Bah non. Enfin, presque.
Disons que tu as fait les deux, donc ça fait doublon (c’est pas grave).
La prochaine fois, fais « répondre », ensuite assure-toi de bien cliquer sur le phylactère qui se trouve dans tes outils quand tu rédiges (le premier à gauche sur la barre du haut). Là, tu auras la citation complète avec l’entête du sujet en bleu, cliquable). Ensuite, tu te déplaces, et tu rajoutes un truc pour Ronchonbot. Là, tu fais « répondre » à nouveau, il te proposera de le faire soit dans le sujet d’origine, soit dans le nouveau sujet. Tu vérifies, tu valides.
Pour moi, les Avengers de Harras, Epting et Palmer correspondant à un souvenir précis : mon arrivée sur Paris. C’est la série qui m’a accroché dans les rayonnages. J’ai flashé sur la couverture du #343, qui était intriguante et qui, pour les vieux lecteurs comme moi, proposait une réponse au suspense lancé par la couverture… réponse présente sur la couverture elle-même : j’ai reconnu la silhouette tout de suite, et comme j’étais fan de la période Englehart, j’ai tout de suite voulu en savoir plus.
J’ai pris les deux trois premiers, et puis l’arrivée du cross-over a calmé mes ardeurs, puis les différentes sollicitations de l’époque (je découvrais d’autres éditeurs, dont First sur les conseils d’Alex Nikolavitch, et quand on est étudiant, on n’a pas des sous pour tout), mais j’ai suivi de loin. Et vraiment, les différentes couvertures m’emballaient. Le Swordsman, le Black Knight, une équipe de seconds couteaux parfaitement crédibles et sympathiques, un jeu sur la continuité de la série, la volonté de proposer en même temps quelque chose de nouveau, des choix graphiques intégrant le meilleur de Jim Lee sans la raideur figée que lui impose Scott Williams… Bref, c’était le titre à suivre, chez Marvel, pour moi, même de loin.
Sous une couverture dynamique de George Pérez, c’est Frank Miller qui se charge du dessin, sur un scénario de Peter Gillis. Autre nom connu au générique, celui de Roger Stern (je crois qu’on va souvent le citer, celui-là, quand on parlera des Vengeurs), au poste de responsable éditorial.