

Jim
Curieux de voir de quel côté tombera la pièce pour toi.
Un mix entre old school et morrison.
J ai préféré, je crois, ses ultimates malgré les gros défauts de cette série.
La partie graphique ?
Je préfère aussi les Ultimates, que j’ai trouvés plus « frais », plus enthousiasmants avec une vraie envie de proposer plein d’idées à chaque page.
Ses Defenders, c’est sûrement super, mais ce n’est pas pour moi : trop décalé, trop dans son monde… et avec l’impression que Ewing se regarde un peu trop écrire « cool ».
C’est déjà bien de l’admettre.
Avec l’âge, j’ai moins de difficultés à assumer que tout ce qui est acclamé ou jugé « bon » ne l’est pas forcément pour moi. ![]()
Oui en partie. Le fait qu elle soit sabordee par civil war 2 aussi et l inconstance d ewing à tenir ses statuts quo.
Mais pour le coup, la serie prend quand même le temps d explorer ses enjeux cosmiques avec un nombre de page suffisant pour ne pas faire trop précipitée.
Les defenders sont très jolis et les idées cosmiques seduisantes, mais rien n est vraiment exploiter. C est une visite guidée tres sympas.
C’est plus axé sur la forme (Cool SF) que le fond.
Le fond ou l aventure en l occurence.
Dans 10 ans tu arriveras à l’âge où on a pas de difficulté à assumer que ce qui est acclamé ou jugé « bon » est en fait de la merde
Je suis trop bon public pour ça.
Dans 20 que beaucoup de choses que tu aimes sont en fait de la merde.
Clin d’œil.
On dis ça et puis

Ha tiens ? Ca c’est bon c’est coché depuis 20 ans
Sourire.
Tu es encore trop jeune.
Jim
Et pur.

Quand les séries Marvel du début des 70’s évoquent le féminisme de cette période (Thundra & cie) :
Fin 2004, alors que la série Avengers s’éteint avec l’arc Disassembled (pour mieux laisser la place au titre New Avengers de Bendis), l’éditorial souhaite rendre hommage aux « Earth’s Mightiest Heroes ».
C’est donc dans cette optique révérencieuse qu’est conçu le one-shot Avengers: Finale #1, un copieux numéro de 48 pages arborant rien de moins qu’une couverture de Neal Adams (décédé depuis lors) :


Le scénariste Brian Michael Bendis est réuni à cette occasion avec certains de ses habituels collaborateurs du début des années 2000 (Alex « Daredevil » Maleev, Michael « Alias » Geydos ou encore Mike « Powers » Oeming), mais le véritable intérêt en terme d’invités de marque est ailleurs…
Steve Epting ouvre le bal (LE dessinateur emblématique de la meilleure partie du run de Bob d’Harras) :
Lee Weeks passe par là en coup de vent (avec un court segment consacré au bolide Pietro Maximoff) :

Et puis cette remémoration mélancolique de la part des Vengeurs laisse la place à une évocation visuelle des grands moments de leur histoire éditoriale, étalée sur 40 ans d’histoires (avec une double splash-page pour chacun de ces dessinateurs invités, lors de ce tour d’horizon évitant certains runs) :


-l’arc des 80’s Under Siege de Stern/Buscema/Palmer (par Jim « Young Avengers » Cheung)
-l’arc Ultron Unlimited de la toute fin des 90’s chez Busiek/Pérez (par Steve « Civil War » McNiven)

Puis cette parenthèse se conclut en laissant le dernier segment à un autre revenant pour le final, nul autre que George « Teen Titans » Pérez (plus de ce monde lui aussi), le dessinateur emblématique de plusieurs périodes fastes de la série Avengers (en particulier la seconde moitié des 70’s et des 90’s).