1963-2023 : BON ANNIVERSAIRE LES X-MEN !

tumblr_o6k17eIfs81rom810o3_640

Uncanny X-Men, Vol. 1 # 211 by John Romita, Jr., with Cover Inks by Bob Wiacek, Interior Inks by Al Williamson and Brett Blevins, Colors by Glynis Oliver, Letters by Tom Orzechowski, and a Script by Chris Claremont.

Barry Windsor-Smith :

C’est rigolo, en voyant la page avec Sauron, je pense à ce que Villarrubia montre avec les différentes colorisations faites sur Swamp Thing.
Les couleurs dans Special Strange ne correspondent pas tout à fait à l’original il me semble.

Après vérification, dans Special Strange, cette double page n’existe pas !:astonished::astonished:

J’avais lu ces épisodes dans X-Men Saga (j’ai récupéré les special strange avant 45 il y a 10 ans environ), et je n’ avais jamais été consulter ces épisodes des X-Men !

Les couleurs pourraient y être plus fidèles que dans mes souvenirs (mais difficile de juger parce que c’était surtout la partie avec Sauron qui m’intriguait).

J’irai voir demain dans mes Saga pour satisfaire ma curiosité.

Silvestri/Green (Uncanny X-Men #220) :

silvestri-uncanny-x-men-220-page-9-3bux

1 « J'aime »

Peach MOMOKO :

Tony DE ZUNIGA :

1 « J'aime »

Tony DE ZUNIGA suite avec un florilège de Tornade ! :heart_eyes:

4 « J'aime »

Dans ce 83ème numéro (on croit rêver, hein ? Mais je vous jure que cette revue date de ce siècle) d’X-Men Extra, il y avait aussi l’épisode #15 de la série.

X-Men Forever #15: Tornade à l’horizon

A la fin du premier arc de la série, Tornade s’enfuyait après avoir tué Serval, mais en ayant été défaite et marquée par les X-Men et notamment Kitty. Par ailleurs, elle a été trahie par ses alliés, les membres du mystérieux Cartel. Sans foyer, elle s’enfuit vers l’Afrique et épuisée, elle échoue tant bien que mal au Wakanda, patrie de son bien aimé T’Challa, la Panthère Noire. Malgré les réticences de membres de sa famille et les alertes du SHIELD, le roi lui laissé sa chance et finit par la demander en mariage … ce qui causa sa perte, Tornade s’étant associée à Killmonger (qu’elle trahit également), l’ennemi juré du Wakanda. La déesse des vents devient donc Reine légitime d’un pays suffisamment équipé pour se venger …

Après 10 épisodes, Chris Claremont revient sur la traitresse dans un épisode qui montre que ce rôle n’est finalement pas de composition. D’ailleurs, son attitude est tellement étrange par rapport à l’Ororo qu’on connaît (je parle bien de celle de l’époque, qui n’est pas si différente de celle d’aujourd’hui) qu’on s’attend forcément à une explication, qui ne vient toujours pas. Ce numéro sert surtout d’interlude et permet de rappeler ce qu’est devenu le personnage qui a lancé le fil rouge de cette série, pendant que les X-Men s’occupaient avec les Sentinelles. Là encore, l’auteur prend à revers ce qui semblait pourtant évident jusqu’à présent, et on peut une nouvelle fois se demander si ce sont réellement ses plans d’origine tant il va rapidement à contre-courant de ce qu’il s’est passé durant les 15-20 dernières années. Et le revirement des Wakandais, ainsi que leur absence de chagrin, est également très surprenant, abandonnant trop irrémédiablement leur Dieu Panthère. A suivre donc !

Tom Grummett continue sur sa lancée des épisodes précédents, ni plus ni moins, mais en ayant moins de possibilités de s’amuser avec des pages dynamique.

Avis : épisode de transition nécessaire, mais n’apportant que peu à l’intrigue globale.

1 « J'aime »

Joe Phillips

image

1 « J'aime »

Lou Harrison

image

Alan Davis

Ron Garney

image

Wolverine #64

1 « J'aime »

Luis Royo - Trading Card

image

Hop, évocation du troisième tome de X-Men Forever :

Jim

Évocation du quatrième tome de X-Men Forever :

Jim

Et donc, j’enchaîne avec mon avis de l’époque

image

X-Men Forever #16-20: Changement en profondeur

A la fin de l’avant-dernier arc, Diablo recevait un coup de fil de son amie Amanda Sefton qui lui demandait de l’aide et de la rejoindre dans le Mississippi. Il s’avérait que c’était en fait Mystique qui cherchait à l’atirer, ainsi que Malicia.

Pendant ce temps, au manoir, l’agent Daisy Dugan et Dent-de-Sabre interrogent les deux agents infiltrés au sein du SHIELD pour le compte du Consortium. De son côté; l’organisation criminelle fait des expérimentations sur Fabian Cortez, notamment au sujet de la Mutogeria. Mais elle s’intéresse également au jeune Nathan Summers, et tente même de l’enlever en Alaska devant toute sa famille. Il est temps pour Scott de rejoindre les X-Men pour mettre un terme à tout ça …

Il y a bien quelque chose qu’on ne peut pas reprocher à Chris Claremont, c’est de ne pas avoir secouer le X-Cocotier. Jusqu’à présent, Malicia et Diablo avait plutôt été épargné et voilà qu’il inverse leurs pouvoirs via une apparition de Mystique qui me semble n’être qu’un prétexte, tant les deux épisodes concernés sont trop longs pour un contenu et un propos bien faibles, et déjà vus par ailleurs dans les séries classiques.

En fait, on retrouve les défauts du premier arc où beaucoup de choses se précipitent (si bien qu’on doute de plus en plus que tout cela soit réellement sorti des notes des années 90 de Claremont), mais essentiellement pour les personnages, car rien n’avance pour l’intrigue globale. Elle persiste, mais se répète et le cliffhanger y ajoute plus de mystère, au risque que cela provoque finalement plus une lassitude à essayer d’épater le lecteur avec ce qui ressemble plus à des artifices (rajout de personnages, encore et encore). Tout comme la situation de la famille Summers, qui parait et reste complètement incompréhensible et illogique, mais qu’on doit, semble-t-il comme acquise, sans plus d’explication. Au point où on se demande si l’auteur navigue à vue, car on en a même perdu la motivation des vilains (pourtant, le retour de Cortez montre bien qu’il avait des plans précis pour lui). Sans parler de la mutogéria, nouveau grand secret de « l’infâme » professeur Xavier, alors que finalement, tout le monde en dehors des X-Men semble au courant. Et certains savent même qu’ils sont immunisés.

Ajoutons à cela des bulles bien mal dialoguées, avec des répliques qui arrivent à se contredire d’un épisode à l’autre (Dent-de-Sabre veut Gambit à la fin de l’un pour ne pas comprendre pourquoi il est avec lui dès les 1ères pages de l’épisode suivant).

Grummet qui n’assure qu’un seul épisode de qualité inégale (en refeuilletant les premiers épisodes de la série, on se rend compte de la différence), est tout d’abord suppléé par Graham Nolan, qui s’en sort moyennement en essayant de respecter la charte graphique, mais avec un trait plus grossier et bien moins assuré. Et son association avec Scott Koblish fera plus de mal que de bien, les pages rendues fleuretant par moment avec de l’amateurisme, sauvées par la couleur.

Avis : l’accalmie d’un des précédents arcs aura été de courte durée. Mais la fin n’est pas loin, au moins pour voir s’il y avait un « grand plan ».

Vers 39 à 41

Voilà.

Je crois que j’ai surtout survolé cette période…
Je me souviens des grandes lignes, c’est tout.

Jim

Lors de Fatal Attractions.

Juste avant Morrison (qui voulait utiliser Colossus, d’où la mutation secondaire d’Emma Frost).

Alex Maleev :

1 « J'aime »