Ah, marrant, ça.
Bon, j’ai pas aimé la saga en Olympe non plus, trop longue après une grosse baston trop longue aussi (parce que ouais, « Under Siege », j’aime bien, mais ça traîne un brin). Mais j’ai adoré ce qu’il a fait avec Monica Rambeau. Parce que l’évolution du personnage donne une sorte de continuité forte à la série, un vrai fil rouge. Ça identifie la période, un peu comme Mantis chez Englehart. Et aussi parce que ce que j’aime dans cette série, mais c’est un peu pareil pour Justice League, c’est quand de nouveaux personnages viennent grossir les rangs. L’arrivée de Captain Marvel puis de Starfox, j’ai super apprécié. Ça donnait une bouffée d’air frais.
Ouais. J’adore ça aussi. Même quand les FF viennent en intérim.
Et pour le coup, même si Bendis a raté beaucoup de choses, ça c’était bien je trouve. Pas pour tous, mais y a des apports que j’ai aimé.
Tiens, marrant, parce que moi, en tant que lecteur, je l’ai vécu comme une découverte progressive. Ah bon, elle peut faire ça ? Et ça aussi ? Mais c’est nouveau ? C’est la plus puissante sans doute, et c’est celle qui n’est pas sûre, qui se pose des questions, qui revient voir ses parents pour demander conseil…
En fait, Monica Rambeau, c’est Superman !
La puissance de Captain Marvel est contrebalancée par son inexpérience en tant que super-héroïne (qui intègre en plus directement l’une des plus grande équipe de la Terre). Rien que cela, ça change la donne.
(je pense que c’est d’ailleurs pour cela que le perso subit un petit changement de personnalité entre son apparition dans Spider-Man et la suite chez les Vengeurs)
Pareil avec l’arrivée de Kitty chez les X-Men. Pouvoirs discrets et mal maîtrisés, timidité, apprentissage… Et on comprend petit à petit que ses pouvoirs ne sont pas si petits que ça, on la voit progresser, s’affirmer, s’endurcir, jusqu’à prendre des décisions, en imposer. Kitty, c’est un des fils rouges de Claremont, qui signent sa prestation.