjà à l’oeuvre l’année précédente sur une mini Spider-Man & X-Men . La construction des deux histoires est d’ailleurs la même : trois premiers épisodes se déroulant à différents moments de la continuité des personnages principaux et traversés par un élément fil rouge qui se dévoile dans le dernier chapitre. Par rapport à la saga avec les X-Men, un tantinet plus sombre, cette seconde aventure est globalement plus enjouée, bien dans le ton des différentes rencontres entre l’Homme Araignée et les FF, une tradition qui remonte au tout premier Amazing Spider-Man de 1963 (et que Dan Slott, compère de Christos Gage, a déjà évoqué à plusieurs reprises).

Spidey et les FF, c’est une longue histoire : l’Araignée et la Chose sont un peu le « coeur » de l’univers Marvel, les personnages qui collectionnent le plus de rencontres avec les autres héros au travers notamment de leurs deux séries « team-up » ; Peter le savant admire le travail de Reed Richards et respecte l’homme même s’il n’a pas hésiter à draguouiller l’Invisible afin d’enrager la Torche qui, au fil des années, est tout simplement devenu l’un de ses plus proches amis. Epaulé par l’énergique dessinateur italien Mario Alberti, Chris Gage nous fait revisiter le campus de l’ESU, saute quelques années pour nous faire assister à un combat inédit entre nos héros et le symbiote ramené de la planète du Beyonder et imagine un épilogue bondissant à l’arc des 4 nouveaux Fantastiques (Spidey, Wolverine, Hulk et Ghost Rider) imaginé par Walt Simonson et Art Adams en 1990.

Même si je garde une préférence pour le plus réussi Spider-Man/Human Torch de Dan Slott et Ty Templeton (voir post #1158), qui fonctionne sur le même principe, Christos Gage utilise habilement la continuité de chaque période dans une mini-série très sympathique, bien rythmée et avec quelques dialogues savoureux (même si certains sonnent un peu bizarrement, mais c’est peut-être à cause de la traduction). Le dernier chapitre revient sur le thème de la famille qui est naturellement la base de la série des 4 Fantastiques depuis sa création et boucle la boucle de manière plus efficace que dans un Spider-Man/X-Men à la fin un peu plus abrupte.

Paulo Rivera

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Joe Phillips :

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FANTASTIC FOUR #271-273 :

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Le triptyque Fantastic Four #271-273 s’intéresse à un sujet qui avait rarement été évoqué jusque là : la famille de Reed Richards. Stan Lee et Jack Kirby ont écrit assez tôt une histoire sur celle de la fratrie Storm et John Byrne nous avait présenté la fameuse Tante Petunia de Ben Grimm dans Fantastic Four #238 . Ce retour aux sources pour Mr Fantastic vient d’un terrible constat au début du #271, alors que la famille fête son anniversaire : il ne se souvient plus du visage de sa mère, effet secondaire du drainage de son esprit par le seigneur de Mantracora lors de leur séjour mouvementé dans la Zone Négative (voir post #1317).

Reed raconte alors que l’un de ses plus vieux souvenirs remonte à quelques semaines avant le vol qui ont fait d’eux les 4 Fantastiques . Byrne adapte son style pour faire ressembler ces pages à un vieux comic-book de monstres de Marvel (ce qu’il réussit plutôt bien) et narre la rencontre avec Gormuu, le guerrier de Kraalo, un extraterrestre surpuissant venu conquérir la Terre ( what else ? ). Un événement qui explique précisément pourquoi Reed a tenu à lancer rapidement sa fusée expérimentale, avec les risques que l’on sait (il n’y a pas que les cocos, hein…).

Puis les F.F. se rendent à la demeure familiale de Reed et découvrent que Nathaniel Richards a disparu après avoir utilisé son propre modèle de machine à voyager dans le temps. L’équipe le suit jusqu’à une version parallèle de la Terre où ils vont de surprises en surprises, un monde où se côtoient aussi bien des villages sortis tout droit d’un western (mais avec des lasers à la place des colts) que des forteresses commandées par un « seigneur de la guerre » .

Cet arc narratif passe par de nombreux éléments explicatifs mais John Byrne a réussi à ne pas les rendre trop lourds en dosant efficacement l’action et les révélations. Nathaniel Richards n’a au final pas un rôle très important (il reviendra par la suite de façon plus active) mais le portrait qui est fait de lui ne détonne pas avec celui de Reed…et l’importante dernière page révèle l’appartenance d’un vieil adversaire des F.F. à la lignée des Richards…

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FANTASTIC FOUR #275 :

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Fantastic Four #274 est le seul épisode de la prestation de John Byrne resté inédit en France (il s’agit d’un numéro centré sur la Chose, trois mois avant son retour officiel sur Terre dans le #277). Dans Nova , Lug a donc enchaîné avec le #275, une histoire au ton plus léger dans laquelle Miss Hulk fait tout pour empêcher que des photos prises alors qu’elle prenait un bain de soleil topless sur le toit du Baxter Building (c’était sans compter les méthodes d’un paparazzi très tenace) soient publiées.

Entre deux arcs narratifs plus longs, l’aventure est divertissante, sexy, avec une entame dynamique suivie par un chouette travail d’équipe entre Jennifer et son petit copain Wyatt Wingfoot et une résolution qui fait sourire. Une récréation avant une suite un peu plus sombre comme le montrent les deux dernières pages qui proposent un petit aperçu de l’épreuve subie par les Richards dans les #276 et 277.

L’épisode s’intitule La Vérité toute nue …et ce n’est pas juste le titre du tabloïd dirigé par l’éditeur glauque qui a la même perruque que Stan Lee dans les années 70/80. Car dans la version publiée dans Nova , il manque une page dans laquelle Byrne révèle que Johnny et Alicia ont passé leur première nuit ensemble…et cela juste avant la réapparition de Ben Grimm dans la vie des deux amoureux (quel timing !)…

(et remontez au post #274 de Marko pour savoir pourquoi Byrne mentionne Kevin Nowlan dans les crédits de l’épisode).