Frank Miller (qui fête ses 65 ans aujourd’hui) :
Black Cat par Chris Samnee :
Pub !
Jeff Slemons :
C’est marrant, parce que dans la version en gris, publiée, ça se voit pas encore trop, mais dans la version au trait, on voit bien que dès 1981, Miller avant déjà mis en place son système d’encrage très fin pour les décors, que l’on redécouvrira plus tard, dans Elektra Lives Again ou dans Sin City.
Jim
Devant cette case (surtout la silhouette de Mariko), j’ai l’impression de voir du Sin City avant l’heure.
She’s Gone (by Frank Miller & Josef Rubinstein from Wolverine Vol.1 #4, 1982)
Madame Web, on la connaît, cette vieille voyante au centre d’une toile d’informations et de prédictions, apparue dans les épisodes de Denny O’Neil et John Romita Jr en 1980.
Mais elle est précédée par une super-vilaine homonyme, qui se fait remarquer dans des publicités parues trois ans plus tôt, sous les crayons de Ross Andru.
Elle a pour particularité d’être amoureuse du héros, qui décidément sait attirer les élans des méchantes, puisqu’il fréquente à la fin des années 1970 Black Cat, méchante également énamourée.
Jim
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STRANGE SPECIAL ORIGINES #280 :
Avec quelques mois de retard, Semic a fêté le 30ème anniversaire de la création des 4 Fantastiques, de Hulk et de Spider-Man dans trois numéros consécutifs de Strange Spécial Origines fin 1992/début 1993. Pour notre fidèle serviteur l’Araignée, les festivités ont eu lieu dans le #280 d’avril 1993. Pour composer le sommaire, l’éditeur a pioché dans les numéros « spécial anniversaire » publiés par Marvel en 1992 : Spectacular Spider-Man #189, Web of Spider-Man #90, Amazing Spider-Man #365 et Spider-Man #26 (avec des couvertures moches « à effets » typiques des années 90).
Le Sens des Responsabilités est l’épisode le plus long, une histoire scénarisée par Tom DeFalco et dessinée par Ron Frenz et Mark Bagley (avec un encrage collectif qui rend la partie graphique inégale malgré les talents impliqués). Si l’intrigue est classique (Spidey doit arrêter deux voleurs inconscients qui se servent d’une machine dérobée à Sunset Bain pour commettre des méfaits), elle illustre bien le thème principal qui sert de moteur aux actes de Peter Parker depuis ses débuts. Un sens des responsabilités que partage un jeune homme à l’apparence volontairement familière qui ramène Spidey à ce jour fatidique qui a bouleversé sa vie à jamais…
Il y a ensuite un article signé Peter Sanderson, historien Marvel qui analysait les trois premières décennies de la carrière de Spider-Man. Le reste du sommaire est composé de ces petites vignettes que l’on retrouvait régulièrement dans les annuals et les numéros spéciaux en ce temps-là : un rappel des pouvoirs du héros (en 8 pages), une liste des 10 moments les plus gênants (3 pages), Jameson révèle « comment il a créé l’Araignée » (en 10 pages…avec un amusant parallèle entre le monologue de J.J.J. et ce qui est vraiment arrivé), le souvenir de Gwen Stacy (émouvant et très élégamment dessiné par John Romita Sr) et les origines de Venom, du Bouffon Vert et du Super-Bouffon en segments de 3 pages.
Bref, une lecture variée (sans oublier les fameuses fiches de l’ Encyclopédie Marvel de A à Z ) qui rappelle pourquoi Strange Spécial Origines était un rendez-vous très apprécié dans les années 80 et 90.
C’est vrai ça : un magazine à la saveur unique.
Romita Jr
Rigolo! C’est une image qui vient de la période d’Onslaught ça non?
J’ai pensé à la même chose, on dirait la couv’ d’un « Impact »…
Et le costard ne peut mentir.
Musique !
Hell in the Club - I wanna swing like Peter Parker
Sandy Plunkett :
Clayton Henry :
Super-Team Family : Hoppy le Lapin Marvel et Spider-Cochon
