Mhhmm… Il manque la fin…
J’en avais espéré beaucoup, parce que je trouvais que ses tics d’écriture étaient envahissants (les scènes de rêve, les personnages féminins possédés…), et j’étais curieux d’avoir du sang neuf, mais très rapidement, l’effet douche froide est arrivé.
C’est certain, mais ça ne menait nulle part. Ils balançaient des idées sans rien exploiter, c’était trop foutraque.
Que fais-tu à nous parler sur ce forum ?
File lire tout ça.
Interro écrite à la fin de la semaine !
Jim
Honnêtement, s’il y a interro’, j’aurais sûrement la moyenne, tant ses successeurs ont repris et rappelé le contenu de ses épisodes !
l’équipe bleue a eu aussi zéro affect, il faudra vraiment Logan qui perd son adamantium (au 25) pour que les personnages bougent un peu. Même quand psylocke fait du gringue à Slim, il se passe rien.
Quand je parle d’affect, c’est mon ressenti perso’.
Retournes dans le placard : la pile de x men à lire t y attend.
C est de ta faute !
Cahin-caha, lobdel a donné une direction, la phalanx, generation x. Tout se passait durant les crossover et rien entre, mais c etait déjà quelque chose. Puis d un coup, il se reveille, accélère le rythme, veut tout changer et se fait virer.
Son depart sonne le glas de la continuité de la serie depuis l arrivée de claremont.
Il a une pile Captain America à lire avant
Hehe
Je me souviens d’un courrier de lecteur, nommé Fabrice Besnard (il habitait pas loin de chez moi…) qui manifestait sa fatigue à l’égard de Claremont, et son plaisir à voir arriver Louise Simonson sur New Mutants. Ça avait créé une sacrée polémique dans la rubrique, à l’époque.
Mais entre les cross-overs, il y avait des épisodes courts, parfois en un seul chapitre, qui mettait la lumière sur tel ou tel personnage. Nicieza faisait ça aussi. Et c’était cool, parce qu’on retrouvait cette caractérisation palpable qui faisait le charme de la série.
Assez d’accord.
Je trouve que le tournant se négocie après Onlaught, en fait. Qui est une sorte de conclusion claremontienne : la proximité de Xavier et Magneto, par exemple, qui est au cœur de tellement de choses chez Claremont.
J’étais très assidu jusqu’à ce moment. J’ai été intéressé par la période Kelly / Seagle, qui proposait des idées sympas, mais au fil du temps, j’ai décroché, la série perdait son identité à mesure que l’éditorial cherchait des équipes afin de raviver l’intérêt.
Jim
Ouf moi j ai commencé à décrocher aprés Byrne, je pense sur deux effets (je lisais car on me prétait):
-La série trés populaire s est repliée sur elle-meme et a commencé à se focaliser sur la question mutante quasi exclusivement (qu une saga comem la saga en asgard faisait du bien) et tout ce qui faisait un choc avec Dieu crée ou Days of future past est devenu quotidien,
-La question communautaire qui déjà avant hickmann ne cesse de prendre de l importance (paroxysme a l epoque avec Avengers Vs Xmen et la periode autsralienne où « il est des notres » est souvent dit (truc que je comprend pas perso car un connard est un connard… a priori il est pas des miens même s il me resemble)
J ai laché fortement au moment où arrivent portacio, Jim Lee… là ne lis plus qu episodiquement… et assez vite quasiment plus …
Tant que Xmen était une série marvel avec une vision spécifique j ai aimé ou adoré selon les runs… dés que c est devenu une série sur un sujet spécifique pouvant parfois s intégrer à l univers marvel… j ai trouvé redondant, un peu moralisateur et en plus excluant… et autant aujourd hui ca devient dans l air du temps en France… et donc ca raconte un truc… autant à l epoque… c etait pas d actualité et ca m interessait moins… Le racisme étant traité dans pleins d autres séries (dont souvent Captain America, Black Panther ou Matser of Kung fu par exemple).
Je pense aussi que j ai peu d intéret pour les séries traitant des jeunes/enfants et là de l école du moins quand j etais jeune justement bizarrement…
Et que ma famile avait une lecture du monde par la république et donc que le communautarisme était un peu une sorte de truc étranger … d autant qu ensuite j ai aussi une lecture plus economique et sociale de la discrimination… comme facteur premier.
Haha, oui, je me souviens.
Dans titans et spécial strange, ça virait à la guerre de tranchée.
Je trouvais que ça manquait de subtilité.
Bobby et malicia en goguette, cyclope et jean, cyclope et cable, c etait long comme un jour sans pain.
Ce qui tournait autour de xavier etait pas trop mal.
Oui, pareil, j ai lâché l affaire à ce moment là, lorsqu ont été sabré les plans de kelly et seagle avec le retour des membres d excalibur.
Je ne suis revenu que pour momo.
Mais déjà, c etait pour moi une affaire de run, de variations, de nouveauté, plus du tout de continuité.
Je trouve que c’est venu après.
Parce que la seconde période Cockrum, ils partent dans l’espace, y a Tigra qui vient d’Avengers, y a Carol Danvers, on sent que Claremont gère son petit patrimoine (y a vraiment qu’Iron Fist qu’on ne voit pas passer). La période Smith voit passer Viper, par exemple, avec le Silver Samurai qui est un personnage entrevu ailleurs. Ça commence à se manifester vraiment avec la période Romita, mais on sent, dans un premier temps, que Claremont a envie de pousser le bouchon plus loin, notamment avec Valerie Cooper (ce qui lui permet de travailler aussi sur Storm).
Moi, c’est vraiment cette dernière période qui m’a un peu fâché avec la série. Je trouvais la série sans allant et les idées sans envergure. Le procès de Magneto, je l’ai trouvé un peu piteux. Bon, à l’époque, j’ignorais les coulisses de la série, je sentais bien que Shooter et sa Secret Wars II faisaient chier, mais je ne connaissais pas les dessous de l’histoire autour de Jim Jaspers, donc je n’avais pas idée des tracas vécus par Claremont.
J’avais pris de la distance par rapport à la série. Si j’avais adoré la saga à Dallas et la lente mais efficace reconstruction de la série, j’avais trouvé la partie Genosha particulièrement lourde. Et longue. Une métaphore à gros sabots (avec un personnage appelé « Moreau » ? Sur une île ? Sérieux…). La série avait perdu sa mystique.
Oui, ça m’agaçait un peu aussi. Paradoxalement, quand Fraction et Gillen pousse l’idée plus loin avec Cyclops en défenseur d’un rêve dévoyé, j’ai trouvé ça intéressant : quitte à y aller, autant le faire carrément. C’est l’exécution qui péchait, souvent et puis, par principe, c’était une impasse.
Moi, c’est nettement plus tardif, mais je n’arrive pas du tout à m’y remettre. Vraiment pas. Tout me tombe des mains à chaque essai.
On sent davantage l’écriture technique, oui.
(J’avais lu que Claremont, avant de faire de la BD, voulait devenir acteur : ça doit jouer.)
Mais bon, l’épisode où Emma Frost explique à Bobby Drake son potentiel, il est énorme.
Carrément.
Xavier n’est jamais meilleur que présenté sous un jour négatif.
Sans doute parce qu’il n’a jamais réussi à être le père ou le mentor qu’il prétend être.
Pareil, mais j’ai mis du temps à comprendre ça, à comprendre les fluctuations de mon propre intérêt. Sans doute encore hypnotisé par la numérotation à suivre (voilà ce qu’ils devraient faire : remettre en avant les vieilles numérotations, ça exciterait le complétiste qui sommeille en moi !).
Quelle écriture !
J’en reviens aux « bienfaits » de la censure : quand tu sais que tu ne peux pas employer tous les mots ou toutes les images disponibles, tu dribbles, tu louvoies. Et tu crées.
Jim
Sous l’impulsion semble-t-il d’une Nocenti ayant alors pris la relève de Louise Simonson comme editor.
Ollieno : "Fletch, tu parles de Papy Claremont, mais il ne faut pas oublier qu’il y a aussi un editor … et que le rôle de l’Editor est souvent important ou lourd.
Après avoir bossé avec Wein (94), Wolfman (95-100), Goodwin (101-111), Shooter (112), Stern (113-131), Salicrup (132-137), Simonson (137-182), Elliot Brown (177), Nocenti (182-232), et Bob Harras… du 232 au (j’ai pas regardé, mais qq part après AoA).
Et Claremont à toujors udit travailelr ses scenarii avec son Editor, et son dessinateur …
Et on peut voir la marque de chaque Editor…
La période Nocenti est contrebalancée par la présence forte de Shooter, qui pourri la vie de Annie (harcelement moral) …A noter que Stern etait l’assistant de Shooter, Wheezye etait l’assistante de Stern, Elliot Brown, puis Annie Nocenti etaient les assistants de Wheezye … et Harras etait l’assitant de Nocenti …
Le retour des Broods est le fait de Harras (et ca te dirait de ramener les Broods, il y a longtemps que on ne les a pas vus…) et il était aussi l’éditor sur Wolvie ^^ (Excalibur a été edité par Annie Nocenti, puis Terry Kavanagh dés le 2 me numéro)… Certaines histoires auraient été différentes avecun autre editor (Claremont à raconté dans une ITW que son souhait de réhabilité Magneto datait de loin, mais Shooter avait refusé, Stern cavait refusé, Simonson l’avait guidé vers d’autres histoires … et c’est avec Nocenti qu’il avait put le faire ^^ )"
Ça finira par arriver à nouveau (tel le probable Uncanny X-Men #700 d’ici l’été prochain, là où les séries de l’ère Krakoa ont généralement évité le « legacy numbering », à l"exception de Wolverine #350).
Valable aussi pour le baiser entre Malicia et Vega (ce beau moment où elle découvre son secret).
En France.
On decouvre justement aujourd’hui à quel point ce fut toujours d actualité aux etats unis. C est leur rapport à l autre qui est medié par le mot race.
J ai contraire beaucoup apprécié toute la mise en avant de cooper qui permettait d avoir un regard « etatique » sur le histoires que nous avions suivies de l interieur.
Ce changement d axe me plaisait beaucoup.
Oui oui, moi aussi, et c’est pourquoi je trouvais intéressant que ça prenne ainsi de l’ampleur.
Rétrospectivement, ça explique aussi Genosha : Claremont a sans doute l’impression d’être allé au bout de l’idée au sein de l’Amérique. Pour aller plus loin, à savoir créer une dictature anti-mutante, il lui faut créer un pays fictif portant la métaphore là où elle n’est pas encore allée (à part dans le futur).
Jim