Kitty Pryde par Aneke Murillenem
Kitty Pryde par Flaviano Armentaro
Kitty Pryde par Brianna Garcia
Kitty Pryde par Mario Chavez
Kitty Pryde par Carlos Pacheco
Kitty Pryde par Todd Nauck
Mia Dantes
Malicia par Dean Juliette
Ahahahahahahahah
La Reine Démon par Riccardo Latina
WOLVERINE AND THE X-MEN #17 (2012) :
Dès l’inclusion de l’étrange Doop (sorte de croisement entre une patate et le Slimer de Ghostbusters) dans les toutes premières pages du premier numéro de la série, il paraissait clair que l’X-Statix de Peter Milligan (lui aussi associé à Bachalo, par le biais de leur run sur Shade the Changing Man des 90’s) et Mike « Madman » Allred (le compagnon de route de Dan Slott plus récemment, sur leur Silver Who/Doctor Surfer) comptait parmi les titres fétiches d’Aaron (c’est ce qui s’appelle avoir bon goût).
Un an plus tard (au sortir d’AvX), celui-ci a eu l’occasion rêvée de bosser avec ce même Mike Allred, pour un numéro spécial consacré à Doop (bénéficiant d’un culte tenace) et aux raisons de sa présence dans cette école (autrement dit sa fonction en dehors de l’aspect « clin-d’oeil »). Ce qui équivaut en somme à se demander quel est le vrai rôle de l’énigmatique Janitor de la sitcom Scrubs. Un poste plus crucial qu’il n’y paraît (à sa propre façon, Doop est aussi proactif qu’X-Force, le titre où il avait débuté).
Au programme : une pastiche (avec Howard le canard) du final mémorable de Butch Cassidy and The Sundance Kid (déjà cité à la fin d’X-Statix, décidément…), un hommage au groupe de rock Tenacious D de Jack « School of Rock » Black et Kyle Gass (et plus particulièrement au morceau « Beelzeboss » de l’album/film The Pick Of Destiny), de multiples partenaires sexuels (Doop est visiblement un sacré tombeur, de niveau Matt Murdock ou Barney Stinson), un repas pas si amical que ça avec Dents-de-Sabre, un Logan prêt à se ridiculiser pour le bien commun (au point d’être traîné dans un cinéma d’art et d’essai) ou encore des nazis fans de bowling (ça change des nihilistes de The Big Lebowski).
Soit un prétexte pour pousser à fond les curseurs en terme de fun et d’idées déjantées en tout genre (seul petit hic : ceux/celles n’ayant jamais lu X-Statix en amont risquent de passé à côté du délire). Un digestif appréciable après tant de numéros liés à AvX (loin d’être le seul event qui l’aura « parasité »).