Pays, surtout.
Parce que des cyborgs, ils connaissent (Pierce est présent dans Uncanny X-Men et dans New Mutants, Lady Deathstrike a fait son apparition…) et les démons aussi (l’Annual avec Doctor Strange, les N’Garai…). Le surnaturel a toujours été présent chez Claremont.
C’est vraiment l’aspect international et interventionniste qui me semble nouveau.
Mon premier contact avec les X-Men, c’est Spécial Strange#23 :
Et il est possible que cette couverture, je l’ai vue en quatrième de couverture d’une autre revue. Et je ne connaissais aucun personnage. Ces gens me semblaient étrange, baroque, un peu comme un groupe de rock glam. Je ne comprenais pas leur attitude, ce qu’il se passait sur la couverture. C’était vraiment étrange, et cette étrangeté a été rendue encore plus forte par le contraste : j’ai accroché tout de suite à ce nouvel univers, j’ai complètement adoré, et j’ai été surpris par le plaisir de lecture qui suivait le sentiment d’étrangeté.
Mais je pense aussi qu’il intègre les idées de ses dessinateurs. Y a des cyborgs, et Silvestri aime les cyborgs, donc on prend ceux qu’on a en stock et on les met en avant. Et quand Silvestri crée Cyberforce, on comprend d’où vient l’idée.
Alors regard d editeur : Harras a t il eu raison lorsqu on sait que la version x men de lee avec retour à la maison est devenue la formule classique avec le dessin animé et a fixé le la pendant 20 ans ?
Fallait il laisser le changement perpetuel de claremont se poursuivre ou arreter l horloge du temps pour viser le classicisme iconique à la lee ?