1974-2024 : BON ANNIVERSAIRE LE PUNISHER !

Alors, j’ai lu ça également ce week-end, mais comme tu en parles vachement mieux que moi, je m’appuie sur ton analyse, qui est beaucoup plus clairvoyante que moi, une fois finie ma lecture.
Alors, le commentaire sur la société, je ne l’ai pas aussi bien vu que toi, et à la lecture de ton avis, il y a quand même des choses que je ressentais, mais je ne mettais pas les mots dessus.
La satire de la gestion du « village » par exemple.
Mais aussi la bagarre entre les justiciers, au début, que j’ai trouvé finalement plus logique que les quiproquos classiques entre super-héros. J’ai bien aimé qu’ils s’appellent par leurs prénoms, ça faisait une sorte de bagarre entre personnes qui se respectent. Et c’est vrai que la fin est finalement dans le même ton.
Le travail sur Wolverine avec la fille est intéressant aussi. Finalement, Milligan joue avec la « faiblesse » du mutant, mais sans un faire un neuneu naïf.
Après, on voit bien que Wolverine est le facteur vendeur, puisque je trouve que le titre devrait démarrer par le Punisher, car finalement, tout démarre par lui et qu’il a provoqué indirectement cette histoire et la création de ce village mythique. Et pour la précision, cette histoire sort en parallèle du 1er arc de la série Max de Garth Ennis.

Et ouais, le dessin de Lee Weeks, associé à Tom Palmer est formidable. J’ai eu l’impression que Weeks s’appuyait sur le Serval de Buscema (il est d’ailleurs plus petit que Castle).

Donc, ton analyse m’a fait revoir positivement cette histoire (même si, je ne sais pas pourquoi, mais la trad’ au début m’a un peu gêné, au niveau de la fluidité)

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