Rediff’ :
HULK V.I. #8 (#395 et 396) :
Le diptyque au sommaire de la V.I. Hulk #8 est mené sur un ton un peu plus léger que ce qui a précédé…ce qui peut paraître étonnant vu que l’histoire s’ouvre sur un enterrement, celui de Michael Berengetti, le propriétaire de casino pour lequel Hulk a travaillé pendant sa période « Joe Fixit » . Peter David boucle en quelque sorte la boucle avec cette époque par le biais de ces deux numéros très divertissants, qui ne lésinent pas sur les grosses bastons et les références (Hulk rejoue même une scène du premier Terminator ).
Peter David s’acquitte avec efficacité de certains « passages obligés » , comme l’implication du Punisher, qui était un peu partout dans les années 90 (rappelons que Frank Castle était le héros de trois séries régulières et de nombreux numéros spéciaux et mini-séries), et règle savoureusement (enfin, pas pour ce pauvre Ock) ses comptes avec une utilisation récente de Hulk dans The Amazing Spider-Man qui n’était guère à son goût en orchestrant un deuxième round entre Banner et le Docteur Octopus.
On se dirigeait alors vers la fin de la prestation de Dale Keown (le dessinateur canadien a quitté le titre au #398) avec ces deux épisodes réjouissants, qui entretenaient également un suspense intrigant autour du personnage de la « mère » de Rick Jones…