1963-2023 : BON ANNIVERSAIRE LES X-MEN !

Moi, je me souviens que je n’ai pas compris ce qui se passait. OK, y a une rousse qui arrive, et tout et tout. Mais bon, des rousses, dans l’univers Marvel, c’est pas ça qui manque. Et donc, les doutes et l’émotion de Scott me sont passés complètement au-dessus de la tête.

Je me suis fait complètement avoir par la coiffure, et donc l’effet est complètement tombé à plat, pour moi.

Jim

J’étais plus jeune.

Tiens, hier soir, je me demandais quand donc Bob Harras est arrivé au poste d’editor dans la série. Je pensais, bizarrement, que c’était après Inferno. En fait, c’est largement avant. La passation de pouvoir avec Ann Nocenti remonte au retour des Broods, dans Uncanny X-Men #232, d’août 1988.

Et donc, il aura fallu moins de trois ans pour que les relations avec Claremont se dégradent au point que ce que le scénariste avait mis en place soit annulé, que les vilains qu’il choisit soit changés, que les cross-overs sur lesquels il travaille soient reformulés…

et que ses intrigues soient oubliés et qu’il soit remplacé par d’autres. Trois ans pile après l’arrivée de Harras, si l’on en croit les mois indiqués sur les couvertures.

Jim

Tiens, maintenant que tu le dis, il a du m arriver la même chose.

Harras n a pas aimé la période australienne, faut croire…

Pas assez harassante, cette période.

1 « J'aime »

Quand j’ai commencé les X-Men, je ne connaissais pas Jean Grey.
Et quand j’y pense, j’ai passé plusieurs années (4 je dirais) sans la connaître. C’est avec la réédition dans X-Men Saga que j’ai découvert les épisodes de Cockrum et Byrne.
Ce qui doit expliquer que c’est un membre des X-Men qui ne me touche pas vraiment. Par exemple, je me fichais de son retour, puisque je n’ai pas vécu le traumatisme de sa mort.

Ah ouais. Puissant.

Le syndrome Mallrat puissance 1000

Ni la période Madripoor (la raison pour laquelle le run de Claremont ne dure que 10 numéros ?).

Kerry Gammill

1 « J'aime »

Une serie wolverine, c est pour avoir wolverine et non pas patch, ce n est pas compliqué bordel !

Comme ça ?

Eddy Barrows

1 « J'aime »

Comme ça

Mcniven

1 « J'aime »

À ce que je vois dans les crédits, les editor-in-chief des 70’s supervisent les premières années du run.

X-Men_Vol_1_94_001

Len Wein sur X-Men #94 (1975).

X-Men_Vol_1_95_001

Marv Wolfman ensuite, d’X-Men #95 (1975)…

…jusqu’à X-Men #100 (1976).

Puis Archie Goodwin de X-Men #101 (1976)…

X-Men_Vol_1_111_001

…jusqu’à X-Men #111 (1978).

Jim Shooter passe en coup de vent d’X-Men #112 (1978)…

…jusqu’au X-Men #113 (1978).

  • Puis Roger Stern prend la relève, d’X-Men #113/114 (1978)…

…jusqu’à X-Men #131 (1979).

Jim Salicrup prend ensuite le relais, d’X-Men #132 (1980)…

X-Men_Vol_1_137_001

…jusqu’à X-Men #137 (1980).

X-Men_Vol_1_139_001

Bob Harras est ensuite (déjà) crédité pour un seul numéro, soit X-Men #139 (1980).

b855dc8421a794ef7db8a7578c0b664f

Louise Jones/Simonson s’installe ensuite, d’X-Men #138 (1980)…

Uncanny_X-Men_Vol_1_182_001

…jusqu’à Uncanny X-Men #182 (1984).

Uncanny_X-Men_Vol_1_183_001

Son assistante Ann Nocenti prend la suite lors d’Uncanny X-Men #182/183 (1984)…

Uncanny_X-Men_Vol_1_232_001

…jusqu’à Uncanny X-Men #232 (1988).

Uncanny_X-Men_Vol_1_233_001

Et donc Bob Harras s’installe pour de bon à partir d’Uncanny X-Men #232/233 (1988).

Celui-ci vient à bout de Chris Claremont, qui signe son dernier numéro avec X-Men #3 (1991).

1 « J'aime »

Punaise, quelle valse ! C’était toujours comme ça ?
(bon, y a que ces dames qui ont bien tenu)

Toujours en bons termes avec Claremont (elles sont dans le documentaire qui lui est consacré).

Je crois que les editors valsent plus vite que les auteurs. Même à une période classique qu’on a connue.

Après, c’est intéressant. C’est en regardant ce genre de crédits que j’ai découvert que Roger Stern avait supervisé le gros de la période Byrne sur X-Men, mais aussi l’alcoolisme de Tony Stark dans Iron Man, ou encore la période Byrne sur Avengers dont j’ai parlé récemment, ou bien la saga du Pegasus Project dans Marvel Two-in-One. Sérieux, on comprend alors l’impact d’un bon editor (certes, son amitié avec Byrne, Michelinie ou Layton a sans doute aidé, bien entendu).

Jim

Marc Silvestri

Uncanny X-Men #255

Steve Epting

Excalibur #82