La primera mitad del número 11 de Fantastic Four se dedica a responder el correo de los lectores en formato cómic. Luego se enfrentan al Hombre Imposible, que era mi personaje favorito de pequeño, puesto que daba risa.
Fantastic Four número 12, primer crossover con el Increíble Hulk. Como ya tenía el verde y el lila mezclados para el Hombre Imposible le he dado trámite al Dr. Banner también!
En Fantastic Four número 13 el Fantasma Rojo (va de verde pero es comunista) y sus tres monos amaestrados se exponen a los rayos cósmicos en su camino a una ciudad perdida en la luna, eso es un buen pitch!
Llegamos al número 15 de Fantastic Four. El pensador loco (un villano que siempre que puede adopta pose de estatua de Rodin) crea un androide a partir de las notas de Reed Richards.
Número 17 de FF. Tras huir del micromundo, el Doctor Doom secuestra a Alice Masters, la novia de Ben Grimm y se la lleva a un zeppelin tras una nube. Antes de eso les manda a unos seres flotantes cuya unica función es « avergonzarlos y confundirlos ».
En el mismo anual conoceremos a Krang, que compite con Namor por la corona de Atlantis y el amor de Lady Dorna! Al final Namor se las apaña oara que todo su pueblo le coja manía.
En el número 19 de los FF se enfrentan al Hombre Molécula. En un momento dado la antorcha humana pregunta « Qué son exactamente las moléculas? ». Leyendo el tebeo queda claro que Stan Lee tampoco lo sabía.
En el número 20 los FF se enfrentan al Hatemonger (bien) y luego se van a ayudar a la CIA a interferir en la política de un país centroamericano (ya no tan bien). Nunca te creerás quién era en realidad al Hatemonger, por cierto!
(Me había descontado) En el número 23 de FF uno de los secuaces del Dr. Doom es el Yogi Dakor. Creo que no tuvo más recorrido en el universo Marvel, pero tenía estilo.
El número 26 de FF cierra la historia de Hulk y en ella aparecen sus antiguos compañeros de equipo, los Vengadores. Siempre me gustó el traje de Giant Man.
Estos dias he seguido leyendo los Cuatro Fantásticos y haciendo dibujos, pero no me apetecía nada estar en redes… En el número 27, el Dr. Extraño se enfrenta junto al cuarteto a Namor.
En el número 29 de FF regresa el Fantasma Rojo y sus tres monos listos. Por suerte The Watcher interviene lo justo (siempre acaba haciéndolo) para que ganen los buenos.
En el número 30 de los FF se enfrentan al misterioso Diablo, un hechicero rumano que se gana a Ben Grimm a base de pócimas. Qué facilidad tiene Ben Grimm para traicionar al grupo.
En FF annual #2 vemos por primera vez Latveria, el país centroeuropeo en el que reina el Doctor Doom. En Marvel se daba por sentado que en Europa todavía duraba el siglo XIX.
En FF#35 el multibillonario Gregory Hungerford Gideon intentará destruir al cuarteto a base de dinero. Ay, Gregory Hungerford Gideon, cuando te darás cuenta de que tu hijo importa más que el dinero?
En FF #37 viajan al espacio para vebgar la muerte del padre de los Storm a manos de los Skrull. Morrat es un ambicioso general, lleno de odio, prometido con la hija del Rey de los Skrulls.
En FF#39 (me he despistado y me he saltado el 38, mañana lo hago), los Cuatro Fantásticos pierden sus poderes pero oara que nadie se dé cuenta los reproducen con la CIENCIA. La antorcha humana, por ejemplo, se calza este traje flamígero.
En FF#40 los Cuatro Fantásticos tienen que recuperar su precuado edificio Baxter de las garras del Doctor Doom, pero siguen sin poderes! Por suerte les ayuda su abogado ciego.
Après la parenthèse Heroes Reborn et une année passée dans le « Franklinverse » , les 4 Fantastiques et les Avengers ont fait leur retour dans l’univers Marvel à la fin de l’année 1997. Pour le lancement (très réussi) de Heroes Return , Mark Waid et Ron Garney ont récupéré Captain America et Kurt Busiek est devenu le scénariste des Avengers et de Iron Man , avec respectivement George Perez et Sean Chen aux dessins. Par contre, le volume 3 des F.F. a mis quelques mois à trouver une équipe créative régulière.
Le dessinateur initialement prévu pour les Fantastiques devait être Adam Kubert, mais ce dernier, qui illustrait à la même période le Incredible Hulk de Peter David, s’est retiré du projet au dernier moment (il est resté sur la série du Titan Vert jusqu’à l’été 1998 avant de passer sur les X-Men). Alan Davis a donc été appelé à la rescousse et l’auteur britannique a accepté de dessiner les trois premiers épisodes car c’est tout ce que son emploi du temps lui permettait. En effet, il travaillait au même moment sur un titre qui lui tenait à coeur, la mini-série JLA : The Nail pour DC.
Et c’est bien dommage car Alan Davis a livré (comme souvent) avec ces trois épisodes des planches superbes, d’une grande élégance et avec un feeling « classique » qui ne manque pas de charme. Il n’y a qu’à voir la scène qui réintroduit la dynamique familiale : Ben teste un nouvel engin crée par Reed (avec un design tellement Kirbyesque ), une expérience qui va être en partie gâchée par les interventions de Johnny. Les chamailleries, les remontrances de Sue, un Reed tellement pris par ses résultats qu’il ne se rend compte de rien…c’est léger et ça donne le sourire.
La caractérisation de l’équipe fait partie des meilleurs éléments des #1 à 3. Les menaces imaginées par Scott Lobdell sont par contre un peu plus oubliables (des créatures anciennes qui transforment Paris, l’attaque d’une forme de vie venue d’une autre dimension, le retour du Fantôme Rouge et ses Super-Singes), ce qui n’empêche pas ces aventures d’être bien ficelées, très divertissantes et tellement agréables à (re)lire (et je le répète, avec Alan Davis et Mark Farmer à la partie graphique c’est un régal pour les mirettes).
Au début du #1, Scott Lobdell s’est amusé à glisser une pique à la période Heroes Reborn . Reed et Johnny bricolent le Fantasticar et Mr Fantastic de dire : « peu importe les apparences. J’aurais cru que ces derniers mois t’auraient appris qu’il est parfois inutile d’améliorer le concept original » . La V.O. est encore plus croustillante ( « Image isn’t everything, Johnny » )…surtout quand on se rappelle que Lobdell a co-écrit le Iron Man version Heroes Reborn avec Jim Lee.
Scott Lobdell et Alan Davis ont donc quitté rapidement la nouvelle série des 4 Fantastiques . Alan Davis a plus tard révélé que c’était parce qu’il travaillait au même moment sur sa mini-série JLA : The Nail et que ses délais ne lui permettaient pas de faire plus. Par contre, j’ai un peu fouillé sur la toile et je ne sais pas pourquoi Scott Lobdell l’a rapidement suivi. Peut-être que Marvel n’était pas satisfait et réclamait une autre approche…ou alors le scénariste avait envie de voir ailleurs. Lobdell est donc crédité au #4 et 5 pour l’histoire (afin de terminer deux intrigues en cours) et c’est Chris Claremont qui a été choisi comme nouveau scénariste à partir du #4.
Chris Claremont avait quitté Marvel au début des années 90 et pour son retour, il était convenu qu’il s’occupe à nouveau des X-Men . Mais le temps de régler quelques problèmes juridiques et les titres X avaient déjà été confiés à Joe Kelly et Steve Seagle. Claremont a donc hérité des F.F. et il n’a pas hésité à ramener des protagonistes de l’univers mutant (les Technets et les Lycaons) dès ses premiers épisodes en solo.
Juste avant cela, le scénariste s’est bien plié à l’exercice du passage de relais entre deux prestations. Fantastic Four vol.3 #4 est un bon épisode double qui introduit efficacement son mystère (avec le retour sur Terre du Silver Surfer et d’Alicia Masters) et fait bien monter les enjeux (c’est là qu’intervient le subplot avec l’Homme-Taupe préparé dans le #3) jusqu’à un final spectaculaire qui fait revenir le gigantesque extraterrestre Terminus. Et graphiquement, je préfère le style de Salvador Larroca de la fin des années 90/début 2000 à l’approche « photoréaliste » qu’il a choisie depuis plusieurs années.
Chris Claremont est resté jusqu’au #32 (ce qui fait en tout 32 numéros en comptant les annuals ). J’avoue que je ne suis pas un grand fan de cette prestation, même si elle n’est pas mauvaise car il y a des éléments et des personnages secondaires intéressants…mais aussi un peu trop de concepts importés des X-Books (et il aurait pu y en avoir plus car Kitty Pryde a failli rejoindre le titre). Il manque juste ce petit quelque chose qui m’a empêché d’être enthousiasmé par un ensemble que je n’ai jamais relu depuis…
C’est après X-Treme X-Men qu’il a commencé à être décevant (je dis ça de tête, car je me demande si la déviation n’a pas commencé sur Ultimate Elektra)
Ultimate Elektra, c’était justement après X-Treme X-Men et je pense aussi que c’est à partir de cette période que son trait a commencé à évoluer. Mais même là, je trouve que ça allait encore. Si je me trompe pas, c’est à partir de 2008 et de son long run sur Iron Man qu’il a commencé à coller des visages d’acteurs sur les personnages et adopté le style artificiel qu’on lui connaît maintenant. Bon, entre les deux il a fait aussi plusieurs passages sur les X-Men, dont ceux de Chuck Austen et Peter Milligan, mais je dois avouer que ces runs ne me sont pas restés en mémoire…^^
Pour moi aussi (et encore, à l’époque, Iron Man était joli à côté de ses SW)
Je les ai en mémoire. De tête, je pensais que la colo était en partie en cause. Un côté pastel qui ne me plaisait pas trop. Faut croire que c’était surtout le début du moins bien.
Comme je l’ai souligné dans mon petit billet sur Fantastic Four vol.3 #4 (voir post #1647), Chris Claremont n’a jamais hésité à puiser dans tout ce qu’il a apporté à l’univers mutant pour nourrir sa prestation sur les 4 Fantastiques. Et cela se vérifie notamment avec l’ annual 1999 : pour sauver l’âme de leur amie Alyssa Moy (l’un des nouveaux personnages créés par Claremont), les F.F. vont devoir affronter Séléné, la Reine Noire du Club des Damnés, et son prince consort Blackheart, le fils de Mephisto (vieille connaissance des héros). Pour les aider, les F.F. vont pouvoir compter sur l’équipe des Shadowhunters, dont fait partie la sorcière Margali Szardos.
Si les F.F. ont déjà eu affaire à plusieurs reprises à des menaces surnaturelles, la magie n’est pas leur point fort, ce que fait justement remarquer la Torche Humaine. C’est toujours intéressant de les voir sortir un peu de leur « zone de confort » et cette aventure est plutôt bien menée malgré des dialogues parfois un peu empesés. L’ annual se distingue aussi par sa partie graphique confiée au mexicain José Ladrönn qui déploie ses références avec beaucoup de dynamisme.
C’était aussi la période où les 4 Fantastiques ont eu leur « Marvel Girl » …une touche ado apportée par ce personnage venu d’une autre réalité, version alternative du second enfant qu’ont perdu Mr Fantastic Four et l’Invisible dans un mémorable épisode signé John Byrne. Dans sa dimension d’origine, Valeria a été élevée par une Sue qui a épousé un héroïque Docteur Fatalis après la mort de son premier mari. Mais était-ce bien la vérité ? Ceci est une autre histoire…
Bien sûr. Il y a des épisodes qui sont ancrés dans ma mémoire (les Byrne par exemple) mais aussi des runs que j’ai un peu oubliés. Même pour les trucs un peu moins bons, c’est du plaisir de se replonger dans l’histoire des personnages (alors que j’ai abandonné la plupart des séries récentes)…
Chris Claremont a quitté la série des 4 Fantastiques au #32. Après un court intérim de John Francis Moore, Carlos Pacheco est devenu le nouveau scénariste et dessinateur du titre à partir du #35. Pacheco s’est entouré de Rafael Marin pour développer les histoires et du fidèle Jesus Merino à l’encrage (visuellement, c’était donc du tout bon). Après trois épisodes, Jeph Loeb a rejoint l’équipe en tant que dialoguiste, un poste qui est ensuite revenu à Karl Kesel pour le dernier arc narratif de Pacheco & Marin.
Bon, j’ajoute que je n’ai pas relu cette prestation depuis sa publication dans la revue Marvel Elite , donc je n’en dirais pas plus…et puis après celui de Claremont, c’est encore un run que je n’avais pas détesté suivre à l’époque (surtout grâce aux dessins) mais qui ne m’avait pas emballé plus que cela. Mais il est tout de même important pour la résolution du mystère entourant la Valeria adolescente.
C’est dans F.F. #49 que l’on découvre que le jeune Franklin avait utilisé ses pouvoirs surpuissants pour sauver sa petite soeur alors dans le ventre de sa mère et l’envoyer dans une autre réalité où Roma a veillé sur elle. Marvel Girl était donc bien la fille de Reed et de Sue. À la fin de l’épisode et du combat contre l’entité Abraxas, Mr Fantastic utilise l’annihilateur ultime pour réinitialiser en quelque sorte la réalité (je résume grossièrement). La Valeria ado n’est plus là…et Sue est enceinte de plusieurs mois.
L’épisode 50 a été publié à l’occasion de l’initiative nuff said , un mois pendant lequel la plupart des comics Marvel ont raconté une histoire muette, avec des résultats plus ou moins efficaces. S’il est joliment dessiné par Tom Grummett, le nuff said des F.F. est aussi moyen qu’anecdotique, Pacheco et Marin livrant une copie confuse.
Les deux auteurs ont donc terminé leur run par une saga en quatre parties dessinée par Mark Bagley se concluant par un heureux événement : la naissance de Valeria Richards dans le #54. Un prénom choisi par nul autre que Fatalis, appelé à l’aide pour faciliter l’arrivée au monde de la fille de ses meilleurs ennemis.
