
One of Spider-Man's Oldest Regrets Led To A Doomed Supervillain
Peter Parker's inability to stop a group of bullies set a fellow student down a dark path of crime.
Jeff Slemons :
Le nez qui saigne, en noir & blanc, c’est pas toujours une bonne idée. Ça fait plus coulée de morve qu’autre chose.
Jim
Covid.
Covid le Chasseur !
Jim
Il faut traiter le saignement en noir*. Bon, là, avec la moustache, c’est une contrainte. Mais c’est effectivement l’idée qui ne fonctionne pas.
*j’adorais le style de Jim Lee sur les saignements: nerveux, fin, j’étais vraiment fan !
ça devient compliqué, donc autant laisser tomber.
Jim
Rick Leonardi :
Oui, surtout que finalement, cette illustration pourrait s’en passer (c’est un détail superflu qui ne fait qu’accentuer la maladresse)
Darwyn Cooke :
J’ai la solution : la moustache en blanc (avec des ptits traits grisâtres) et le sang en noir ! Non ? J’ai pas bon ?
Pas qu à Jim.
Tu en veux chez Batou ?
Peter Parker's inability to stop a group of bullies set a fellow student down a dark path of crime.
Pas que nemo
SPIDER-MAN - BLEU :
Parmi l’inégale production du scénariste Jeph Loeb, je garde une préférence pour ses mini-séries au feeling très nostalgique, aussi bien chez Marvel que chez la Distinguée Concurrence. Avec son compère Tim Sale aux dessins, Loeb s’est souvent montré inspiré dans l’exploration des premières années des super-héros des deux maisons d’édition (j’aime énormément Superman For All Seasons par exemple). Pour Marvel , cette partie de son travail s’est exprimée dans une suite de mini-séries au thème chromatique (je rappelle que je n’ai toujours pas lu la dernière, Captain America : White , qui a souffert de nombreux délais dans sa publication).
Entre Daredevil : Jaune et Hulk : Gris , il y a donc eu Spider-Man : Bleu . Bleu pour l’une des couleurs du costume de l’Homme Araignée mais surtout pour cet état d’esprit qui s’empare de Peter Parker quand il se rappelle de la mort de Gwen Stacy…le blues , une certaine nostalgie qui le ramène à ses premières années de fac, à cette période pendant laquelle Harry Osborn, Mary-Jane Watson et Gwen sont entrés dans sa vie.
L’histoire débute à la fin de la prestation de Steve Ditko et couvre les premiers numéros dessinés par John Romita Sr (à partir de Amazing Spider-Man #39 ) en reprenant, avec quelques légers changements, l’intrigue avec Kraven le Chasseur, ce qui permet de faire intervenir plusieurs ennemis. Mais si l’action est bien ficélée, ce sont les moments intimes, les relations qui unissent les acteurs du petit monde de Peter Parker qui font pour moi l’intérêt de ce titre.
Jeph Loeb & Tim Sale ont parfaitement saisi l’atmosphère de cette époque et certaines scènes sont assez savoureuses rétrospectivement parlant (comme le fait que MJ savait déjà la vérité sur la double identité de Peter, ce qui ajoute une dimension supplémentaire aux scènes tournant autour du sujet des absences du jeune homme). La caractérisation est juste et les sentiments exprimés par la voix-off sont touchants. Et graphiquement, je suis reste fan du coup de crayon de Tim Sale, aussi bien dans les combats que dans le soin apporté aux ambiances (notamment dans les scènes nocturnes) et aux détails des décors (les pleines pages décrivant la maison de Tante May sont très belles).