Havok et Polaris par Gardenio Lima
Kitty Pryde par Greg Tocchini
Kitty Pryde et Serval par Boris Vallejo
Kitty Pryde par David Lopez
Kitty Pryde par Alice Picard
Kitty Pryde par Pierre-Mony Chan
Kitty Pryde par Trevor Hairsine
Kitty Pryde par Bob McLeod
Kitty Pryde par Mike McKone

un hommage au groupe de rock Tenacious D de Jack « School of Rock » Black et Kyle Gass (et plus particulièrement au morceau « Beelzeboss » de l’album/film The Pick Of Destiny)
Les compositions des équipes X au fil des décennies - partie 4 (2005-2010, les années post-House of M et pré-Schism) :
Effectivement (la lecture de l’omnibus War of Kings, contenant cette saga, le confirme).
WOLVERINE AND THE X-MEN #19 (2012) :
À l’occasion de son entrée dans l’ère « Marvel Now » (alors indiquée par une bannière rouge sur chaque couverture), la série s’offre un atout supplémentaire (soit l’arrivée d’Ororo Munroe/Tornade parmi le corps enseignant) lors d’un épisode de recrutement faisant la part belle à l’humour (Jason Aaron ne résiste pas à l’envie de caser brièvement certains de ses chouchous, tels que Fat Cobra & Gorilla-Man, tous deux présents dans un arc de Wolverine, ou encore un Blade qui n’avait pas attendu ce scénariste pour intégrer les Avengers, puisque Al Ewing l’avait déjà devancé sur ce plan-là).
Des signes de dissension commencent aussi à se faire sentir à l’école depuis la démission de l’instable Husk (au grand dam du Crapaud) et la révélation de la présence d’un traître (Glob Herman), tandis que Broo est toujours dans un état critique et que la menace du Hellfire Saga se fait à nouveau tangible.
NEW X-MEN #117 (2001) :
Avant d’enclencher son second arc (« Germ Free Generation », illustré par Igor « Soldier X » Kordey), le titre New X-Men s’est d’abord offert un numéro de transition, mixant l’ancien (l’attirance entre Jean Grey & Logan, histoire de vite crever cet « abcès », pour mieux se concentrer ensuite sur le duo Scott/Emma) et le nouveau (les débuts d’un jeune Bec très mal dans sa peau, aka l’un des principaux représentants d’une toute nouvelle génération d’élèves aux mutations plus « monstrueuses »).
La revenante (déjà !?) Cassandra Nova (l’un des fils rouges de ce début de run), désormais en possession du corps de Charles Xavier (son frère jumeau), a choisi Hank McCoy (dont l’allure est passé de simiesque à féline durant cette période) comme toute première cible de sa terrible revanche, et elle n’y va pas de main morte. Y compris avec Bec (comme s’il n’avait pas déjà assez d’ennuis), devenant à la fois son pantin et une victime collatérale, le temps d’une scène à la violence prononcée.
Celui-ci fait figure de marginal ultime (à cause de son apparence), sorte de manière détournée pour Grant Morrison d’évoquer son adolescence durant les 70’s (ses années « punk »), et est aussi appelé à pas mal changer à l’avenir (devenant jeune papa, ainsi qu’un X-Man badass dans un futur très lointain).
Morrison ne ménage par ses personnages principaux (entre le déchaînement de violence et un Xavier dont le corps est plongé dans une litière géante) et ne perd pas de temps (la « mort » de Cassandra aura été de très courte durée), tout en mettant en place l’ascension de Jean Grey (toujours délaissé par son mari distant). Celle-ci est chargée de garder la maison en l’absence de Papa Xavier (où plutôt Maman en l’occurence). Et quand les Shi’ar sont là, le Phénix n’est généralement jamais bien loin…
Passer du virtuose Frank Quitely à Ethan Van Sciver (avec son style façon « Brian Bolland du pauvre ») ; soit une qualité graphique à la baisse (rien de catastrophique non plus). Mais le scénario de l’écossais sait lui maintenir le niveau par contre (en promettant-là un ample conflit à venir, tourné vers les étoiles).