Bref l équivalent comics d un auteur de film femis
La différence pour moi c est que ducourneau ou ossang maîtrise mieux leur média que hickmann
Sourire.
J attends tout de même un film sf de la femis pour me prononcer.
bien sûr selon l’idée que tu te fait de ces médias.
Non
La seule fois où hickmann arrive à leur niveau imparfait c est avec black monday murders, ou malgré les défauts y a une impression de maîtrise d un aspect formel.
Jusque là de ce que j ai lu (marvel+news+le 1er manhattan+murders) il n y a que sur murders ou ce qui est bien est plus que des promesses…
A chaque fois hickmann lance des pistes qui peuvent être intéressantes formellement ou sur le fond mais c est toujours sans suite.
Il veut être moore mais il est claremont sauf que ce dernier n abandonnait que des subplots pas les plots et pas la forme
Et le genre ne change rien(ossang en fait un peu de memoire) puisque ça n est qu artifice inabouti
Il serait d accord avec toi puisqu’il dit que c est là dessus qu il s est senti pour la première fois à l aise.
J aime souvent les oeuvres de jeunesses, elles ont un dynamisme qu une meilleure maitrise scénaristique parfois attenue.
Je suis d accord en général mais pas avec nightly news
JG JONES remake :
The opening page of Fantastic Four #94, one of my favorite FF issues, recreated in watercolor for a St. Judes charity auction. Watch this space, true believers, more info to come. Excelsior !
John Romita Jr :
Ernie Chan :
She-Hulk par Adam Hughes :
Extrait d’un numéro « Swimsuit » :
Avec Wasp :
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Y a un côté Casotto par moment
Ah j’y avais jamais pensé, mais ouais, y a la même logique graphique…
Jim
Ce sont celles-ci qui m’ont fait tilt.
J’ai la statuette chez moi 
L’avantage des super-pouvoirs chez les couples par Ty Templeton :
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FANTASTIC FOUR vol.3 #62 à 64 :
Arc narratif en trois parties, Sentient ( Fantastic Four vol.3 #62 à 64 ) commence par une suite de scènes de la vie de tous les jours pour les 4 Fantastiques …sauf que la première famille ne fait bien entendu jamais les choses comme tout le monde, ainsi que le montrent le joli duo entre Reed et Sue dans les premières pages et la virée de Ben et des gamins (avec un tel oncle, les promenades de l’après-midi sont toujours exceptionnelles). Ce sont des moments qui donnent le sourire et apportent beaucoup de chaleur aux relations entre les personnages.
Placé par sa soeur au département des opérations financières dans le but de lui donner plus de responsabilités, Johnny s’amuse beaucoup moins. Le scénariste en profite pour placer des éléments qui seront importants pour l’aventure suivante. Le récit tourne dans un premier temps autour de ces interactions bien écrites et bien caractérisées et introduit progressivement la menace, une « équation vivante » cherchant à entretenir un lien avec Reed.
Grâce au style détaillé et dynamique de Mike Wieringo (qu’est-ce qu’il nous manque, celui-là !), l’action est énergique et bien menée. Le rythme est soutenu sur l’ensemble des trois numéros, avec de bonnes idées visuelles quant à l’utilisation des capacités de la créature, et un excellent travail sur le développement des différents acteurs de l’histoire se terminant par un très beau moment entre Reed et son fils Franklin.
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FANTASTIC FOUR vol.3 #65 et 66 :
Pendant sa prestation sur les 4 Fantastiques avec le scénariste Mark Waid, Mike Wieringo a eu besoin de quatre « remplaçants » , histoire de tenir les délais entre deux salves d’épisodes…le meilleur d’entre eux étant le premier, Mark Buckingham. Le dessinateur de Fables est parfaitement à l’aise sur le court arc en deux parties intitulé Small stuff…big stuff ( Fantastic Four vol.3 #65 et 66 ), notamment grâce à ses designs de créatures et son don pour dessiner des visages tellement expressifs et irrésistibles.
Dans ces deux épisodes, l’équipe est scindée en deux. D’un côté, il y a Reed et Ben qui doivent régler un problème d’infestation dans leur immeuble…et quand les F.F. doivent se « débarrasser » d’un cafard, la bébête est de taille respectable et vient d’une autre dimension. La dynamique entre les deux vieux amis est jubilatoire et la traque de l’insecte alien ne manque pas de moments et de gags très amusants.
Pendant ce temps, Johnny montre qu’il n’est pas aussi stupide que le pensaient certains de ses collègues au département financier de Fantastic Four Inc …même si son plan risque tout de même de dégénérer et c’est pour cela qu’il a bien besoin de d’aide de sa soeur dans une démonstration de (champs de) force spectaculaire.
Avant le retour de Fatalis et un tournant un peu plus sombre, Mark Waid signait là un très bon divertissement, du pur fun de la première à la dernière page !
Rolalalala que de bons souvenirs.
Brad Walker
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Chris Giarrusso :
