Les personnes non-binaires ne se reconnaissent pas dans le genre qui leur a été donné à la naissance. Il ne se ressentent ni strictement homme, ni strictement femme, mais entre les deux (ou un mélange des deux). C’est pour cela que le pronom anglais qui désigne maintenant Morrison est « they ».
Ah, merci. Donc, il n’est pas que non-binaire, il est également plusieurs. Bien, bien, bien …
Non, Soyouz : c’est un « they » singulier (dans les deux sens du terme)…
@Le_Doc : tu as quand même écrit « le scénariste écossais », au masculin…
Mais j’ai remarqué que tu évitais soigneusement d’utiliser des pronoms, surtout… ~____^
Tori.
Oh punaise !
Bientôt, il va nous faire des noms communs avec des majuscules.
Alors que pourtant la période W&W l’est parfois voire souvent (de façon plus pertinente que le titre « rival » d’en face) sur certains aspects (le côté businessman de Reed, le boulot de Johnny, Galactus redevenu humain, Franklin et son traumatisme, les conséquences politiques de l’absence de Fatalis sur la Latvérie, la façon de gérer le deuil d’un membre de l’équipe, etc…).
C’est dur d’échapper à des années d’habitude. ^^
Et puis j’essaye de varier les tournures de phrase pour ne pas me répéter, ce qui n’est pas toujours facile quand on écrit beaucoup…
Qu’est-ce donc ? Je traduis mal, là.
Waid et Wieringo.
Arf, merci.
T’es encore moins réveillé que moi.
Jim
Ah, merci… Je ne voyais pas trop le rapport avec eux :
Tori.
Ha tiens je ne savais pas. Merci pour l’information
Un l’époque de sa sortie, un pote me l’avait conseillé en me disant que c’était mortel avec la super idée de la ruine de la famille etc…J’ai vraiment pensé à ne plus lire de comic Marvel après avoir lu cette merde. Heureusement que j’ai découvert le run de Waid et Wieringo peu après.
Brevoort à ce sujet :
« On this page from FANTASTIC FOUR ANNUAL #3, whether due to Vince Colletta’s inks being even more sparse than usual, or the fact that Jack Kirby was never quite able to wrap his head around Steve Ditko’s Spider-Man costume and physicality, Stan had a stat of an earlier Ditko figure from an issue of AMAZING SPIDEY dropped into Panel 4 to replace the original figure, seen in the first image. »
Passionnant.
Jim
Clayton Henry :
Andy Lanning :
13. The Fantastic Four, Marvel. OK, some may say that the FF are not technically a cosmic team but I disagree, in fact, for me, they are the original cosmic team! I grew up on a diet of Star Trek, Lost In Space, Thunderbirds, Captain Scarlet, UFO, Dr. Who, 2000 AD, etc. When I read the Fantastic Four comics, I didn’t really see them as superhero comics but more like an extension of the sci-fi stuff I was binging on. They get their powers from cosmic rays, they defeated the Devourer World and half their adventures were either in space or other dimensions! These were always my favorite FF adventures and none were better than when they were drawn by the inventor of cosmic superheroes, Jack Kirby! Bloody magnificent!
When I read the Fantastic Four comics, I didn’t really see them as superhero comics but more like an extension of the sci-fi stuff I was binging on.
Waid (ou plutôt son avatar fictionnel) arrive à la même conclusion que son confrère concernant les « imaginautes » (des aventuriers plutôt que des justiciers) :
Tellement vrai.
FANTASTIC FOUR #375 :
Comme je l’ai écrit dans mon billet sur Fantastic Four #357 et 358, le duo Tom de Falco et Paul Ryan n’hésitait pas à faire bouger les choses, quitte à se mettre à dos une partie du lectorat. J’ai globalement bien aimé à l’époque, quand j’avais à peine 20 ans, même si certaines choses ne fonctionnaient pas. La saga liée à l’événement Infinity War (F.F. #366 à 370) était ainsi beaucoup trop longue et a mené à une décision controversée, quand la Femme Invisible a décidé de s’unir de son plein gré à sa version maléfique, Malice, revêtant ensuite pendant plusieurs mois une combinaison sexy assez révélatrice. Ah, les nineties …
Quand commence le #375, numéro double anniversaire, la famille est plongée dans une situation tendue. La Torche Humaine est poursuivi pour avoir incendié par accident l’Empire State University; son ex-femme Lyja, l’espionne skrull vient de réapparaître, persuadée que Johnny l’a laissée pour morte; Ben Grimm vient de se faire labourer la tronche par un Wolverine déchaîné et Sue critique toutes les décisions de Reed (j’avais presque oublié à quel point cette version du personnage ne brillait pas par sa subtilité). Et c’est le moment que choisit le Gardien pour les attirer dans sa demeure sur la Zone Bleue de la Lune, dont les secrets sont menacés par un Fatalis dopé par l’énergie d’un autre Gardien.
Cet énième combat contre leur ennemi juré ne manque pas d’action et de rebondissements. Les auteurs savent se servir de la continuité (notamment la relation entre Sharon Ventura et Fatalis) et préparent efficacement leurs prochaines intrigues (Franklin ne maîtrise plus ses pouvoirs, ce qui provoque la retour du père de Reed). Bref, un bon épisode au rythme soutenu, dans un run qui a ses forces et ses faiblesses…
Ah, les nineties …
Et à ce propos, les années 90 ont aussi été marquées par l’explosion des couvertures « gimmick », multipliant les effets, comme le montre celle de F.F. 375 (et ça sera aussi le cas pour le #400, dont je causerai dans mon prochain petit billet) :
La réunion du duo Byrne/Austin sur quelques couvertures des FF :
FANTASTIC FOUR #400 :
Le 400ème numéro des 4 Fantastiques représente le point culminant des nombreux mois d’intrigues concoctées par Tom De Falco et Paul Ryan : les héros sont pris dans le conflit opposant les Gardiens aux Célestes (pour une raison évoquée au cours de l’épisode) tandis que Aron, le Gardien renégat, tente de détruire l’univers pour en recréer un nouveau qu’il pourra remodeler à sa guise (une marotte du personnage depuis sa première apparition dans les oubliables derniers chapitres du run de Steve Englehart).
Sans Mister Fantastic (alors présumé mort), les Fantastiques (qui ont depuis accueilli Scott Lang, l’Homme Fourmi, et Kristoff, l’héritier de Fatalis, dans leurs rangs) sont rejoints par la Fantastic Force du Franklin Richards adolescent (hummm…je zappe ce passage, trop long à expliquer) dans ce combat aux proportions cosmiques.
Si Tom de Falco se recycle un peu (l’apparition du gigantesque céleste Exitar l’exterminateur m’a fait penser à une scène identique de ses Thor avec Ron Frenz), cette aventure a tous les ingrédients d’un numéro anniversaire réussi : un enjeu important, des visuels spectaculaires, de l’action quasi non-stop et une astuce classique qui permet de faire intervenir de nombreux alliés et ennemis de l’histoire de la Première Famille.
Dans l’histoire de complément, toujours par De Falco et Ryan, les héros Marvel se réunissent pour honorer la mémoire de Reed. Sue, Johnny et Ben s’isolent alors un peu pour se remémorer le fameux jour où ils sont devenus les F.F. (moment historique maintes fois revisité). Mais bien entendu, la nouvelle de la mort de Reed a été très exagérée puisque le leader des F.F. a fait son retour dans le #407, quelques mois avant la fin du volume 1 du World’s Greatest Comic Magazine !
Comme pour le #375 (post #1598), F.F. #400 a eu droit à sa couverture « à effet », artifice inutile très en vogue dans les années 90 :