Le Crapaud par Ryan Kelly

Le Crapaud par Ryan Kelly

Le Crapaud par Francesco Francavilla (sa version du perso)

En arrière plan, le Crapaud par Alex Ross, dans Earth X

Randy.
Jim
Merci. Je modifie (et maintenant que tu le dis …)
Y a aussi un Randy Queen, celui qui fait Darkchylde, mais je ne pense pas qu’il s’agisse de lui, malgré la proximité des noms (et s’ils signent vite, c’est pas toujours lisible).
Randy Green, j’aimais beaucoup : quand il a repris Witchblade après Mike Turner, j’étais sans doute l’un des rares à être ravis du changement.
Jim
Les gants magiques du Fauve, ça arrivait régulièrement.
Sinon,il y a aussi les bottes d’Iceberg qui disparaissent le temps d’une case.
Comme Jim parlait ailleurs du costume jaune de Magnéto, je me suis dit qu’il était temps de faire une révision.

Alors, je crois me souvenir où je l’ai déniché et acheté et à quelle période. Je bossais déjà. Et donc, si je l’ai lu, ce n’est qu’une fois (ce qui expliquerait certains doutes). J’ai découvert l’existence de cet album assez tard, et je ne savais pas que Lug avait créé une « collection » d’un album en 1975 (j’tais pas né), avant d’en relancer une autre dans les années 80, avec les X-Men de Claremont.
Et je me demande si ça n’a pas été un peu improvisé (même si la couv’ ne fait pas du tout improvisée), car la 4ème de couverture est celle des FF (si n’est qu’il est quand même indiqué « X-Men »).
On découvre donc les origines de Karl Lykos, le Sauron de Marvel le temps de deux épisodes. Je doute vraiment d’avoir déjà lu cette histoire, parce qu’on comprend aisément le pourquoi de ses pouvoirs hypnotiques. Les X-Men sont dans le contrecoup de l’attaque des Sentinelles, et ce pauvre Havok est encore le réservoir de pouvoir d’un vilain (qui, avec le recul, me semble être un mix de Morbius, Manbat et du Lézard, mais avec un sale caractère), ce qui provoque sa transformation (encore). On est à al fin des années 60, et on sent encore quelques relent du style d’histoire de cette décennies et des précédentes (« je peux me marier avec cette femme, je ne suis pas riche et puissant, etc, etc… »), mais Strange Girl montre quand même un caractère distinct de ce qu’on a pu connaitre les années d’avant. Donc, ça commence à changer, tout comme Polaris qui exprime clairement un sentiment d’indépendance et de choix, vis-à-vis d’un Iceberg avec un instinct de propriété exacerbé (je n’ai jamais aimé cette période/attitude puérile pour ce perso).
On le voit d’autant plus dans le diptyque suivant avec le passage dans la Terre Sauvage, puisque Grey est un rempart tout aussi important que ses camarades face à la menace d’un Magneto en costard jaune et ses Mutés de la Terre Sauvage (la fin m’a d’ailleurs surpris, tout est bien rangé, Magnéto n’étant qu’un vilain quelconque, les Mutés ne l’étant plus, d’ailleurs).
Et Neal Adams dans tout ça ? Eh bien je n’avais pas souvenir qu’il faisait des planches en format double page à cette période, et ça envoie bien. Les cases vont dans tous les sens, Adams exploite également la pleine page, mais ça percute pas mal. Je reste toujours dubitatif sur l’agrandissement de ces planches, je en suis pas sûr que ce soit une bonne idée, mais ici, ça donne pas mal (le regard de Sauron, la baston en Terre Sauvage avec Ka-Zar et le Fauve, …).
Et j’aime beaucoup l’effet qu’il donne pour les souvenirs d’Angel. Je suis curieux de savoir comment c’était communiqué avec le coloriste et si cela avait un impact pour l’imprimeur.
Un retour dans le passé sympathique, pas déçu. Mais je continue de me demander pourquoi Lug avait décidé de sortir cela en dehors de Strange (et donc en dehors de Spidey, également, ce qui est encore plus surprenant). La violence ? Les double pages ?
PS : erreur d’orthographe pour le Tyrannosaure … qui a pris deux R après le Y. Pas le souvenir qu’il y avait de telles fautes chez Lug.
Sauron par Neal Adams

Sauron par Adian Syaf

Francisco Herrera


Sauron et Ka-Zar par Tulio Vilela

(encore un qui se prend pour Steinmetz)