1961-2021 : BON ANNIVERSAIRE LES 4 FANTASTIQUES !

Après lecture du scarce, je voulais me relire certains batman de king et je me retrouve à relire les detective comics de t4. Je realise d ailleurs que je n avais jamais vraiment lu les premiers episodes, qui sont très bons.

Que je puisse ne pas lire l entièreté d un magazine, voilà qui aurait glacé d effroi mon moi plus jeune !

Bon, c’est tout pour aujourd’hui, petite pause avant mes prochaines relectures… :sweat_smile:
Pour ce vol.3, Karl Kesel a ensuite écrit deux épisodes, dont l’excellent #56 (post 867) et Adam Warren a écrit un triptyque toujours inédit en V.F.
Ensuite, c’est le run de Mark Waid et Mike Wieringo…et celui-là j’ai bien envie de le relire en entier…
À suivre !

Et bien détaillé avec plein de spoile !

Sourire

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Effectivement, la bascule photo-réaliste semble plutôt s’opérer avec le Newuniversal d’Ellis puis les titres suivants pré-Iron Man (son Tony Stark n’est pas le seul sosie de Josh Holloway).

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De plus j’ai cru comprendre que Joe MAD devait l’accompagner sur le titre après le départ de Davis.

Autant je suis d’accord sur sa première année, autant il s’affranchit par la suite de ses X-tocs et arrive à proposer une saga intéressante.

J ai un vague souvenir d un.passage à genosha qui m avait plu.

Et que c’était laid.

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J etais séduit par cette mini, oups !

Plus pour le scénar cela dit, mais le dessin n etait pas rédhibitoire. Les debuts d iron.man passe aussi. Arrivée à star wars, ce n est plus possible.

Une illustration pour chaque numéro du run de Lee/Kirby par Albert Monteys (5/10) :

Wizard :

En FF#41 la portada anuncia « The most daringly dramatic development in the field of contemporary literature » y, hombre, que La Cosa abandone los Cuatro Fantásticos pasaba bastante.

Sandman :

FF#43 sigue la historia de La Cosa uniéndose a los Frightful Four,. Siempre me gustó the Sandman!

Trapster/Past-Pot Pete :

Y en FF#43 la cosa entra en razón, dentro de lo que cabe. Ahí va el cuarto miembro de los Frightful Four, que antes se llamaba Paste Pot Pete pero tuvo el buen tino de cambiarse el nombre a The Trapster.

Beast :

En el Anual #3 de FF Mr. Fantástico y la Mujer Invisible se casan por fin, pero he preferido dibujar a la Bestia, que también sale porque invitaron a la Patrulla X.

Gorgon (début de l’ère Sinnott) :

En FF #44 aparece Gorgon y se empieza a hablar de los Inhumanos. A partir de aquí la colección despegó hacia las estrellas!

Lockjaw :

En FF#45 Johnny Storm envuentra a Cristal pero también a Lockjaw!

Black Bolt :

Y en el número 46 de FF se presenta a Rayo Negro

Triton :

Sigo leyendo los Cuatro Fantásticos. Número 47, el misterio de los Inhumanos se resuelve!

Silver Surfer :

Y en el número 48 de Fantastic Four empieza el arco más mitiquérrimo de la historia de los cómics. La llegada de Galactus!

Punisher (Frank Castle n’a pas le monopole de ce nom) :

En el número 49 de Fantastic Four, Galactus les suelta a un tipo que se llama Punisher, pero que no es el Punisher, que al Punisher lo he visto yo.

Galactus :

Y para el número 50 de los Fantastic Four he hecho un dibujo cuatro veces más grande, para que em entrara todo lo que es Galactus.

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LES QUATRE FANTASTIQUES (2005) :

Une illustration pour chaque numéro du run de Lee/Kirby par Albert Monteys (6/10) :

Reed Richards :

El número 51 de Fantastic Four lleva un título bellísimo: « This Man… This Monster! ». Un envidioso científico toma la forma de La Cosa mientras Reed Richards se adentra en la Zona Negativa.

Black Panther :

En el número 52 de Fantastic Four un monarca africano invita al cuarteto a su tecnoreino (Wakanda) y allí se pelean con Pantera Negra, pero de bromi.

Klaw :

Fantastic Four #53, descubrimos el origen de Pantera Negra, y todos juntos se enfrentan a Klaw, antes de que se convierta en un ser hecho de sonido!

Prester John :

En Fantastic Four 54, Johnny Storm y su amigo Wyat Wingfoot salen a la búsqueda de la ciudad de los inhumanos. Por el camino despiertan al caballero medieval Prester John que custodiaba el Ojo Maligno!

Wyatt Wingfoot :

En el número 55 de Fantastic Four la Cosa y Silver Surfer tienen una trifulca por unos malentendidos con Alivia Masters. Como ya los he dibujado a los tres, hoy pongo a Wyatt Wingfoot, el amigo de la Antorcha, que también sale.

Klaw 2.0 :

Y en el número 56 de Fantastic Four vuelve Klaw, convertido en puro sonido tras caer en su propia máquina!

Mad Thinker :

Llegamos al cuarto anual de Fantastic Four, en el que se enfrentan a la Antorcha Humana de la Golden Age, despertada de su letargo por el Pensador Loco. Al parecer, fue una maniobra de Marvel para mantener la propiedad del personaje…

Karnak :

En el número 57 de Fantastic Four empieza la saga en la que el Doctor Muerte se hace con los poderes cósmicos de Silver Surfer. Como ya los he dibujado a ambos, hago un Karnak de los Inhumanos, que sale sólo en tres viñetas.

Cosmic Dr. Doom :

En el número 58 de los Fantastic Four Doom campa a sus anchas con el poder cósmico de Silver Surfer (y su tabla, también) y el Mister Fantástico se da por vencido, ¿qué te pasa Reed Richards?

Maximus :

En el número 59 de Fantastic Four el Dodtor Doom sigue aterrorizando al planeta sobre su tabla de surf mientras los Inhumanos son liberados por Rayo Negro. Máximus el loco, hermano de Rayo Negro se olvida de sus planes para tomar el trono.

Johnny Storm :

En Fantastic Four #60 termina la saga del Doctor Doom Cósmico. Johnny Storm es el primero en atacarle, aunque al final le vencen gracias a un legalismo, ¡todo vale!

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Fantastic Four #60 (2002)

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Mark Waid s’est fait rare chez Marvel en 2000-2001 (suite à la fin de ses runs sur Ka-Zar puis Captain America) et pour cause puisqu’il était alors bien occupé ailleurs ; Flash, JLA & Silver Age chez DC, Crux, Ruse & Sigil chez CrossGen ou encore le début chez Image de son creator-owned Empire au sein de l’éphémère imprint « Gorilla » (Shockrockets, Section Zero).

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Le scénariste avait déjà eu l’occasion d’être brièvement associé aux X-Men et aux Vengeurs lors d’Onslaught & d’Avengers #400 (dessiné par son compère/pote, feu Mike Wieringo) mais il manquait encore à son CV la première des trois grandes équipes de la Terre de l’univers-616 (les FF). Il s’agit-là d’un titre qu’il ne brûlait pas d’impatience d’écrire car auparavant (avant d’en devenir le scénariste) il n’en était pas un grand fan de son propre aveu (le timing n’était sans doute pas idéal: un jeune fils de divorcés découvrant le titre au moment de la séparation de Reed et Sue, alors forcément…).

L’editor Tom Brevoort (fan/spécialiste des FF) a néanmoins su le convaincre en lui assurant qu’il serait bien entouré au sein de l’équipe créative et cela a effectivement été le cas avec l’ajout de deux autres grands fans des FF à savoir Mike Wieringo (Sensational Spider-Man, Tellos) et Karl Kesel (apportant son expertise à la fois en tant qu’encreur et scénariste). Il convient aussi de ne pas omettre le coloriste Paul « Immortal Hulk » Mounts (celui-ci a oeuvré sur la série pendant un certain temps au fil de multiples runs, jusqu’à celui de Fraction).

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Avec ce premier numéro « jumping point » à prix réduit (ça n’a pas empêché Bill Jemas d’être déçu par les chiffres de ventes) le duo débute sur les chapeaux de roues avec une entame très prometteuse en redonnant au titre une bouffée d’air frais vraiment nécessaire. Le questionnement sur le rôle du quatuor et leur pertinence est au centre du récit (ainsi que la nécessité de prendre soin de leur image de marque afin de ne pas être perçu comme « has-been » aux yeux du public/lectorat) et c’est sur cette optique résolument méta que s’ouvre l’histoire.

Fantastic Four (vol. 3 #60) - Why be celebrities 1 of 2

Reed Richards a en effet requis les services d’une firme de publicitaires pour redorer le blazon d’un quatuor à la popularité déclinante (peu à peu supplanté dans ce domaine, d’abord par le Spider-Man post-Ditko, puis les X-Men de Claremont ou encore les New Avengers de Bendis).

Pour se faire un certain Mr. Shertzer passe une semaine au Baxter Building (Waid & Shertzer sont tous deux des rouquins à lunettes, d’ailleurs ce personnage « klenex » n’apparaît plus jamais par la suite car limité à sa fonction première d’avatar fictionnel du scénariste) avec pour mission de les côtoyer dans leur quotidien et ainsi de mettre leur doigt sur leur spécificité, ce qui distingue ces « imaginautes » des autres (des justiciers urbains pour la plupart). Les membres de la first family ont chacun l’occasion de briller (Ben prend goût au rap malgré lui, Johnny se remet d’une rupture avec une célébrité tandis que sa soeur le pousse à mûrir) mais c’est surtout Mr. Fantastic qui a droit à la plus belle scène avec une Valeria mignonne comme tout (pas encore dans sa phase « miss je-sais-tout »).

Pas une fausse note à déplorer dans ce numéro exemplaire, jonglant adroitement entre l’humour, les dialogues, la caractérisation, la dynamique familiale, le registre ou encore les motivations des personnages. Si Waid est en forme son comparse l’est au moins tout autant, son style cartoony très dynamique et expressif étant vraiment bien adapté à la tonalité de ce titre en particulier et aux super-héros positifs & souriants en général (Flash, Superman, Spidey & Cie).Tous les éléments sont donc réunis pour faire de cette relance une réussite totale (soit le début du meilleur run depuis Simonson).

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c’est dingue comme cette scène de Reed, sera à l’encontre de tout ce que deviendra le personnage après le départ de Waid.

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Période illuminati (de Civil War jusqu’à Secret Wars) ?

Olala cette queue de poisson au doc !!!

Tant que c’est complémentaire et pas redondant ça va. :wink:
De toute façon c’est fort probable que je me limite à ce seul numéro (d’autres relectures sont sur le feu, plus urgentes que ce run que j’ai déjà relu il y a quelques mois de cela). J’avais procédé de la même façon pour le run de Byrne (se concentrer uniquement sur le tout premier numéro du run là où le Doc chronique l’intégralité du cycle ou presque).

The Fantastic Fall.

Reed barbu !

Pas sans hickman.

Et ça, ça compte beaucoup.

Sourire

Clap clap clap.

Jim